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Insécurité au Burkina : « La solution à cette crise n’est pas que militaire. Il est temps d’envisager des solutions ad ’hoc », propose le CFOP

Publié le mercredi 21 août 2019 à 22h55min

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Insécurité au Burkina : « La solution à cette crise n’est pas que militaire. Il est temps d’envisager des solutions ad ’hoc », propose le CFOP

Le Cadre de concertation du Chef de file de l’Opposition politique au Burkina Faso (CC/CFOP) a tenu une réunion extraordinaire le mardi 20 août 2019 au siège du CFOP à Ouagadougou. Présidée par le Chef de file de l’Opposition, M. Zéphirin DIABRE, la rencontre d’urgence, qui intervenait alors que l’administration du CFOP était en congé, avait un seul point inscrit à son ordre du jour : l’attaque terroriste contre le détachement militaire de Koutougou le 19 août 2019.

A l’entame de la réunion, le Chef de file de l’Opposition a demandé une minute de silence en mémoire des victimes de l’attaque en question.

L’Opposition politique burkinabè a eu une pensée pieuse à l’endroit des victimes de cette attaque lâche et barbare. Elle présente ses condoléances à leurs familles respectives et aux Forces de défense et de sécurité (FDS). A l’intention des blessés, l’Opposition politique formule ses vœux de prompt et total rétablissement. L’Opposition souhaite également que tout soit mis en œuvre pour retrouver tous les soldats disparus, sains et saufs.

En ces circonstances particulièrement douloureuses pour l’ensemble de la Nation, l’Opposition appelle au rassemblement des fils et filles du Burkina Faso, par-delà de leurs divergences. Seule une union sacrée de tous les Burkinabè, en soutien à nos FDS, pourra nous garantir la victoire finale.

L’Opposition politique interpelle vigoureusement le Président du Faso et son Gouvernement sur leur responsabilité de renforcer la capacité opérationnelle de nos FDS. Car, cette attaque vient une fois de plus mettre à nu les défaillances de la politique de notre Gouvernement en matière de défense du territoire et de sécurisation des citoyens.

L’Opposition politique burkinabè invite instamment le Président du Faso à faire appel toutes les compétences techniques à même de contribuer à mettre fin à ces attaques barbares. De plus, il apparait de plus en plus clairement que la solution à cette crise n’est pas que militaire. Il est donc temps d’envisager des solutions ad ’hoc.
Débutée à 18 heures, la rencontre a pris fin à 20 heures dans une ambiance de recueillement.

Ouagadougou, le 21 août 2019
Le Service de communication du Chef de file de l’Opposition politique

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Vos commentaires

  • Le 21 août 2019 à 15:22, par Le réaliste En réponse à : Insécurité au Burkina : « La solution à cette crise n’est pas que militaire. Il est temps d’envisager des solutions ad ’hoc », propose le CFOP

    En réalité, toutes les dérives actuelles du pays sont imputables à vous, tous les politiciens. C’est bien vous tous, avec la bénédiction du régime déchu dont beaucoup d’entre vous furent membres, alors dirigé depuis 1987 par Blaise COMPAORE après sa haute trahison, qui avez travailler à fragiliser toutes les couches socio-professionnelles de nos populations. Malheureusement, l’armée qui devait être mise à l’écart pour sauvegarder l’intérêt général en cas de cas, a été embarquée par vous dans cette merde et la situation est ce que nous vivons actuellement.
    Voyez vous que dans l’armée actuellement, beaucoup de hauts gradés militaires surtout sont non opérationnels, mais accrochés à l’argent à cause de leurs grades, ce depuis le temps de Blaise COMPAORE. Les financiers militaires sont des milliardaires car profitant des fonds dévolus aux opérations depuis les attaques tout comme beaucoup de civils comme BOUDA et bien d’autres, même du CFOP-BF.
    Pour preuve, quel officier commandait le détachement au moment de l’attaque ? Les alertes sur le mouvement des assaillants auraient été données bien avant l’attaque et quelle décision a été prise ? C’est dommage

  • Le 21 août 2019 à 15:24, par PIONG YANG En réponse à : Insécurité au Burkina : « La solution à cette crise n’est pas que militaire. Il est temps d’envisager des solutions ad ’hoc », propose le CFOP

    Tu as eu le temps de vite rectifier le tire pour racheter ton parti qui a pondu un communique aux antipodes du bon sens. Heureusement d’ailleurs. Du reste, nous le savions depuis, la solution ne peut pas être seulement militaire. Mai jamais nous ne négocierons avec les terroristes. Quitte a créer dans la zone une milice pro peuple pour affaiblir le diable.

