Burkina : Le président Ibrahim Traoré s’exprime sur l’affaire "guérisseuse de Komsilga"

Une fois encore la sagesse m’interpelle : ’’’’’’’Bravo à notre honorable modérateur 2.’’’’’ Si on décernait des médailles de manipulation aux internautes comme "Tondé" "Kassoum" "Tarnagda" "Tristant" qui est la même personne pour manipuler le monde, ce dernier sera le premier internautes manipulateur a recevoir cette médaille. C’est a cause des internautes comme celui-ci qui ont mis à l’eau les forums des sites réputés d’une autre époque.

Comme je ne cesse de le dire dans ce forum, ’’l’anonymat (tout à fait relatif) dont ces intrus pensent jouir sur le Web ne les protège absolument pas et ne les autorise pas à toute forme de dérive. C’est vrai que le web est un immense défouloir : Entre les fausses nouvelles et les insultes, en passant par la propagande la plus nauséabonde, on trouve de tout : Mais il est facile de trouver votre IP si les sites le permettent. Heureusement pour nous que Lefaso.net depuis sa création sans être partisan de qui que ça soit, a lutté vigoureusement avec son créateur qui est le Dr. C. Paré a la plume d’or et son équipe pour la liberté d’exprimer.

J’ai vu avec le régime de Blaise Compaoré des individus visités les Bureaux de Lefaso.net a Tampouy pour trouver certainement des IP. des internautes de bonne foi qui luttaient contre le tripatouillage de l’article 37.

Accuser Lefaso.net de partisan, c’est de ne pas connaitre les objectifs concrets du Dr. Paré pour la liberté de pouvoir s’exprimer sans frais. Et pour être parmi les internautes de bonne foi et de talent de Lefaso.net, il faut placer tes contributions fondées au service des autres dans un souci permanent de promouvoir une société fraternelle, solidaire, capable de rendre aux plus faibles, à ceux que la vie a durement éprouvés leur dignité. Que j’appelle ‘’’’’transmettre.’’’’’

Revenant a cette sortie du jeune Traoré pour une affaire banale considéré comme atteinte de quoi je ne sais pas de l’état non vérifié, c’est agir sans expérience et de gouverner que par le copier-coller.

Je ne voulais pas commenter cette sortie du jeune I. Traoré, mais les agissements de mon ami SOME m’interpellent a lui dire que dans un état normalement constitué, le fait, pour un militaire, de s’emparer d’une arme pour se livrer à une activité autre que celle qui lui a été assignée par la hiérarchie est un acte d’insoumission caractérisée et passible des plus hautes sanctions. Nos responsables constitutionnel ont fait l’erreur gravissime de tolérer les coups d’etats dans notre pays ces derniers temps, et pire, de céder au chantage de ces putschistes.

C’est pourquoi je persiste et signe en disant de faire attention au poids des mots, surtout prononcés devant un peuple Burkinabé qui prend à la lettre et au sens propre ce qu’il entend. Dire, je suis là pour éradiquer les terroristes et remettre le pouvoir a qui de droit, et dévier ensuite de sa parole pour le copier-coller devienne du mensonge mon ami SOME. Et un régime qui refuse d’entendre les critiques, et, pire, qui les fait taire par tous les moyens possibles et imaginables, n’a aucun avenir dans le pays des hommes i ntégres. L’alternance n’est pas une fin en soi et encore moins un projet de société ou un programme de gouvernement, ou la prise du pouvoir par des armes.

Sortir dire ce qu’on veut en tant qu’un responsable d’un état comme qualifie mon ami SOME, c’est facile, mais on doit penser a sa responsabilité envers 20 millions de personnes qui s’appelle la culture de bonne gouvernance. Cette histoire enfantine va semer le désordre : Le désordre et l´anarchie ouvrent la porte à tous les abus en poussant chaque individu à obéir à son propre sens de la justice et non pas à obéir à une justice commune. Dans une situation de désordre, c’est la « loi de la jungle » qui s’installe. Le désordre permet ainsi la réalisation d´une plus grande injustice.

C’est comme soutenir un coup d’état a la maternelle au nom d’’un peuple qui ne les a pas donnés le pouvoir, qui est un pas en avant, trois pas en arrière pour notre pays avec des militaires sans aucune formation politique. C’est la troublante chorégraphie du Burkina post-coloniale. "Faites ce que je dis mais ne faites pas ce que je fais", telle est leur crédo.

Mon ami SOME, comme toi je soutiens l’alternance politique du Burkina avec les jeunes comme I.Traoré, mais moi je transmets et ne joue pas a l’autruche : Toi-même tu sais que notre jeune président fait fausse route avec ses proches conseillers. En sachant que La discipline et l’intelligence qui sont, entre autres, des qualités d’un bon militaire, et doivent être mis en avant le sens de l’honneur, la probité, le professionnalisme et le comportement, qui, manque chez ces putschistes affamés du pouvoir. Et tout manquement doit être sanctionné selon la gravité des faits. Au sein de l’armée Burkinabé depuis sa création, tous reçoivent la même éducation.

Ce qui ne me regarde, Se murer dans les arguments sans fondement pour accréditer les assassins du groupe Wagner pour protéger son regime oubliant pour quelle mission on n’a pris le pouvoir, surtout sachant que « la Russie n’entend surtout pas aider l’Afrique", elle préfère laisser ses militaires sans formation politique se vautrer dans leurs errements et leur mauvaise gouvernance pour qu’ils continuent à stagner dans leur sous-développement et leur gouvernance, en se laissant exploiter complaisamment jusqu’à la moelle et piller sans vergogne leurs matières premières et ressources naturelles, pire qu’aucun colonisateur n’a jamais osé le faire.

Conclusion : Tout mon souhait c’est que les jeunes militaires qui tiennent le pouvoir dans les pays du Sahel descendent sur terre en conseillant les putschistes du Niger de réfléchir deux fois pour ne pas rentrer dans le jeu de la Russie qui est de diviser dans le sang pour en profiter comme ça se passe en Ukraine. Ils peuvent calmer tout le monde en libérant le président elu démocratiquement et faire un referendum pour des élections transparentes si le peuple le désire. Souvent la vérité du vieux Ka perce les cœurs, mais ne tue pas. Ici la sagesse m’interpelle, et je respecte cet appel.