Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Crise humanitaire : Médecins sans frontières lance un S.O.S pour la ville de Sebba
29 juillet 2022, 10:01, par
Juste
" les besoins sont un manque criard de nourriture pour la population. Les gens se nourrissent avec des feuilles, tous les jours". Ce sont des révélations qui donnent le froid ; il y a des Burkinabê qui vivent les époques mediévales et pendant ce temps la bière coule à flot à Ouaga, les maquis continuent de se remplir de jour comme de nuit. Nous avons touché le fond en terme de banalisation de la vie humaine dans ce pays ; les terroristes sont mauvais mais nous, nous sommes pires. Si vraiment il n’y a pas de solution, est ce qu’il n’est pas envisageable de céder le pays aux groupes terroristes et demander à la population de changer de mode de vie pour s’adapter ? On ne peut pas laisser une partie de nous même dans des conditions inhumaines et rentrer nous coucher avec nos femmes et nos enfants sans faire de mauvais rêves. Notre armée est défaillante sur le terrain, la politique politicienne a miné la vie en communauté, les nouvelles autorités n’ont pas fini de se partager les postes à Ouaga....ET LES POPULATIONS SOUFFRENT. On fait comment ?
" les besoins sont un manque criard de nourriture pour la population. Les gens se nourrissent avec des feuilles, tous les jours". Ce sont des révélations qui donnent le froid ; il y a des Burkinabê qui vivent les époques mediévales et pendant ce temps la bière coule à flot à Ouaga, les maquis continuent de se remplir de jour comme de nuit. Nous avons touché le fond en terme de banalisation de la vie humaine dans ce pays ; les terroristes sont mauvais mais nous, nous sommes pires. Si vraiment il n’y a pas de solution, est ce qu’il n’est pas envisageable de céder le pays aux groupes terroristes et demander à la population de changer de mode de vie pour s’adapter ? On ne peut pas laisser une partie de nous même dans des conditions inhumaines et rentrer nous coucher avec nos femmes et nos enfants sans faire de mauvais rêves. Notre armée est défaillante sur le terrain, la politique politicienne a miné la vie en communauté, les nouvelles autorités n’ont pas fini de se partager les postes à Ouaga....ET LES POPULATIONS SOUFFRENT. On fait comment ?