  • Le 21 août 2019 à 15:27, par HUG En réponse à : Insécurité au Burkina : « La solution à cette crise n’est pas que militaire. Il est temps d’envisager des solutions ad ’hoc », propose le CFOP

    Quelles sont alors les solutions ad’hoc que vous proposez.? Ce sont ces genres de solutions que nous voulons.
    Moi je propose que dans tous les camps militaires et autres lieux de sécurité soient équipés de drones pouvant voir de mouvements suspects à moins 2000Mètre et qu’on construise un centre hyper blindé dans lequel ceux qui sont censés surveiller les écrans doivent très très concentrés pour pouvoir sonner l"alerte en cas de tout mouvement suspect en direction des camps. On dira que cela coûte chers mais il faut que les gens sachent que la sécurité n’a pas de prix.

  • Le 21 août 2019 à 15:29, par Paligba En réponse à : Insécurité au Burkina : « La solution à cette crise n’est pas que militaire. Il est temps d’envisager des solutions ad ’hoc », propose le CFOP

    DECISIONS A PRENDRE URGEMMENT POUR SAUVER LE FASO

    1- Suspendre les partis politiques
    2- Suspendre les activites syndicales
    3- Suspendre les emissions interactives de toutes les radios et televisions
    4- Imposer la fermeture de tous les debits de boisson a partir de 18 heures
    5 - Suspendre toute mainiestation festive sur toute l’etendue du territoire (Mariage, funerailles, baptemes, etc).
    6- Nommer un nouveau premier ministre
    7- Former un nouveau gouvernement de 10 membres : a) Defense et Securite b) Sante c) Education Nationale et Recherche Scientique d) Developpement Rural e) Communications f) Relations exterieurs g) Economie et Developpement h) Affaires sociales et familiales i) Commerce, Industrie et artisanat j) Energie, mines et carrieres.
    8- Suspendre le proces du coup d’etat. On reglera les comptes entre nous lorsque nous aurons fini avec nos ennemis communs
    9- Liberer Gilbert Diendere et lui donner une derniere chance de se racheter et racheter les siens
    10- Faire revenir Fatou pour permettre a Gilbert de retrouver un certain equilibre lui permettant d’accomplir sa mission

    La patrie ou la mort, nous vaincrons !

  • Le 21 août 2019 à 16:08, par Some Dele En réponse à : Insécurité au Burkina : « La solution à cette crise n’est pas que militaire. Il est temps d’envisager des solutions ad ’hoc », propose le CFOP

    Paligda vos propositions ne sont pas insensées même si certaines me paraissent maximalistes, voir ant-démocratiques au risques de nous mettre en désaccord entre nous et avec la communauté internationale. Il s,agit par exemple de la suspension du jeu des partis politiques.
    J,ajouterai sur votre liste et en premier lieu, un PACTE politique et civil négocié entre les acteurs majeurs politiques et civils de notre société. Il se conclut avec le retrait partiel du président et la mise en place d,un gouvernement d,union nationale pour une transition de 3 ans. Le 1erreur ministre repond directement au peuple avec un consentement minimal du président.

