Retrait de l’AES de la CEDEAO : « Les raisons avancées ne constituent que de la poudre aux yeux » (rapport de la CEDEAO)
9 février, 16:35, par
HORUDIAOM
Kladjou, analyse très propre. La commission de la CEDEAO est simplement dans le déni. On a écouté Macron plusieurs fois sur la crise du Mali. Il disait avoir appelé Nana Akufour pour prendre des sanctions plus dures contre le Mali. Il en est de même pour le Niger. C’est pour cela que j’ai qualifié Macron de président de la CEDEAO de fait. Quand un président Français appelle des présidents membres de la CEDEAO pour sanctionner un autre état membre de cette même organisation, comment appelle t-on cela ? Aussi, quand IB et Goita ont révélé les maninges de Macron qui voulait nommer un président et un premier ministre au Burkina et au Mali, la CEDEAO a t-elle condamné les agissements de ce dernier ? Les multiples tentatives de déstabilisation du Mali et du Burkina, à t-elle réagit ? La libération de Kidal ? Est-ce que la CEDEAO a réagit ? Talon au moins a reconnu que l’approche n’a pas été bonne. Les conséquences economiques ont conseillé.
Kladjou, analyse très propre. La commission de la CEDEAO est simplement dans le déni. On a écouté Macron plusieurs fois sur la crise du Mali. Il disait avoir appelé Nana Akufour pour prendre des sanctions plus dures contre le Mali. Il en est de même pour le Niger. C’est pour cela que j’ai qualifié Macron de président de la CEDEAO de fait. Quand un président Français appelle des présidents membres de la CEDEAO pour sanctionner un autre état membre de cette même organisation, comment appelle t-on cela ? Aussi, quand IB et Goita ont révélé les maninges de Macron qui voulait nommer un président et un premier ministre au Burkina et au Mali, la CEDEAO a t-elle condamné les agissements de ce dernier ? Les multiples tentatives de déstabilisation du Mali et du Burkina, à t-elle réagit ? La libération de Kidal ? Est-ce que la CEDEAO a réagit ? Talon au moins a reconnu que l’approche n’a pas été bonne. Les conséquences economiques ont conseillé.