Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Ouagadougou : un fabricant industriel de « boissons frelatées » dans les filets de la Police
25 juin 2012, 11:07, par
N’Djolé
Dans le traitement de l’information,ou si vous voulez en ce qui concerne l’image, le droit à l’image et toutes ces raisons que nos vaillants journalistes triment à nous fournir à propos d’individus suspectés, j’en viens à la conclusion que :
Ces journalistes sont tous menteurs
La vraie raison pour laquelle on montre pas certains présumés coupables se trouve ailleurs.
C’est vrai le débat a eu lieu tout récemment (pas plus tard que la semaine dernière) sur le sujet, et Le pays a même évoqué le sujet dans l’interview que Mr Adama Fofana leur a accordée. Dans ce cas précis de « présumé auteur » de producteur de liqueur, ce monsieur lui perd-il son droit à l’image ? N’est-il pas présumé auteur ? A-t-il déjà été reconnu coupable par la justice ?etc. etc. ! Toute une longue liste de questions et de questionnement qu’aucun journaliste sérieux—et je les défis tous— journalistes ou non— juristes ou non—défenseurs ou non du droit à l’image dans ces genres de situations !—ne pourra véritablement faire face et y apporter des réponses convaincantes. A moins que la loi ait dit qu’elle s’applique uniquement en cas de vols, meurtre et autre braquage. Véritablement cette situation ne participe pas à éduquer cette frange de la population non juriste que sont nous autres. Tout autre réponse que « le souci de préserver la sécurité du ‘présumé coupable’ vis-à-vis de la population » en cas des infraction susmentionnées est irrecevable. Réagissez, s’il vous plait. C’est à croire que le droit à l’image c’est plutôt pour des gens qui ont tué ou violé ou braqué ou volé…
On ne pourra plus, sous peu, se cultiver voire s’éduquer, à travers la presse burkinabé tant nos hommes du 4ème pouvoir exercent sans savoir ou plutôt sans que l’on ne sache à quoi ils ont un devoir de réserve. Qu’on ne nous embrouille pas davantage avec ces deux poids deux mesures.
N’Djolé
Dans le traitement de l’information,ou si vous voulez en ce qui concerne l’image, le droit à l’image et toutes ces raisons que nos vaillants journalistes triment à nous fournir à propos d’individus suspectés, j’en viens à la conclusion que :
Ces journalistes sont tous menteurs
La vraie raison pour laquelle on montre pas certains présumés coupables se trouve ailleurs.
C’est vrai le débat a eu lieu tout récemment (pas plus tard que la semaine dernière) sur le sujet, et Le pays a même évoqué le sujet dans l’interview que Mr Adama Fofana leur a accordée. Dans ce cas précis de « présumé auteur » de producteur de liqueur, ce monsieur lui perd-il son droit à l’image ? N’est-il pas présumé auteur ? A-t-il déjà été reconnu coupable par la justice ?etc. etc. ! Toute une longue liste de questions et de questionnement qu’aucun journaliste sérieux—et je les défis tous— journalistes ou non— juristes ou non—défenseurs ou non du droit à l’image dans ces genres de situations !—ne pourra véritablement faire face et y apporter des réponses convaincantes. A moins que la loi ait dit qu’elle s’applique uniquement en cas de vols, meurtre et autre braquage. Véritablement cette situation ne participe pas à éduquer cette frange de la population non juriste que sont nous autres. Tout autre réponse que « le souci de préserver la sécurité du ‘présumé coupable’ vis-à-vis de la population » en cas des infraction susmentionnées est irrecevable. Réagissez, s’il vous plait. C’est à croire que le droit à l’image c’est plutôt pour des gens qui ont tué ou violé ou braqué ou volé…
On ne pourra plus, sous peu, se cultiver voire s’éduquer, à travers la presse burkinabé tant nos hommes du 4ème pouvoir exercent sans savoir ou plutôt sans que l’on ne sache à quoi ils ont un devoir de réserve. Qu’on ne nous embrouille pas davantage avec ces deux poids deux mesures.
N’Djolé