Rupture prochaine de la coopération entre le Burkina Faso et la Suède : « Une décision malheureuse », selon le consul honoraire Sten Hagberg
27 février, 14:59, par
Kladjou
Du n’importe quoi.
A part quelques salaires verser à quelques travailleurs à Ouaga et dans quelques chefs lieu de région ou qui animent les fora et émissions télé, organiser des ateliers et versement des perdîmes , pensez-vous que mon Frère au village sais de quoi vous parlez ?
Pourquoi on ne vous communique pas les enveloppes financières en jeu que l’on va perdre ?
On ne peut pas vouloir le beurre et l’argent du beurre. Nous avons décidé de nous émanciper parce que la démocratie électoralistes ne ne fais pas notre affaire et nous paupérise, et ceux qui ne veulent pas de ça et ben, qu’ils libère le planché ce n’est pas la fin du monde. Si eux ils se sont développer par le travaille et pourquoi nous devons pleurnicher parce qu’ils arrêtent leur coopération ? Quelle mentalité ? Finalement l’esclavage continue dans notre mentalité , un pays qu’on veut réduire à l’aide et la mendicité des autres pour exister. Franchement ce Burkina là je n’en veux pas.
Du n’importe quoi.
A part quelques salaires verser à quelques travailleurs à Ouaga et dans quelques chefs lieu de région ou qui animent les fora et émissions télé, organiser des ateliers et versement des perdîmes , pensez-vous que mon Frère au village sais de quoi vous parlez ?
Pourquoi on ne vous communique pas les enveloppes financières en jeu que l’on va perdre ?
On ne peut pas vouloir le beurre et l’argent du beurre. Nous avons décidé de nous émanciper parce que la démocratie électoralistes ne ne fais pas notre affaire et nous paupérise, et ceux qui ne veulent pas de ça et ben, qu’ils libère le planché ce n’est pas la fin du monde. Si eux ils se sont développer par le travaille et pourquoi nous devons pleurnicher parce qu’ils arrêtent leur coopération ? Quelle mentalité ? Finalement l’esclavage continue dans notre mentalité , un pays qu’on veut réduire à l’aide et la mendicité des autres pour exister. Franchement ce Burkina là je n’en veux pas.