Burkina Faso : Du strip tease à Ouaga

Cher sieur Stephane KOUDOUGOU,

A la lecture de votre article, j’ai de véritables diffficultés à vous suivre. Voulez-vous juste informer et sensibiliser vos lecteurs ou plutot inciter ceux d’entre eux qui le désireraient à y faire un tour.

Je me pose vraiment la question, tant vous-meme semblez traiter le sujet-souffrez que je vous le dise- avec une certaine vuulgarité et jouissance. Sans rien inventer je vous cite pour que vous jugiez vous-meme si vous n’en rajoutez pas :

 "...ces patrons...qui n’hésitent pas à les balancer après, comme des capotes usagées." ;

 "Avec ces danseuses qui sont amenées à se tremousser jusqu’à descendre le petit calecon..." ;

Le comble vous achevez votre article sans la moindre invite en écrivant tout simplement :"Ouaga paie le prix d’une modernisation sauvage pour laquelle des loisirs mal encadrés poussent la jeunesse à se noyer dans l’alcool et le sexe." A qui la faute finalement si des éveilleurs de conscience comme vous n’en font rien que de la publicité, surtout sur un réseau aussi grandement accessible comme internet. L’encadrement, le bon encadrement des bonnes moeurs nous incombe tous.

Aujourd’hui, si nous voulons faire bouger les lignes la simple relation de faits ne suffit plus. Il faut aller au-delà en prenant, un tant soit peu, position pour indiquer une autre voie (aussi minime soit-elle)pouvant etre suivuie parce que meilleure à celle que l’on indexe. Tant que nous n’agirons pas (enfin !?)dans ce sens,c’est en vain que nous travaillerons, jusqu’à notre retraite d’Homme.

Une pensée bien connue dit : "C’est du choc des idées que jallit la lumière." Sans rancune c’était là pour ainsi dire ma modeste contribution pour qu’ensemble nous cherchions et trouvions ensemble la lumière dont nous avons besoin. Bon courage donc à vous !
Citoyen