"Un salaire ne doit en aucun cas être un moyen de chantage", Bassolma Bazié à propos de sa démission de la fonction publique

@Le Vigilent
Hum, la comparaison me parait audacieuse, voire totalement erronée.
Comment, en effet, peut-on se permettre de comparer le leader de Solidarność, dont l’attitude modérée a favorisé les compromis et permis l’évolution pluri-syndicale, dans une Pologne, alors placée sous le joug soviétique, avec Bassolma Bazié, dont l’entêtement, la vision étriquée et le corporatisme, lui laissent croire que seuls les fonctionnaires représentent les travailleurs du pays.
Rappelons que l’engagement de Lech Walesa lui aura valu de passer un an dans les prisons polonaises et une mise sous surveillance, qui ne l’a pas empêché de poursuivre sa tache, malgré les risques encourus.
Vous écrivez ensuite : "A quand le parti politique des syndicats", ce qui est franchement antinomique, syndicats et partis politiques ayant des missions et des attributions clairement distinctes.
Enfin, quand le peuple n’a pas de héros, il s’en invente.