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MORTALITE MATERNELLE ET INFANTILE NEONATALE : "Appelez ma gynécologue", a dit Alima avant de sombrer dans le coma

15 septembre 2011, 11:47, par Yéti

Et dire que la regrettée avait mis les moyens pour se faire suivre en privé par cette gynéco que se révèle finalement son "assassin". Si ce n’est pas du braquage que nous font certaines cliniques, ça y ressemble : Prendre ton argent et te laisser mourir.
Dans les cliniques toute personne qui y est admise pour deux jour ne ressort pas avec moins de 200 000 francs de facture à payer pour des examen de complaisance, l’administration de médicaments non absolument nécessaire et surfacturés, la facturation des interventions des infirmiers et médecins qui ont à peine jeter un regard sur le malade.
Tout ça n’est pas suivi d’engagement quelconque de la clinique. Dans le cas de la pauvre dame regrettée, la brave gynéco a eu comme un permis de la massacrer sans compte à rendre. Notre santé n’est pas assurée.
Mon grand père, féticheur, guérisseur faisait autant et c’est la survenue de tels actes qui nous ramène vers eux.
Occasion pour moi de dire Bravo au personnel en campagne ou tout le monde se connait. Les agents de santé y font de leur mieux peut être parce qu’ils sont responsables devant un cercle de personnes qui les connaissent et qu’ils connaissent.
Enfin, la réalité est surtout liée à la névralgie du secteur santé ou les conséquences sont une vie ôtée. Dans d’autres domaines il y a plus de dégâts mais non directement associés à l’acte : Ainsi une mauvaise politique peut entrainer un décimation d’une population par la famine, la disette(manque d’eau), les graves accidents de la circulation ;
Dites vous que les accidents de la circulation düs aux mauvais état des routes, aux endroits dangereux non balisés, aux comportements irresponsables de certains conducteurs, ont tous un responsable qui reste impunie.


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