Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Un an après le décès de Sita Traoré : La maternité Sylla Sanou toujours fermée
5 septembre 2012, 15:01, par
wedaga
Cette pagaille de travailler dans l’illégalité est organisée par l’Etat burkinabè. Si les textes occidentaux en matière de santé ne peuvent être appliqués dans notre pays compte tenue de nos réalités, ils peuvent être adaptés à ces réaltés. L’Etat sait ce qui est bien, et voit aussi les dégats quotidiens de son silence. L’augmentation des taux de décès et surtout maternels et infantiles n’inquiète aucune personne avertie, qui connaît le milieu sanitaire.Ce silence est volontaire, afin de satisfaire l’orgueil d’une profession qui croit être au dessus des autres : la profession médicale. Résultat : c’est la population qui va toujours récolter les pôts cassés ; il ni les casses, ni les licenciements des agents de santé souvent accusés et sans défense, ni même le fait d’ôter la vie à un agent en reponse à un incident, ne saurait être la solution.Une question se pose : l’Etat burkinabè veut-il réellement des soins de qualité, accessibles pour ses populations ?
Cette pagaille de travailler dans l’illégalité est organisée par l’Etat burkinabè. Si les textes occidentaux en matière de santé ne peuvent être appliqués dans notre pays compte tenue de nos réalités, ils peuvent être adaptés à ces réaltés. L’Etat sait ce qui est bien, et voit aussi les dégats quotidiens de son silence. L’augmentation des taux de décès et surtout maternels et infantiles n’inquiète aucune personne avertie, qui connaît le milieu sanitaire.Ce silence est volontaire, afin de satisfaire l’orgueil d’une profession qui croit être au dessus des autres : la profession médicale. Résultat : c’est la population qui va toujours récolter les pôts cassés ; il ni les casses, ni les licenciements des agents de santé souvent accusés et sans défense, ni même le fait d’ôter la vie à un agent en reponse à un incident, ne saurait être la solution.Une question se pose : l’Etat burkinabè veut-il réellement des soins de qualité, accessibles pour ses populations ?