Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Musique : Yeleen et les millions de François Compaoré
20 juin 2009, 17:37, par
le lucide
Je crois que ce groupe est essoufflé. Or il est dit que le combat de l’engagement sera dure et hardu. Si l’engagement est source de succès populaire le non engagement par accointance avec le pouvoir est source de largesse en espèce sonnante et trébuchante et cela a un prix à payer sur l’échiquier de la popularité. C’est cette analyse banale que nos deux tourtereaux ont omis de faire malgré leur connaissance de certaines questions. Or ils devront être bien placés pour connaitre les exigences du peuple burkinabé en la matière. Les exemples font légion aussi bien sur la scène politique que sociale. On a encore en memoire comment la question des millions de Bado et Paré ont defrayé la chronique, etc. Comme quoi, le Faso c’est la savane, tout ce qu’on fait fini par être vu ou tout au moins entendu. Pour terminer, je dirai tout simplement à ce groupe que la peur ne fait pas bon ménage avec l’engagement. Le jour ou on se rend compte qu’on a peur « du retour de la manivelle », il faut avoir au moins le courage de dire aurevoir à l’engagement et bonjour à la collaboration. Et le peuple saura à quoi s’en tenir.
Je crois que ce groupe est essoufflé. Or il est dit que le combat de l’engagement sera dure et hardu. Si l’engagement est source de succès populaire le non engagement par accointance avec le pouvoir est source de largesse en espèce sonnante et trébuchante et cela a un prix à payer sur l’échiquier de la popularité. C’est cette analyse banale que nos deux tourtereaux ont omis de faire malgré leur connaissance de certaines questions. Or ils devront être bien placés pour connaitre les exigences du peuple burkinabé en la matière. Les exemples font légion aussi bien sur la scène politique que sociale. On a encore en memoire comment la question des millions de Bado et Paré ont defrayé la chronique, etc. Comme quoi, le Faso c’est la savane, tout ce qu’on fait fini par être vu ou tout au moins entendu. Pour terminer, je dirai tout simplement à ce groupe que la peur ne fait pas bon ménage avec l’engagement. Le jour ou on se rend compte qu’on a peur « du retour de la manivelle », il faut avoir au moins le courage de dire aurevoir à l’engagement et bonjour à la collaboration. Et le peuple saura à quoi s’en tenir.