Les élections présidentielle et législatives se tiendront à bonne date, c’est-à-dire le 22 novembre 2020. C’est ce qu’a laissé entendre ce mercredi 29 avril 2020 Simon Compaoré, parlant des conclusions du dialogue politique national qui s’est tenu la semaine dernière.
Président de la délégation des partis de la Majorité audit dialogue, M. Compaoré a relevé que la question n’est pas de savoir si les élections se tiendront ou pas, elles sont une obligation constitutionnelle.
A l’en croire, ce n’est pas uniquement la classe politique partie au dialogue (Majorité et Chef de file de l’opposition politique au Burkina Faso) qui y tient, même le président Roch Kaboré a réitéré cette obligation. Instructions ont donc été données à la structure en charge de la question, la Commission électorale nationale indépendante (CENI) pour faire des propositions à cette fin.
C’est aussi l’argument avancé par le Chef de file de l’opposition politique au Burkina Faso (CFOP-BF) à sa conférence de presse de mardi, 28 avril 2020.
Selon le parti au pouvoir, le MPP, ne pas respecter la date des élections, c’est ouvrir la voie à des dérapages.
Lefaso.net
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