Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Criminalité : Pour 300 000 FCFA, Victor Zoundi coupe la tête d’une dame
8 février 2012, 01:30, par
Julius
"C’est dans la nuit du vendredi donc, certainement au cours d’un rendez-vous avec sa copine, que le bourreau de la femme assassinat cette dernière pour couper sa tête, afin d’aller honorer le marché déjà conclu. Le dimanche 5 février est retenu pour la livraison de la tête. Mais en attendant le rendez-vous du dimanche, le jeune orpailleur va alerter ses parents et la gendarmerie. C’est ensemble qu’ils vont tendre un piège à Victor Zoundi. Preuve qu’il voulait vraiment de l’argent, Victor Zoundi va honorer son rendez-vous, avant le jour indiqué.
Le samedi 4 février au petit matin, il se présente à B. Souleymane le jeune orpailleur. Très serein, le jeune orpailleur le conduit chez son oncle pour récupérer l’argent, conformément au piège tendu, de commun accord, avec la gendarmerie. De là, ils ressortent ensemble pour rentrer en brousse, là où Victor avait pris le soin de cacher la tête, puisqu’il s’agit d’une marchandise avec laquelle ne peut pas se promener. Sur les lieux, B. Souleymane et son oncle constatent effectivement la présence de la tête fraîchement coupée. Ils mettent alors les conseils de la gendarmerie en pratique et Victor fut sur-le-champ, arrêté, la main dans le sac ou du moins, la tête coupée entre les mains."
Les mots ont un sens ! Tout est clair ici, il n’y aucun doute sur le comportement fautif de la gendarmerie !
"C’est dans la nuit du vendredi donc, certainement au cours d’un rendez-vous avec sa copine, que le bourreau de la femme assassinat cette dernière pour couper sa tête, afin d’aller honorer le marché déjà conclu. Le dimanche 5 février est retenu pour la livraison de la tête. Mais en attendant le rendez-vous du dimanche, le jeune orpailleur va alerter ses parents et la gendarmerie. C’est ensemble qu’ils vont tendre un piège à Victor Zoundi. Preuve qu’il voulait vraiment de l’argent, Victor Zoundi va honorer son rendez-vous, avant le jour indiqué.
Le samedi 4 février au petit matin, il se présente à B. Souleymane le jeune orpailleur. Très serein, le jeune orpailleur le conduit chez son oncle pour récupérer l’argent, conformément au piège tendu, de commun accord, avec la gendarmerie. De là, ils ressortent ensemble pour rentrer en brousse, là où Victor avait pris le soin de cacher la tête, puisqu’il s’agit d’une marchandise avec laquelle ne peut pas se promener. Sur les lieux, B. Souleymane et son oncle constatent effectivement la présence de la tête fraîchement coupée. Ils mettent alors les conseils de la gendarmerie en pratique et Victor fut sur-le-champ, arrêté, la main dans le sac ou du moins, la tête coupée entre les mains."
Les mots ont un sens ! Tout est clair ici, il n’y aucun doute sur le comportement fautif de la gendarmerie !
Avec l’assurance de ma parfaite considération.