Burkina : Jean-Luc Mélenchon dénonce « les menaces et arrestations arbitraires »
1er mars, 14:31, par
Sidpassata Veritas
Ce que je trouve regrettable dans tout cela, c’est que les autorités de la Transition n’avaient pas besoin de prêter aussi facilement le flanc à la critique, puisque, dans les principes, les procédures utilisées ne renvoient à aucune règle qui permet de dire que ce n’est pas de l’arbitraire. Sankara avait évité cela en créant un tribunal révolutionnaire spécial, le TPR dont le fonctionnement était connu de tous. L’action était donc encadrée.
En plus il y a le long silence sur ces cas qui font discuter qui donne l’impression que les autorités elles-mêmes sont embarrassées, de sorte qu’on ne sait pas s’il s’agit d’un excès de zèle toleré à certains éléments ou si c’est une pratique autorisée par les premiers responsables.
Les questions ne manquent et je ne suis pas sûr que le silence soit toujours la meilleure réponse pour favoriser l’unité nationale et la cohésion sociale tant désirée.
Faudra-t-il croire que tous ceux qui interpellent la Transition à ce sujet sont malintentionnés vis-à-vis des aspirations légitimes des burkinabè !?
Ce que je trouve regrettable dans tout cela, c’est que les autorités de la Transition n’avaient pas besoin de prêter aussi facilement le flanc à la critique, puisque, dans les principes, les procédures utilisées ne renvoient à aucune règle qui permet de dire que ce n’est pas de l’arbitraire. Sankara avait évité cela en créant un tribunal révolutionnaire spécial, le TPR dont le fonctionnement était connu de tous. L’action était donc encadrée.
En plus il y a le long silence sur ces cas qui font discuter qui donne l’impression que les autorités elles-mêmes sont embarrassées, de sorte qu’on ne sait pas s’il s’agit d’un excès de zèle toleré à certains éléments ou si c’est une pratique autorisée par les premiers responsables.
Les questions ne manquent et je ne suis pas sûr que le silence soit toujours la meilleure réponse pour favoriser l’unité nationale et la cohésion sociale tant désirée.
Faudra-t-il croire que tous ceux qui interpellent la Transition à ce sujet sont malintentionnés vis-à-vis des aspirations légitimes des burkinabè !?