Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
CONCOURS PROFESSIONNELS 2012 : Les Gestionnaires des ressources humaines mécontents
10 février 2012, 15:19, par
L’oeil
Il n’est pas surprenant de lire aujourd’hui des calamités de ce genre, car le laxisme et l’inconséquence dont la fonction publique fait montre en matière d’accès à certains emplois, ont fini par produire leurs effets pervers.
Sinon, comment comprendre que quelqu’un recruté sur mesure nouvelle, petite porte d’entrée dans la fonction publique, quelqu’un sans qualification professionnelle, n’appartenant à aucun emploi spécifique, prétend un beau matin être en droit de postuler à un emploi professionnel de GRH ? Dans ce cas, pourquoi pas un emploi professionnel du ministère des finances, des affaires étrangères, de l’enseignement ou encore de la défense ? Puisqu’il existe dans tous ces ministères des agents "Petit, viens travailler dans mon ministère". De grâce, arrêtons cette comédie et laissons Soungalo en dehors de ces bassesses.
Quant aux autres agents travaillant au ministère de la fonction publique ou dans des DRH, s’ils ne sont pas des agents mesures nouvelles, c’est qu’ils appartiennent déjà à des emplois spécifiques dans lesquels ils peuvent normalement progresser. Pourquoi forcement le concours professionnel de la GRH ? S’ils étaient administratifs à la RTB, peuvent-ils faire un concours professionnel de journalisme ?
En définitive, aucun des plaignants ne peut ni moralement, ni philosophiquement, ni sociologiquement, moins encore juridiquement justifier ses prétentions à vouloir postuler à un concours professionnel de GRH (cycle C, B ou A). Ce n’est pas du maraboutage...
Au demeurant, je souhaite que nos premières autorités elles mêmes apprennent à mieux découvrir ce que c’est que la GRH. Si les banques et autres sociétés minières débauchent les GRH à coût de millions par mois, ce qu’elles savent qu’un vrai gestionnaire de ressources humaines (pas les faux qui pilulent aux angles des fausses écoles mercantilistes), est aussi une mine d’or. Soungalo a ses cartes en main, les gestionnaires des ressources humaines l’observent, car c’est lui le grand arbitre de l’heure.
Le défi de l’excellence sera-t-il relever ou pas ?
"Pauvre Burkina", éclaire tes fils...!
Il n’est pas surprenant de lire aujourd’hui des calamités de ce genre, car le laxisme et l’inconséquence dont la fonction publique fait montre en matière d’accès à certains emplois, ont fini par produire leurs effets pervers.
Sinon, comment comprendre que quelqu’un recruté sur mesure nouvelle, petite porte d’entrée dans la fonction publique, quelqu’un sans qualification professionnelle, n’appartenant à aucun emploi spécifique, prétend un beau matin être en droit de postuler à un emploi professionnel de GRH ? Dans ce cas, pourquoi pas un emploi professionnel du ministère des finances, des affaires étrangères, de l’enseignement ou encore de la défense ? Puisqu’il existe dans tous ces ministères des agents "Petit, viens travailler dans mon ministère". De grâce, arrêtons cette comédie et laissons Soungalo en dehors de ces bassesses.
Quant aux autres agents travaillant au ministère de la fonction publique ou dans des DRH, s’ils ne sont pas des agents mesures nouvelles, c’est qu’ils appartiennent déjà à des emplois spécifiques dans lesquels ils peuvent normalement progresser. Pourquoi forcement le concours professionnel de la GRH ? S’ils étaient administratifs à la RTB, peuvent-ils faire un concours professionnel de journalisme ?
En définitive, aucun des plaignants ne peut ni moralement, ni philosophiquement, ni sociologiquement, moins encore juridiquement justifier ses prétentions à vouloir postuler à un concours professionnel de GRH (cycle C, B ou A). Ce n’est pas du maraboutage...
Au demeurant, je souhaite que nos premières autorités elles mêmes apprennent à mieux découvrir ce que c’est que la GRH. Si les banques et autres sociétés minières débauchent les GRH à coût de millions par mois, ce qu’elles savent qu’un vrai gestionnaire de ressources humaines (pas les faux qui pilulent aux angles des fausses écoles mercantilistes), est aussi une mine d’or. Soungalo a ses cartes en main, les gestionnaires des ressources humaines l’observent, car c’est lui le grand arbitre de l’heure.
Le défi de l’excellence sera-t-il relever ou pas ?
"Pauvre Burkina", éclaire tes fils...!