Afrique de l’Ouest : La CEDEAO appelle les pays en transition à œuvrer pour un retour rapide à l’ordre constitutionnel
12 décembre 2023, 01:29, par
Africa
La CEDEAO, ou ce qui en reste, n’appartient plus aux peuples Ouest-Africains. Ses dirigeants actuels se montrent chaque jour plus méprisants et plus inhumains envers eux., pire qu’à l’époque coloniale..A ma connaissance, je ne me souviens pas avoir lu ou entendu qu’une colonie avait fait l’objet d’un blocus total pendant si longtemps dans le but de contreindre ses populations à se soumettre. Le Niger le vit depuis 4 mois pour l’obliger à se soumettre.au diktat. Pire encore , le Premier ministre du régime déchu de Bazoum est admis au sommet des chefs d’état comme représentant du Niger (voir liste des participants dans le communiqué final). En d’autres mots, les chefs d’état de ce qui reste de CEDEAO denient la souvereineté du peuple du Niger. Ils poussent ainsi le Niger à quitter la CEDEAO. Les autorités du Niger, et sans doute celles de l’A.E.S, doivent en tirer les conséquences de droit. Au minimum, ils devraient récuser toutes les décisions prises lors de ce sommet avec la présence de ce représentant non mandaté par le Niger. C’est un précédent dangereux que les dirigeants actuels veulent introduire en Afrique de l’ouest. Alors, debout peuples d’Afrique Noire de l’ouest.
La CEDEAO, ou ce qui en reste, n’appartient plus aux peuples Ouest-Africains. Ses dirigeants actuels se montrent chaque jour plus méprisants et plus inhumains envers eux., pire qu’à l’époque coloniale..A ma connaissance, je ne me souviens pas avoir lu ou entendu qu’une colonie avait fait l’objet d’un blocus total pendant si longtemps dans le but de contreindre ses populations à se soumettre. Le Niger le vit depuis 4 mois pour l’obliger à se soumettre.au diktat. Pire encore , le Premier ministre du régime déchu de Bazoum est admis au sommet des chefs d’état comme représentant du Niger (voir liste des participants dans le communiqué final). En d’autres mots, les chefs d’état de ce qui reste de CEDEAO denient la souvereineté du peuple du Niger. Ils poussent ainsi le Niger à quitter la CEDEAO. Les autorités du Niger, et sans doute celles de l’A.E.S, doivent en tirer les conséquences de droit. Au minimum, ils devraient récuser toutes les décisions prises lors de ce sommet avec la présence de ce représentant non mandaté par le Niger. C’est un précédent dangereux que les dirigeants actuels veulent introduire en Afrique de l’ouest. Alors, debout peuples d’Afrique Noire de l’ouest.