UN MILITAIRE ABAT SON EX A OUAGADOUGOU : Encore un autre drame…de trop ?

Quand je me rappelle que c’est juste avant même que la ferveur du "djadjoba" du 8 mars ne s’estmpe que tout ça s’est passé, je me pose deux seules questions : Nos autorités jouent-elles à la comédie avec nos mères, soeurs, femmes et filles avec la façon de célébrer le 8 mars qui, à mon avis, traite de tout sauf les vrais problèmes des femmes ? Les femmes elles-mêmes savent-elles ce que signifie le 8 mars. Le 8 mars doit être un journée pour traiter des problèmes existentiels de la femmes d’abord avant de la promouvoir. Figurez vous que peut-être l’infortunée (paix à son âme) a peut-être célébré la veille sans se rendre compte que ce serait pour la dernière fois pour elle. dans tous les cas cités ici les victimes sont des femmes mais jamais des hommes.

La seule solution qui vale dans ce Faso de la jungle, chers honêtes citoyens, procurer vous des armes, légalement ou illégalement. Vous avez bien entendu ! Légalement ou ILLEGALEMENT ! Si le papa ou quelqu’un avait une arme dans les parages, il l’aurait aussi abattu avant qu’il ne quitte même les lieux, car justice dans ce Faso, il y en a jamis eu. Il faut qu’on manifeste (même violemment) pour exiger que la possession d’arme soit inscrite dans notre constitution si tel n’est pas encore le cas. On en a mare de ces soldats meurtriers, tueurs, assassins