Attaque du convoi de ravitaillement de la ville de Djibo : 37 morts, 29 blessés et 3 personnes portées disparues

Ainsi donc on a mis sur la route des dizaines de personnes sachant qu’on ne pouvait pas garantir qu’ils arriveraient à bon port. Et on a continué à boire son Champagne tranquillement chez soi. Puis on est allé dire aux collègues des victimes militaires qu’on ressent la même douleur qu’eux...
En comptabilité on dira que ces humains ont été passé en pertes et profits divers. Du genre c’est pas trop grave, c’est la vie. Comme si c’etait normal de sacrifier la vie de ces jeunes soldats sans état d’âme. Les civils eux n’ont même pas eu droit à un mot de compassion.

Chacun paiera le prix de sa compromission.