Burkina : L’arabe, langue oubliée de la réforme constitutionnelle ?
25 avril, 11:41, par
Swartskoff
Hum ! Vous êtes chercheur. Ok. Mais !
" .....Et sur le plan religieux, les 80 à 85% de musulmans -suivant les régions- qui considèrent cette langue comme la « langue sacrée du coran » ...." Voilà toute la complexité de votre problème dès lors que l’arabe et l"islam (religion ) ne font pas que tronc commun, ils sont un. N’est-ce pas que Dieu parle en arabe ? Tout bon prêcheur en langue locale doit toujours revenir à la langue de Dieu pour soutenir son sermon. Or dans Le cadre d’un État laïque il est donné à toutes les communautés la liberté de culte tant qu’on n’est pas en porte à faux avec les lois de la République. Des chercheurs gréco-latins devraient-ils aussi revendiquer le grec ou le latin comme langues à insérer dans la constitution ? Point n’est besoin d’être chercheur émérite pour la réponse.
Hum ! Vous êtes chercheur. Ok. Mais !
" .....Et sur le plan religieux, les 80 à 85% de musulmans -suivant les régions- qui considèrent cette langue comme la « langue sacrée du coran » ...." Voilà toute la complexité de votre problème dès lors que l’arabe et l"islam (religion ) ne font pas que tronc commun, ils sont un. N’est-ce pas que Dieu parle en arabe ? Tout bon prêcheur en langue locale doit toujours revenir à la langue de Dieu pour soutenir son sermon. Or dans Le cadre d’un État laïque il est donné à toutes les communautés la liberté de culte tant qu’on n’est pas en porte à faux avec les lois de la République. Des chercheurs gréco-latins devraient-ils aussi revendiquer le grec ou le latin comme langues à insérer dans la constitution ? Point n’est besoin d’être chercheur émérite pour la réponse.