Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Concours de la Fonction publique : Sous le sceau infaillible de la transparence et de l’équité
22 juin 2011, 12:50, par
Burkimbila
Songalo est un exemple que tous ses collègues doivent suivre. Cependant, il devrait résoudre certaines choses afin d’accorder les mêmes chances à toutes et à tous. Notamment, à propos des fonctionnaires ayant des diplômes universitaires (diplômes acquis avant ou en cours d’exercice de la profession).
Au niveau de certains ministères, ces diplômes sont valorisés.
Un agent du ministère des finances de catégorie B ayant le BAC a besoin seulement de 03 ans d’ancienneté pour faire son concours professionnel, et de 02 ans de formation au lieu de 03 s’il est admis à l’ENAREF pour être en catégorie A ;
Un instituteur ayant une licence peut devenir un enseignant du secondaire ou peut postuler directement au concours des inspecteurs de l’enseignement de base ;
Cette situation enviable n’est cependant pas appliquée dans tous les ministères.
Au niveau du ministère de la santé par exemple, des centaines d’agents paramédicaux ont des diplômes universitaires (DEUG, Licence, DEA , DESS, Masters) dans divers domaines (sociologie psychologie, anglais, managment des projet, économie etc.). En aucun cas, ces diplômes ne sont valorisés. Je penses qu , en interne, on devrait trouver des mécanismes pour utiliser ces compétences qui dorment dans des tiroirs. Si par exemple un projet du ministère de la santé a besoin d’un sociologue, qu’on permettent aux agents du ministères ayant le diplôme requis de postuler.
Songalo est un exemple que tous ses collègues doivent suivre. Cependant, il devrait résoudre certaines choses afin d’accorder les mêmes chances à toutes et à tous. Notamment, à propos des fonctionnaires ayant des diplômes universitaires (diplômes acquis avant ou en cours d’exercice de la profession).
Au niveau de certains ministères, ces diplômes sont valorisés.
Un agent du ministère des finances de catégorie B ayant le BAC a besoin seulement de 03 ans d’ancienneté pour faire son concours professionnel, et de 02 ans de formation au lieu de 03 s’il est admis à l’ENAREF pour être en catégorie A ;
Un instituteur ayant une licence peut devenir un enseignant du secondaire ou peut postuler directement au concours des inspecteurs de l’enseignement de base ;
Cette situation enviable n’est cependant pas appliquée dans tous les ministères.
Au niveau du ministère de la santé par exemple, des centaines d’agents paramédicaux ont des diplômes universitaires (DEUG, Licence, DEA , DESS, Masters) dans divers domaines (sociologie psychologie, anglais, managment des projet, économie etc.). En aucun cas, ces diplômes ne sont valorisés. Je penses qu , en interne, on devrait trouver des mécanismes pour utiliser ces compétences qui dorment dans des tiroirs. Si par exemple un projet du ministère de la santé a besoin d’un sociologue, qu’on permettent aux agents du ministères ayant le diplôme requis de postuler.