Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Ouahigouya : Le détenu libéré de force présente ses excuses
19 juin 2012, 10:13, par
Le Citoyen
Naaba Kiba à qui la responsable du département de la Justice a demandé du soutien dans le sens de rétablir la confiance et le respect de l’autorité judiciaire a été on ne peut plus clair : "C’est le gouvernement qui laisse faire. Il faut user de la force pour discipliner les gens. Il faut qu’on arrête les marches et les casses. Vous avez la police, la gendarmerie et l’armée. Vous avez peur de quoi ?" s’est interrogé le roi du Yatenga.
La personne qui honnit le YATENGA ce n’est autre que le NAAABA KIIBA qui tient un langage qui n’est pas du genre à apeser la situation. Le gouvernement doit se démarquer de ces mendiants politiques. Il faudrait éviter de jeter de lhuile sur du feu. Tout ça laisse à réfléchir sur la place réelle de la chéferie coutumière. Pourquoi donner la parole à des gens qui ne sont pas aptes à parler au nom du peuple réel ? Si vous aimez le Burkina, travaillez à crédibiliser l’appareil judiciaire d’abord. Et cela passe par des actions courageuses telles l’autonomisation de la justice, l’ouverture de tous les dossiers de crimes économiques et de sang.
Naaba Kiba à qui la responsable du département de la Justice a demandé du soutien dans le sens de rétablir la confiance et le respect de l’autorité judiciaire a été on ne peut plus clair : "C’est le gouvernement qui laisse faire. Il faut user de la force pour discipliner les gens. Il faut qu’on arrête les marches et les casses. Vous avez la police, la gendarmerie et l’armée. Vous avez peur de quoi ?" s’est interrogé le roi du Yatenga.
La personne qui honnit le YATENGA ce n’est autre que le NAAABA KIIBA qui tient un langage qui n’est pas du genre à apeser la situation. Le gouvernement doit se démarquer de ces mendiants politiques. Il faudrait éviter de jeter de lhuile sur du feu. Tout ça laisse à réfléchir sur la place réelle de la chéferie coutumière. Pourquoi donner la parole à des gens qui ne sont pas aptes à parler au nom du peuple réel ? Si vous aimez le Burkina, travaillez à crédibiliser l’appareil judiciaire d’abord. Et cela passe par des actions courageuses telles l’autonomisation de la justice, l’ouverture de tous les dossiers de crimes économiques et de sang.