Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Centres hospitaliers Blaise-Compaoré et Yalgado-Ouédraogo : Le Premier ministre découvre les réalités
21 juin 2011, 15:02
J’apprécie énormément l’effort que le premier ministre fait en termes de communication même si je ne perds pas de vue le fait qu’il soit journaliste. Il faut cependant préciser que le manque de communication constitue le socle de tous les problèmes au Burkina et en la matière le président du Faso n’est pas un exemple à suivre. J’espère seulement que le premier ministre pourra insuffler ce dynamisme à son équipe et plus particulièrement au chef de l’état Blaise Compaoré.
Pour revenir à l’article, le problème de Yalgado ne date d’aujourd’hui et pour ma part je ne comprends pas la surprise des autorités quand ils passent par Yalgado. J’ai bientôt 40 ans et j’ai constaté cet état de fait depuis plus de 20 ans. C’est bien de faire de visite mais il est encore mieux de prendre des résolutions fermes car la santé est un secteur clé au Burkina. Les résolutions pour ma part devraient prendre en compte quatre aspects fondamentaux :
Les infrastructures saines
La formation du personnel hospitalier : sur les valeurs comme le Burkindi
Une base salariale conséquente pour lutter contre la corruption
Création d’un comité de gestion des hôpitaux qui feront des visites et évalueront le fonctionnement des structures et surtout lutter contre les agents de santé fantômes. Cet comité devrait pouvoir sanctionner les agents indélicats et proposer une politique de gestion des hôpitaux.
Pour ce qui concerne l’hôpital Blaise Compaoré, je suis assez sceptique quant à son utilité réelle pour les populations. Le problème n’est pas seulement de construire un hôpital à la pointe de la technologie (quoi que important) si le citoyen lambda ne peut pas aller se soigner ; Donc vivement que les autorités tiennent compte de la pauvreté des populations pour mettre en place des tarifs abordables pour les Burkinabè.
Pour finir il appartient aux bénéficiaires que nous nommes d’avoir un comportement responsable et de participer à la gestion des infrastructures. Les populations devraient aussi s’impliquer dans le maintien de la salubrité des centres hospitaliers car ils en sont les principales bénéficiaires.
Merci
J’apprécie énormément l’effort que le premier ministre fait en termes de communication même si je ne perds pas de vue le fait qu’il soit journaliste. Il faut cependant préciser que le manque de communication constitue le socle de tous les problèmes au Burkina et en la matière le président du Faso n’est pas un exemple à suivre. J’espère seulement que le premier ministre pourra insuffler ce dynamisme à son équipe et plus particulièrement au chef de l’état Blaise Compaoré.
Pour revenir à l’article, le problème de Yalgado ne date d’aujourd’hui et pour ma part je ne comprends pas la surprise des autorités quand ils passent par Yalgado. J’ai bientôt 40 ans et j’ai constaté cet état de fait depuis plus de 20 ans. C’est bien de faire de visite mais il est encore mieux de prendre des résolutions fermes car la santé est un secteur clé au Burkina. Les résolutions pour ma part devraient prendre en compte quatre aspects fondamentaux :
Les infrastructures saines
La formation du personnel hospitalier : sur les valeurs comme le Burkindi
Une base salariale conséquente pour lutter contre la corruption
Création d’un comité de gestion des hôpitaux qui feront des visites et évalueront le fonctionnement des structures et surtout lutter contre les agents de santé fantômes. Cet comité devrait pouvoir sanctionner les agents indélicats et proposer une politique de gestion des hôpitaux.
Pour ce qui concerne l’hôpital Blaise Compaoré, je suis assez sceptique quant à son utilité réelle pour les populations. Le problème n’est pas seulement de construire un hôpital à la pointe de la technologie (quoi que important) si le citoyen lambda ne peut pas aller se soigner ; Donc vivement que les autorités tiennent compte de la pauvreté des populations pour mettre en place des tarifs abordables pour les Burkinabè.
Pour finir il appartient aux bénéficiaires que nous nommes d’avoir un comportement responsable et de participer à la gestion des infrastructures. Les populations devraient aussi s’impliquer dans le maintien de la salubrité des centres hospitaliers car ils en sont les principales bénéficiaires.
Merci