Burkina Faso : Le lieutenant-colonel Mohamed Emmanuel Zoungrana mis aux arrêts pour tentative de coup d’Etat

’’’’’’’A’’’’’’ mon ami SOME, tu dis : ’’’’’’’’’’’’’’’’Non je ne peux point cautionner ce combat d’arrière-garde et rétrograde dont tu t’es passée maître. C’est ton droit de t’engluer dans ton traditionalisme conservateur, ça ce n’est pas nouveau. Mais pire, tu ne caches plus ton tribalisme qui pers pire dans tes écrits.’’’’’’’’’’’’’’’’’’’

Ici je vais être indulgent en tant qu’un internaute de bonne foi qui voit les choses autrement.

Car, je ne voulais pas intervenir sur cette histoire du coup d’état qui est du déjà-vu : Surtout que l’intéresser est connu être proche du nouveau Ivoirien avec ses billets de banque a la pelle, et que rien n’est impossible dans un pays bananière.
Je ne peux m’empêcher de contribuer au débat hors sujet d’une personne qui n’arrive pas à prendre ses responsabilités et dire clairement qu’elle défende bec et ongles le nouveau Ivoirien comme le fait fièrement caca en détestant Thomas Sankara.

Et quand on sort de ce cadre de s’affirmer sur ses opinions en jouant le caméléon, on se fait mal comprendre. Madame Guirma est très intelligente, et ce qu’elle ne dira pas, c’est que durant les quatre ans du CNR, toutes les exécutions ont été orchestrées par le ministre de la justice de la RDP pour pouvoir compromettre Thomas Sankara et prendre le pouvoir.

Mes amis SOME et Hess, sachiez que les bourgeois comme certains qui avaient des postes dans les ministères avant l’arrivée de la RDP, ne croyaient pas que l’idéologie progressiste a la faveur de la révolution allait l’emporter sur l’idéologie bourgeoise : Surtout que les diviseurs nés comme le feu Salif Diallo ont contrecarré les projets de ces bourgeoises bourgeois dont d’autres étaient obligé de fuir le pays.

Et quand vous lisez très souvent les contributions de madame Guirma, et quand on évoque la révolution et le 15 Octobre 1987, le nom de Sigué est toujours cité, ou les condamnés du CNR, et ce qu’elle ne dira pas, c’est que le ministre de la justice du CNR Blaise Compaoré qui supervisait toutes.

Condamner les morts comme Sigué Vincent, c’est de ne pas connaître que lors de l’opération du 4 Août 1983 dirigée par ce dernier, Blaise lui a dit que si le coup marchait il allait être le Président et Thomas resterait Premier Ministre. Et toutes ou tous, celles ou ceux qui veulent avoir cette confirmation peuvent relire le livre de l’honorable Valère SOME. Blaise Compaoré, prétend toujours que c’est lui qui a mené les opérations pour donner le pouvoir a Thomas Sankara, c’est faut : C’est Sigué qui a mené l’opération du 4 Août 1983 et qui a arrêté Jean-Baptiste Ouédraogo en le sauvant de Hyacinthe qui voulait le tuer. On peut lire cette confirmation dans le livre de JBO.

Car, il voulait être Président, mais il ne pouvait pas, le Coup d’Etat du 4 Août 1983 a été préparé par le PAI, la Lybie ainsi que le Ghana. L’homme fort en réalité était Sigué Vincent qui assurait la sécurité de Thomas Sankara et à instaurer la Zone de Haute Sécurité autour de la présidence et du Conseil de l’Entente. Blaise est un peureux.

Madame Guirma doit cesser d’insister pour blanchir Blaise Compaoré qui a su tromper certains révolutionnaires en les faisant croire que Thomas qui voulait élargir le CNR aux organisations de masse faisait une déviation droitière.

Et ma contribution est pour la dire que je la respecte malgré nos différences, et que les révolutions qui surviennent de par le monde ne se ressemblent point : Chaque révolution apporte son originalité qui la distingue des autre, Et l’insurrection du 4 Aout 1983, la victoire de la révolution et l’avènement du conseil nationale de la révolution, le changement du nom du pays, sont dont incontestablement la consécration et l’aboutissement conséquent des luttes du peuple Burkinabé contre la bourgeoisie, la domination, et l’exploitation néocolonial.