Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
ADF-RDA : Rasmané Ilboudo et ses camarades confirment leur démission et défient Me Noël Ouédraogo
23 juillet 2021, 07:30, par
Ka
Ici je me permets de dire à Mr. Gilbert Ouédraogo qu’il faut cesser d’imputer à des facteurs externes les causes de ses propres insuffisances et manquements. Rappelez-vous des 29, 30, et 31 Octobre 2014 dont vous aviez tenu tout le peuple Burkinabé en haleine dans un hôtel de luxe de la capitale, par ce que, ce peuple que vous voulez gouverner, attendait de vous de refuser les miettes de Blaise Compaoré pour votre gosier large, afin d’éviter un soulèvement populaire suivis des morts. Si quelqu’un joue encore un double jeu dans son propre parti, c’est vous.
Et vous devez savoir, que, comme vous n’aviez plus les miettes pour arroser vos membres et les instrumentaliser a votre guise, sachiez qu’au Burkina Faso, c’est connu, ’’’personne ne milite dans un parti politique pour une quelconque idéologie : D’ailleurs, ils sont très peu qui savent ce que cela veut dire. Leur seule raison de militer, c’est leurs intérêts.’’’ Tous les démissionnaires, beaucoup sont ceux qui étaient avec vous pour sucer les miettes de Blaise Compaoré pour qu’il s’éternise au pouvoir, c’est pourquoi, cela fera sourire vos militants, quand on menace de porter plainte contre eux parce qu’ils sont allés chercher leurs intérêts ailleurs.
Conclusion : tant que la politique sera comprise ainsi, elle ne répondra jamais aux aspirations des populations. D’où la méfiance à son égard et de tous ceux qui la font.
Ici, il n’est pas productif a la justice de laisser un parti politique en dislocation, de porter plainte en diffamation contre ses membres qui décident de partir ou de désertés, car, il y a des principes en droit, et si ces principes ne sont pas respectés, ils ne seront jamais assortie de mesures réellement contraignantes et appliquées, et qui nous donne à se demander où va-t-on ?
Ici je me permets de dire à Mr. Gilbert Ouédraogo qu’il faut cesser d’imputer à des facteurs externes les causes de ses propres insuffisances et manquements. Rappelez-vous des 29, 30, et 31 Octobre 2014 dont vous aviez tenu tout le peuple Burkinabé en haleine dans un hôtel de luxe de la capitale, par ce que, ce peuple que vous voulez gouverner, attendait de vous de refuser les miettes de Blaise Compaoré pour votre gosier large, afin d’éviter un soulèvement populaire suivis des morts. Si quelqu’un joue encore un double jeu dans son propre parti, c’est vous.
Et vous devez savoir, que, comme vous n’aviez plus les miettes pour arroser vos membres et les instrumentaliser a votre guise, sachiez qu’au Burkina Faso, c’est connu, ’’’personne ne milite dans un parti politique pour une quelconque idéologie : D’ailleurs, ils sont très peu qui savent ce que cela veut dire. Leur seule raison de militer, c’est leurs intérêts.’’’ Tous les démissionnaires, beaucoup sont ceux qui étaient avec vous pour sucer les miettes de Blaise Compaoré pour qu’il s’éternise au pouvoir, c’est pourquoi, cela fera sourire vos militants, quand on menace de porter plainte contre eux parce qu’ils sont allés chercher leurs intérêts ailleurs.
Conclusion : tant que la politique sera comprise ainsi, elle ne répondra jamais aux aspirations des populations. D’où la méfiance à son égard et de tous ceux qui la font.
Ici, il n’est pas productif a la justice de laisser un parti politique en dislocation, de porter plainte en diffamation contre ses membres qui décident de partir ou de désertés, car, il y a des principes en droit, et si ces principes ne sont pas respectés, ils ne seront jamais assortie de mesures réellement contraignantes et appliquées, et qui nous donne à se demander où va-t-on ?