Réforme constitutionnelle : La Société burkinabè de droit constitutionnel pose le debat
13 janvier, 20:12, par
Passakziri
Même l’" adoption" et la traditionelle bénédiction par le conseil constitutionnel, ce débat n’est pas inutile. Et il faudra le méner juqu’à ce que tout le monde comprenne , en premier lieu le conseil constitutionnel .
Personellement je pense que le Burkina ne pourra pas s’ériger en nation prospère et stable avec un conseil constitutionnel en l’état.
Non, le conseil conseil constitutionnel ne peut pas se résumer en un groupe de citoyens gracieusement payés pour acquiescer les volontés juridiques du plus fort du moment , sans crainte de la moindre redevabilité, mais pour protéger la constitution au prix de leur vie , parce que cette constitution est le fondement de l’átat de droit auquel les burkinabè aspirent incontestablement.
Certes toute constitution peut être modifier pour s’adapter aux nécessités du temps mais seulement dans l’intérêt commun, pas dans l’inderêt d’un individu ou d’un clan.
Une reforme profonde du conseil constitutionnel s’impose après les expériences faites avec les putschs MPSR et le passage en force actuel, visiblement anticonstitutionnel.
Il faudra des reformes concernant les conditions de saisines du CC. Tout citoyen estimant la constittion violée devrait être en mésure de saisir le conseil formellement , en lieu et place des conditions actuelles.
Ensuite , il faudra qu’il soit possible de mettre les juges constitutionnels qui abusent de leur position pour dire des verdicts de complaisance coomme ce fut le cas lors des deux putschs MPSR et cette honteuse modification, devant leurs responsabilités personnelles, parce que ces verdicts en contradiction avec la constitution sont facilités par le statut de gens surpayés mois sur mois pour ne rien faire concrétement et qui ne ressentent visiblement aucun devoir de redevabilté que devant les forts du moment. Quelle mascarade !
Même l’" adoption" et la traditionelle bénédiction par le conseil constitutionnel, ce débat n’est pas inutile. Et il faudra le méner juqu’à ce que tout le monde comprenne , en premier lieu le conseil constitutionnel .
Personellement je pense que le Burkina ne pourra pas s’ériger en nation prospère et stable avec un conseil constitutionnel en l’état.
Non, le conseil conseil constitutionnel ne peut pas se résumer en un groupe de citoyens gracieusement payés pour acquiescer les volontés juridiques du plus fort du moment , sans crainte de la moindre redevabilité, mais pour protéger la constitution au prix de leur vie , parce que cette constitution est le fondement de l’átat de droit auquel les burkinabè aspirent incontestablement.
Certes toute constitution peut être modifier pour s’adapter aux nécessités du temps mais seulement dans l’intérêt commun, pas dans l’inderêt d’un individu ou d’un clan.
Une reforme profonde du conseil constitutionnel s’impose après les expériences faites avec les putschs MPSR et le passage en force actuel, visiblement anticonstitutionnel.
Il faudra des reformes concernant les conditions de saisines du CC. Tout citoyen estimant la constittion violée devrait être en mésure de saisir le conseil formellement , en lieu et place des conditions actuelles.
Ensuite , il faudra qu’il soit possible de mettre les juges constitutionnels qui abusent de leur position pour dire des verdicts de complaisance coomme ce fut le cas lors des deux putschs MPSR et cette honteuse modification, devant leurs responsabilités personnelles, parce que ces verdicts en contradiction avec la constitution sont facilités par le statut de gens surpayés mois sur mois pour ne rien faire concrétement et qui ne ressentent visiblement aucun devoir de redevabilté que devant les forts du moment. Quelle mascarade !
Passakziri