Soutien humanitaire au Burkina Faso : Moscou débloque environ 1,5 milliard de FCFA

Je reviens avec ma modeste contribution m’adresser à quelques internautes a ne citer que mon jeune ’’’Le nouveau sage , Le peuple, AA, et les autres, qui se réjouissent de cet attrape nigot. Avant d’aller en profondeur de ma modeste contribution, je voudrais demandé à ces internautes sans aucune honte ni gène, et qui applaudissent ce que le Burkina pouvait, s’il n’avait pas des personnes come ces internautes, aider la Russie.

Quel Bilan faire, 63 ans après ? C’est la question qu’il faut se poser. Comment un pays qui possède des richesses potentielles aussi colossales peut-il être tombé si bas ? Et ce sont les Russes qui se précipitent comme au Mali ou en Centre Afrique pour nous la prendre ? La colonisation était une malédiction mais des personnes comme vous les internautes dans vos trous à tendre la main et remercier... c’est encore pire.

Beaucoup qui liront ce que j’écris diront que Ka ne veut pas qu’on aide le Burkina, ça sera une incompréhension de leur part, même les Russes des vieux partenaires, et depuis notre indépendance qu’est ce qu’ils ont fait pour le Burkina ? Aujourd’hui ils veulent seulement comme au Mali ou en Centre Afrique protéger des dirigeants qui veulent s’éterniser au pouvoir et piller les richesses des Etats. C’est pourquoi je demande qu’on n’accepte pas l’aide telle qu’elle a été conçue, et telle qu’elle se développe comme fait la Russie pour pouvoir mettre la main sur notre pays. Si la Russie ou n’importe quel pays de l’occident veut nous aider, la meilleure façon consiste a faire en sorte que nous ayons la capacité de produire et exploiter nous même notre sous-sol pour satisfaire les besoins de tout le peuple. Le Burkina en ce moment veut que l’aide soit orienté vers le développement réel des peuples pour lesquels elle est nécessaire.

Et pour éclairer les cervelles charbonnées des internautes qui applaudissent de l’aide attrape nigot, je leur dit qu’il y a trois ans, de passage au Kenyan, je me suis permis de faire un escale au Rwanda pour rendre visite a un collègue conseiller au développement a la retraite mais continue de servir son expérience au président Kagamé. Je lui ai posé la question pourquoi le développement sous Kagamé ne cesse d’étonner plus d’un ? Il m’a répondu qu’en 1987, le jeune Kagamé ne cessait de dire qu’il sera difficile d’avoir un dirigeant comme Thomas Sankara dans tout le continent. Au pouvoir il s’est fait lui-même Thomas Sankara : Et sa devise de gouvernance est de ne pas compter sur quelqu’un pour vivre, produire soi-même. C’est pourquoi vous ne verrez pas des mendiants, ou des internautes qui applaudissent des miettes que le Ruanda reçois. Les mendiants et les personnes qui aiment tendre les mains comme nos internautes, on les ramasse et les éduquer dans une île entre le Congo et le Ruanda sans le regard des autres. L’aide internationale est utilisé pour les infrastructures et non pour ceux qui ne veulent pas travailler que de tendre la main. On ne verra jamais un ministre populiste Rwandais sourire avec un partenaire dans les réseaux sociaux. Quand le Rwanda dit non c’est non.

Pour que le Burkina avance, oublions les internautes sans cervelle que tendre la main et attendre pour remercier. Essayons d’être des personnes éduquées, et discerner ce qui peut dégrader le "vivre ensemble", aidons nos dirigeants a gérer équitablement la chose publique, en dénonçant les injustices et les inégalités. Ainsi on évite alors d’attendre les miettes des autres. Tant que les Burkinabés n’auront pas compris cela, comme Sankara voulait les transmettre, le pays sera toujours a la remorque des prédateurs.

Si le populisme et le nationalisme ont souvent des éléments en commun, ces deux termes renvoient aussi à des idéologies et à des pratiques politiques souvent très différentes d’un pays à l’autre. "La Russie n’entend surtout pas aider le Burkina à la place des Burkinabés", elle préfère laisser les Burkinabé se vautrer dans leurs errements et leu mauvaise gouvernance pour qu’ils continuent à stagner dans leur sous-développement et leur gouvernance. Sans rancune, car, souvent la vérité du vieux Ka rougit les yeux, mais ne les casse pas.