Coopération Burkina-Russie : Le Premier ministre burkinabè reçoit une délégation du parlement russe

‘’’’’’’’’’’’’’A’’’’’’’’’’’’’’ ‘’’West :’’’ Les travaux champêtre m’obligent à limiter mes contributions sur les forums, mais tu mérites une des confirmation que si le populisme et le nationalisme ont souvent des éléments en commun, ces deux termes renvoient aussi à des idéologies et à des pratiques politiques souvent très différentes d’un pays à l’autre : Copier le Mali et vouloir se faire montrer au peuple Burkinabé sans ses propres idées reste pour moi très enfantin. Et depuis que ce premier est au commande avec sa ministre des affaires, ils confondent tout : Ils croient que copier le Mali, ils défendent la souveraineté de leur pays, ce qui est de la manipulation de leur part. Oui les putschistes Burkinabé et ceux du Mali se ressembles, mais le peuples Malien et le peuple Burkinabé sont différents. Ce premier ministre qui insiste pour s’éterniser au pouvoir oublie une chose, le Burkinabé est démocrate de naissance, et dans une démocratie, le pouvoir ne se donne pas, il s’arrache dans la légalité des urnes et dans la non-violence. On n’a vu des responsables des partis politiques influents ici au Burkina qui, a l’étranger se prenaient pour des Dieux, mais ce populisme a fait envoyer les responsables de ces partis qui ont tenus le volant des affaires de l’état Burkinabé au mûr, a ne citer que le CDP de Blaise Compaoré avec un frère populiste, ou le MPP avec l’autre. Si le premier ministre et sa ministre des affaires étrangères conseillaient au jeune Traoré de revoir sa copie avec les ambassadeurs ou ambassadrices qui s’éternisent dans les pays capables de nos nous aider sans contre parti, surtout vouloir exploiter nos mines comme la Russie, une nomination comme le nouveau DG de l’ONEA a la place d’ambassadeur de notre pays aux Etats Unis, en France, en Suisse ou en Chine, passera inaperçu, car, rare de nos ambassade a des syndicalistes comme l’ONEA.

On espérait que la transition d’I. Traoré pourra au moins limiter cette politisation de l’Administration à outrance, qui rime avec inefficacité et des mauvaises nomination surtout gestion la chose publique, et livrera un combat sans merci contre la corruption qui ruine le développement du pays en favorisant l’enrichissement personnel de quelques acteurs cupides et insatiables." On vous regarde ! On sait très bien que les jeunes dirigeants et autres "opposants historiques" sont toujours pleins de bonnes résolutions et d’idées généreuses et "intègres" avant d’accéder au pouvoir, mais ils changent radicalement une fois qu’ils y sont. Ce qui est certain, depuis 2015 la justice est là pour décider de ce qui est juste. Nul n’est au-dessus de la loi. Si le président est impliqué, il doit répondre de ses actes. Merci de lire mon jeune West.