Aide publique au développement : Le Premier ministre rejette le "saupoudrage" et veut des investissements structurants
13 mars, 15:47, par
Bonus
@LUI
Merci pour cette contribution. Je constate avec amertume dans les interventions que les intervenants doivent avoir un probleme personnel avec Mr. le Premier Ministre. Au lieu de donner leur avis sur la soutenabilité de l’aide et de son impacte, ils passent leur temps a vilipender le premier ministre. Il faut reconnaitre que les textes liés a l’aide au developpement ont ete signes sous pression. On met vos economies en difficultes et on vous impose des conditionalites aupres de la banque mondiale, FMI, Club de paris et autres pour vous maintenir dans la mendicité. Les agences comme Moody, Fitch, Poor and standard et autres agences de notation donnent a nos pays africains de mauvaise notes pour permettre aux institutions preteuses de nous preter a des taux exorbitants. Il est temps que l’afrique met en place ses propres institutions financieres et si l’Union Africaine etait serieuse, elle devait s’y atteler. Gaddaffi a voulu le faire et l’otan l’a trucidé. Tant que nos jeunes africains ne comprendront pas les enjeux géostrategiques, nous resterons a la traine
@LUI
Merci pour cette contribution. Je constate avec amertume dans les interventions que les intervenants doivent avoir un probleme personnel avec Mr. le Premier Ministre. Au lieu de donner leur avis sur la soutenabilité de l’aide et de son impacte, ils passent leur temps a vilipender le premier ministre. Il faut reconnaitre que les textes liés a l’aide au developpement ont ete signes sous pression. On met vos economies en difficultes et on vous impose des conditionalites aupres de la banque mondiale, FMI, Club de paris et autres pour vous maintenir dans la mendicité. Les agences comme Moody, Fitch, Poor and standard et autres agences de notation donnent a nos pays africains de mauvaise notes pour permettre aux institutions preteuses de nous preter a des taux exorbitants. Il est temps que l’afrique met en place ses propres institutions financieres et si l’Union Africaine etait serieuse, elle devait s’y atteler. Gaddaffi a voulu le faire et l’otan l’a trucidé. Tant que nos jeunes africains ne comprendront pas les enjeux géostrategiques, nous resterons a la traine