Burkina/Révision constitutionnelle : « La barrière linguistique est un sérieux obstacle au développement », Dr Awa Tiendrébéogo/Sawadogo
18 janvier, 12:00, par
Passakziri
Moi ce que je sais , sais qu’au début des années 1980, on avait commencé l’enseignement des langues nationales à l’école primaire. après moins de 3 ans on l’a arrêtée, et c’était sous Sankara. Avons nous essayé de comprendre ce qui n’avait alors pas marché pour qu’on interrompte ainsi subitement ? Je suis pour une valorisation des langues nationales pour atteindre la majorité coupée de ’information . On n’a pas besoin de faire du populisme avec comme le fait capitaine Pinnochio. Traduisez d’abord la constitution et les documents essentiels dans les langues nationales et faites vos discours en langues nationales et les choses seront plus faciles.
Moi ce que je sais , sais qu’au début des années 1980, on avait commencé l’enseignement des langues nationales à l’école primaire. après moins de 3 ans on l’a arrêtée, et c’était sous Sankara. Avons nous essayé de comprendre ce qui n’avait alors pas marché pour qu’on interrompte ainsi subitement ? Je suis pour une valorisation des langues nationales pour atteindre la majorité coupée de ’information . On n’a pas besoin de faire du populisme avec comme le fait capitaine Pinnochio. Traduisez d’abord la constitution et les documents essentiels dans les langues nationales et faites vos discours en langues nationales et les choses seront plus faciles.
Passakziri