  • Le 21 août 2019 à 16:18, par nogosida En réponse à : Insécurité au Burkina : « La solution à cette crise n’est pas que militaire. Il est temps d’envisager des solutions ad ’hoc », propose le CFOP

    Paligba, reveille toi vite . qu’elle beau reve de ta part.continue de faire des cauchemards. je passais

  • Le 21 août 2019 à 18:19, par peu crédible ! En réponse à : Insécurité au Burkina : « La solution à cette crise n’est pas que militaire. Il est temps d’envisager des solutions ad ’hoc », propose le CFOP

    État d’urgence proclamée comme le dit très bien l’internaute Paligba sur tout le territoire. Couvre feu général à partir de 22 heures jusqu’à 5 heures du matin. Fermeture des débits de boissons à partir de 20 heures et surtaxation de 50% des sucreries et bières non indispensable (et même dangereux) pour la santé des burkinabé et les taxes collectées seront affectées à 100 % à la défense, etc. 10 ministres peuvent très bien mener la barque ! C’est le début d’un plan Marshal pour reconquérir notre dignité d’homme intègre ! Obligation aux travailleurs du public comme du privé de travailler pour le bien commun un samedi sur deux pour nettoyer la cité ! Le Rwanda montre l’exemple avec son président lui-même, un vrai sankariste !
    Parmi les 10 ministres, il manque l’environnement mais on peut le rattacher au développement rural. Car, de ce côté, il y a aussi trop de terroristes de l’environnement comme forêt de Kua.... Si on détruit l’environnement, nous favorisons le terreau fertile des terroristes qui tuent et, c’est le cas aujourd’hui. STOP aux mines pour explorer notre sous sol. C’est un contre développement, destructeur de l’environnement et terreau très fertile pour le terrorisme.
    Question : que font nos autorités avec nos sociétés de téléphonie mobile pour contrôler toutes les communications en zone sensible ? Une telle attaque avec au moins 24 militaires tués ne peut se faire sans une grande coordination et, donc, utilisation de moyens de communication existant...

  • Le 21 août 2019 à 18:35, par ô pays mon beau peuple En réponse à : Insécurité au Burkina : « La solution à cette crise n’est pas que militaire. Il est temps d’envisager des solutions ad ’hoc », propose le CFOP

    Cas similaires dans d’autres endroits du monde :
    1)Par RFI Publié le 21-01-2019 Modifié le 21-01-2019 à 04:18
    Au moins 23 membres des forces de sécurité afghanes ont été tués vendredi dans une très longue attaque revendiquée par les talibans contre une base conjointe américano-afghane du sud-ouest de l’Afghanistan, ont annoncé des responsables.
    Cet assaut intervient alors que des émissaires de Washington et des insurgés multiplient les rencontres, une nouvelle session de négociations se tenant cette semaine à Doha.
    2)Dix morts et 25 blessés, c’est le bilan de l’attaque la plus meurtrière qui a visé la Minusma, la Mission de maintien de la paix au Mali. Ça s’est passé dimanche matin, à Aguelhok, à 250 kilomètres au nord de Kidal, dans le nord-est du Mali. Des hommes armés ont pris d’assaut des points de contrôle et la base du contingent tchadien de la Minusma. Cette attaque complexe a été revendiquée dans la soirée par Aqmi, al-Qaida au Maghreb islamique.
    C’est à l’aube que les assaillants sont passés à l’action. Des dizaines d’hommes à bord de plusieurs véhicules, des habitants d’Aguelohk parlent de 4X4 ainsi que de motos.
    Après avoir coupé les communications, trois groupes, venus de destinations différentes auraient convergé sur le lieu de l’attaque. Les deux premiers prenant d’assaut les points de contrôle quand le dernier se serait posté sur le chemin de la base pour ralentir l’arrivée des renforts.
    Les casques bleus devront attendre l’arrivée d’hélicoptères quelques heures plus tard afin de repousser l’assaut. Trois des assaillants sont tués et un capturé
    3)Au moins dix-huit soldats nigériens ont été tués et quatre sont portés disparus après une attaque menée lundi par des djihadistes dans la zone d’Inates, dans l’ouest du pays, près de la frontière avec le Mali, a annoncé mardi 2 juillet le ministère de la défense nigérien.
    « Le 1er juillet, aux environs de 14 h 30 (15 h 30 en France), le poste militaire avancé d’Inates (…) a repoussé une attaque menée par des éléments terroristes », peut-on lire dans le communiqué du ministère. « Cette attaque a commencé avec l’explosion de deux véhicules kamikazes à l’entrée du camp suivie des tirs des terroristes venus à moto. La riposte avec l’appui aérien des partenaires [français et américains] a permis de mettre l’ennemi en déroute hors de nos frontières », poursuit le texte qui précise que « les opérations de ratissage se poursuivent ».
    Ceux qui aiment le Burkina et animés d’une certaine probité intellectuel, dites moi si on peut parler "du faible équipement" de nos FDS, de démission de gouvernement, de ....dans cette situation que nous vivons

