Coopération : Le Premier ministre reçoit des universitaires russes
4 janvier, 21:11, par
Renault HÉLIE
Eh oui, un pays comme le Brésil exporte des avions aux normes internationales, mais la Russie n’en est pas capable. Et les avions comme les compagnies aériennes russes sont considérés comme dangereux et dépassés.
Aller faire ses études en Russie ? Tiens, quelle bonne idée ! Pourquoi pas ? Mais pourquoi pas aussi faire ses études au Maroc, au Mexique ou en Inde ?
On risque moins de s’y geler l’entrejambe,
on risque moins d’être envoyé sur le front contre l’Ukraine, etc.
En tout cas, avec la Russie, zéro chance d’être recruté dans l’équipe nationale de foot, Il n’y a pas de Diagana russe, ni de Zidane, ni de M’bappé.
Et peu de chance de pouvoir compléter ses économies en travaillant le samedi-dimanche dans un café ou dans un supermarché, comme en Europe de l’ouest, comme le font beaucoup d’étudiants africains par chez moi.
En général, mes contemporains africains qui ont fait leurs études en Russie ... l’ont chèrement payé plus tard, car ils devaient subir le mépris des autres cadres africains.
Eh oui, un pays comme le Brésil exporte des avions aux normes internationales, mais la Russie n’en est pas capable. Et les avions comme les compagnies aériennes russes sont considérés comme dangereux et dépassés.
Aller faire ses études en Russie ? Tiens, quelle bonne idée ! Pourquoi pas ? Mais pourquoi pas aussi faire ses études au Maroc, au Mexique ou en Inde ?
On risque moins de s’y geler l’entrejambe,
on risque moins d’être envoyé sur le front contre l’Ukraine, etc.
En tout cas, avec la Russie, zéro chance d’être recruté dans l’équipe nationale de foot, Il n’y a pas de Diagana russe, ni de Zidane, ni de M’bappé.
Et peu de chance de pouvoir compléter ses économies en travaillant le samedi-dimanche dans un café ou dans un supermarché, comme en Europe de l’ouest, comme le font beaucoup d’étudiants africains par chez moi.
En général, mes contemporains africains qui ont fait leurs études en Russie ... l’ont chèrement payé plus tard, car ils devaient subir le mépris des autres cadres africains.