Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
NAZI BONI : Le politique, le traditionaliste et l’historien
10 juin 2010, 09:39
Tout simplement félicitation à l’auteur de cet écrit (qui aurait pu se présenter davantage ; j’ose croire que c’est le Pr Diallo de l’université de Ouaga). C’est ce genre d’écrits instructifs qu’il faut pour nos élèves et étudiants. Malheureusement, les Burkinabè connaissent le plus souvent mieux les écrivains des autres pays (France et autres pays francophones) que les leurs. Le complexe d’infériorité qui caractérise les Burkinabè (voir musique et autres produits locaux) nous conduit à consommer essentiellement étranger, jusqu’à ce qu’on soit surpris quand on est hors du pays d’entendre certaines personnes d’ailleurs vanter les mérites d’un ou de plusieurs des nôtres (vivants et surtout décédés). Il est vrai qu’on n’est jamais prophète chez soi, mais néanmoins au Burkina on exagère trop ! Réveillons-nous pour que les autres apprennent à nous respecter, sinon nous continuerons à faire la queue derrière les autres et à nous faire railler et insulter par des gens qui se font accueillir et applaudir quelques jours plus tard en stars dans nos salles de spectacles. Encore félicitation à toi Diallo.
Tout simplement félicitation à l’auteur de cet écrit (qui aurait pu se présenter davantage ; j’ose croire que c’est le Pr Diallo de l’université de Ouaga). C’est ce genre d’écrits instructifs qu’il faut pour nos élèves et étudiants. Malheureusement, les Burkinabè connaissent le plus souvent mieux les écrivains des autres pays (France et autres pays francophones) que les leurs. Le complexe d’infériorité qui caractérise les Burkinabè (voir musique et autres produits locaux) nous conduit à consommer essentiellement étranger, jusqu’à ce qu’on soit surpris quand on est hors du pays d’entendre certaines personnes d’ailleurs vanter les mérites d’un ou de plusieurs des nôtres (vivants et surtout décédés). Il est vrai qu’on n’est jamais prophète chez soi, mais néanmoins au Burkina on exagère trop ! Réveillons-nous pour que les autres apprennent à nous respecter, sinon nous continuerons à faire la queue derrière les autres et à nous faire railler et insulter par des gens qui se font accueillir et applaudir quelques jours plus tard en stars dans nos salles de spectacles. Encore félicitation à toi Diallo.