Modeste Bationo : Le vendeur du porc au four made in Burkina qui ravit les palais à Yamoussoukro
24 janvier, 22:39, par
Renault HÉLIE
Superbe !
J’adore ces reportages de qualité de Lefaso.net, qui montrent des gens simples qui se battent pour vivre et travailler, mais sans rien demander à personne.
Ce sont eux vos véritables mines d’or, car, par leurs petits ruisseaux, ils engendrent les grands fleuves de votre économie ... et fournissent l’essentiel des revenus de l’État ; État ivoirien ou burkinabè, peu importe ...
De plus, c’est une leçon humaine pour moi personnellement, car sans avoir été très riche de naissance, j’ai bénéficié de mon milieu privilégié, tout au moins intellectuellement, car littéralement submergé de livres et de musées.
Eh oui, enfant, je n’ai pas vraiment eu besoin de chasser oiseaux et rongeurs pour compléter le plat familial, bien que j’aie appris à pêcher et à chasser dans nos grasses campagnes et nos sombres forêts. Bon, quand j’étais gosse, des chenapans m’ont montré comment ils piégeaient les lapins avec une ficelle ...
Superbe !
J’adore ces reportages de qualité de Lefaso.net, qui montrent des gens simples qui se battent pour vivre et travailler, mais sans rien demander à personne.
Ce sont eux vos véritables mines d’or, car, par leurs petits ruisseaux, ils engendrent les grands fleuves de votre économie ... et fournissent l’essentiel des revenus de l’État ; État ivoirien ou burkinabè, peu importe ...
De plus, c’est une leçon humaine pour moi personnellement, car sans avoir été très riche de naissance, j’ai bénéficié de mon milieu privilégié, tout au moins intellectuellement, car littéralement submergé de livres et de musées.
Eh oui, enfant, je n’ai pas vraiment eu besoin de chasser oiseaux et rongeurs pour compléter le plat familial, bien que j’aie appris à pêcher et à chasser dans nos grasses campagnes et nos sombres forêts. Bon, quand j’étais gosse, des chenapans m’ont montré comment ils piégeaient les lapins avec une ficelle ...