Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Livraison du moteur de 18 MW de la Centrale de Komsilga : Une témérité d’affaires contre des embûches de toutes sortes
24 juin 2011, 21:17, par
Naba Yadéga
Il faut que les autorités burkinabé, grands chantres de l’émergence comprennent enfin que le développement de leur pays dépend aussi du rayonnement de ses entreprises à l’extérieur. Pour ce faire, les hommes d’affaires qui font preuve d’un savoir faire avéré dans certains secteurs doivent être accompagnés au plus haut niveau. On ne dit pas de leurs accorder des facilités fiscales ou autres faveurs au détriment des caisses publiques, mais d’aider et de soutenir leur expansion. Il n’y a qu’en Afrique que l’avion présidentiel est bourré de n’importe qui quand le chef de l’Etat voyage. En occident, quand Sarkozy, Obama, Cameron ou Merkel s’envole, ce sont de grandes personnalités économiques qui prennent place à bord dans l’appareil. Parce que les marchés nationaux devenant restreints, il faut penser aux conquêtes extérieures. Et cela passe par une caution au plus haut niveau. Si Blaise Compaoré en personne, défend le dossier l’un de ses compatriotes dont l’expertise est reconnue auprès de son homologue, celui-ci a une longueur d’avance. Il faut y penser au Burkina Faso. Il y a des sociétés burkinabé de BTP, d’informatiques, d’électricité,... qui s’illustrent sans le moindre coup de pouce. Les aider serait une contribution à la mobilisation de ressources pour financer le développement national.
Il faut que les autorités burkinabé, grands chantres de l’émergence comprennent enfin que le développement de leur pays dépend aussi du rayonnement de ses entreprises à l’extérieur. Pour ce faire, les hommes d’affaires qui font preuve d’un savoir faire avéré dans certains secteurs doivent être accompagnés au plus haut niveau. On ne dit pas de leurs accorder des facilités fiscales ou autres faveurs au détriment des caisses publiques, mais d’aider et de soutenir leur expansion. Il n’y a qu’en Afrique que l’avion présidentiel est bourré de n’importe qui quand le chef de l’Etat voyage. En occident, quand Sarkozy, Obama, Cameron ou Merkel s’envole, ce sont de grandes personnalités économiques qui prennent place à bord dans l’appareil. Parce que les marchés nationaux devenant restreints, il faut penser aux conquêtes extérieures. Et cela passe par une caution au plus haut niveau. Si Blaise Compaoré en personne, défend le dossier l’un de ses compatriotes dont l’expertise est reconnue auprès de son homologue, celui-ci a une longueur d’avance. Il faut y penser au Burkina Faso. Il y a des sociétés burkinabé de BTP, d’informatiques, d’électricité,... qui s’illustrent sans le moindre coup de pouce. Les aider serait une contribution à la mobilisation de ressources pour financer le développement national.