Mali / Alliance des États du Sahel : Un grand livre d’hommage à Choguel Maïga
1er décembre 2023, 16:01, par
Bajazet
Ha ha, je souhaite féliciter le grrrrrrrrrrand écrivain ivoirien Sylvain TATOUÉ pour son excellent travail salarié.
Comme je suis taquin, je vais vous infliger une leçon de vocabulaire français.
Il y a peu de temps, ce genre d’écrivain qui loue sa plume à un très très très grand homme du Gondwana, vraiment trop grrrrrrrand là-même présentement, yèèèè, on appelait un tel écrivain domestique un « nè#*e » ;
mais, comme ce vilain mot a été banni de toute expression « politiquement correcte », on écrit maintenant "plume" pour ne pas écrire l’affreux « N-word » , ce « mot en N » qui gêne tant ceux qui maudissent l’esclavage, sans compter ceux, noirs, bruns ou blancs, qui aimeraient bien qu’on oublie le rôle peu glorieux de leurs ancêtres dans cet épisode navrant de l’histoire ouest-africaine. En anglais, on appelle ce genre de personnel de maison « ghost writer ».
Donc, alléluia, glorifions M. TATOUÉ, cette excellente « plume mercenaire » qui a pondu ce merveilleux livre à la gloire éternelle du dernier césar malien.
Et espérons pour M. Sylvain qu’il a été payé en bons francs CFA bien solides, bien arrimés à l’euro, sur un compte à Cocody, et pas en mauvais roubles sur un compte à Arkhangelsk, ni en Cedis ghanéens...
ET À LA FIN, RIONS SEULEMENT !
Décidément, la lecture quotidienne de Lefaso.net me décontracte la rate...
Si, si, j’apprécie la fine ironie burkinabè qui siffle entre les lignes de ce sympathique journal électronique...
Ha ha, je souhaite féliciter le grrrrrrrrrrand écrivain ivoirien Sylvain TATOUÉ pour son excellent travail salarié.
Comme je suis taquin, je vais vous infliger une leçon de vocabulaire français.
Il y a peu de temps, ce genre d’écrivain qui loue sa plume à un très très très grand homme du Gondwana, vraiment trop grrrrrrrand là-même présentement, yèèèè, on appelait un tel écrivain domestique un « nè#*e » ;
mais, comme ce vilain mot a été banni de toute expression « politiquement correcte », on écrit maintenant "plume" pour ne pas écrire l’affreux « N-word » , ce « mot en N » qui gêne tant ceux qui maudissent l’esclavage, sans compter ceux, noirs, bruns ou blancs, qui aimeraient bien qu’on oublie le rôle peu glorieux de leurs ancêtres dans cet épisode navrant de l’histoire ouest-africaine. En anglais, on appelle ce genre de personnel de maison « ghost writer ».
Donc, alléluia, glorifions M. TATOUÉ, cette excellente « plume mercenaire » qui a pondu ce merveilleux livre à la gloire éternelle du dernier césar malien.
Et espérons pour M. Sylvain qu’il a été payé en bons francs CFA bien solides, bien arrimés à l’euro, sur un compte à Cocody, et pas en mauvais roubles sur un compte à Arkhangelsk, ni en Cedis ghanéens...
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