Burkina : Le MPSR 2 ou la gouvernance par l’exclusion

Généralement, le philosophe, peu importe le bord politique ou le parti des ses intérêts pris, analyse les situations comme celle du Burkina actuel avec un minimum de sincérité, intégrité et une fine couche de détachement permettant justement à ceux comme votre serviteur d’en savoir davantage.

 D’abord, comment et sur qu’elle pierre peut-on s’appuyer et parler d’exclusion dans une situation où tous sont invités, chacun avec ses capacités et compétences, à éviter le pire à notre case commune ??

Toute personnes jouissant des facultés ne devrait pas attendre une hypothétique certitude d’être admiré par ceux, ne souhaitant pas s’engager pour différentes raisons, comme les avantage des magouilles d’autres fois, partis avec le vieux monde entre autres, et les tentatives honteusement désespérées de faire de l’imposture un sophisme quitte à reprocher aux autres ce que l’on fait qui est ce cas précis.

Si la liberté pour les uns est synonyme de permettre aux plus soumis de l’occident de régner en véritables notables sur le reste qui refuse cette soumission, alors le sophisme est une réalité et tout homme digne et honnête se doit de le combattre.

Si la notion bonimenteuse de la démocratie à l’occidentale qui n’a de démocratie que l’étiquette, se résume à choisir à chaque mascarade électorale, les personnes de la même caste vivant pour régner dans dans l’entre-sois, l’embarquement des révolutionnaires, même irrespectueux n’est que la réponse adaptée de nos ancêtres qui n’en peuvent plus voir certains d’entre nous se baisser constamment devant les autres pour ramasser des miettes au détriment de tous.

Ce qui se voit sur les réseaux sociaux qui est très inquiétant j’avoue, n’est-ce pas la conséquence de l’impossibilité de la partie lésée depuis des décennies ?? D’autant qu’elle avait confiance en ses élites, se disant comme le dit l’adage, qu’on peut donner à manger à un enfant avec ses doigts sans se les lécher mais il faut d’abord que l’enfant bénéficie d’un peu de nourriture.

Lorsque cette partie qui s’invite à la fête et réclame sa part à ceux qui la détiennent, ils mettent sur la table le sophisme mal appris pour dévier la lutte en oubliant qu’ils ne possèdent plus les clés pour noyer le poisson dans l’eau boueuse qui tari.