  • Le 21 août 2019 à 18:39, par Mafoi En réponse à : Insécurité au Burkina : « La solution à cette crise n’est pas que militaire. Il est temps d’envisager des solutions ad ’hoc », propose le CFOP

    Quand on a rien ç dire,on se réfugie derrière les gros mots.Au fait vos fumeuses solutions "ad ’hoc" consistent en quoi pour le commun des mortels que suis-je ?Que du bla bla pour divertir son monde

  • Le 21 août 2019 à 18:41, par Bernard Luther King ou le Prophete Impie En réponse à : Insécurité au Burkina : « La solution à cette crise n’est pas que militaire. Il est temps d’envisager des solutions ad ’hoc », propose le CFOP

    Brainstorming (remue-meninges) pour une resorption des attaques terrorristes :
    Portes ouvertes au brainstorming etant, pourquoi qui de droit n’envisagerait pas, comme dejà incidemment evoqué par certains forumistes, de construire des tranchées d’auto-defense (TAD) autour des camps militaires anti-terrorristes de fortune dans les zones à haut risque ; ce dans un rayon de 360° autour des camps, si cela est faisable et non encore fait. On pourrait distinguer 2 sortes de TAD (Tranchées d’Auto-Defense) :
    a) tranchées d’anti-progression logistiques : Largeur 40cm, profondeur 30cm, Longueur à determiner. Ces tranchées auront pour objectif principal de bloquer toute progression terrorriste vers les camps militaires en faisant obstacle aux motos et vehicules
    b) tranchées de combat : Largeur 1m,50, profondeur 1m20 à 1m50, Longeur à determiner. Ces tranchées, comme dit, serviront de coin de defense et d’attaque contre toute eventuelle agression terrorriste.
    c) Ces constructions de tranchées pourraient prevoir des secteurs de 60° (voir un diagramme en camembert) au nombre de 2 maximum pour servir de couloir d’entrée-sortie.
    d) Ces tranchées doivent être construite sur une distance de 1km autour des camps militaires, en tenant compte de la portée de certaines armes, l’idée première etant de gêner et retarder les agressions terrorristes.
    e) Ces dispositions ont une valeur intrinsèque superieure à la perte de l’avantage de l’effet de surprise dûe à une quelconque prise de connaissance. A moins d’une attaque terrorriste aérienne ! Chose incroyable !
    f) NB : L’idée de construction de ces tranchées ne concerne que la protection des camps militaires anti-terrorriste (de fortune) , dans les zones à haut risque, si tant est qu’il y en a.
    Ces dispositions sont faisables et sans grand budget  : les Japonais ont traverser des cours d’eau avec motos et velos en faisant pont au dessus des epaules de volontaires immergés dans l’eau jusqu’au cou ; le debarquement de Normandie s’est fait par la construction d’un port artificielle en moins de 3ans alors qu’il faut 7 à 10 ans pour construire un port. Que valent alors des tranchées face à la survie de toute une nation ?
    "Dieu est et reste Burkinabè"

  • Le 21 août 2019 à 20:02, par Fils En réponse à : Insécurité au Burkina : « La solution à cette crise n’est pas que militaire. Il est temps d’envisager des solutions ad ’hoc », propose le CFOP

    Soutien total à Paligba je dirais même de suspendre tous rassemblement ou de donner des heures afin que tous soit suivi interdire les presses de tous bords jusqu’à nouvelle ordre

  • Le 22 août 2019 à 07:37, par Ka En réponse à : Insécurité au Burkina : « La solution à cette crise n’est pas que militaire. Il est temps d’envisager des solutions ad ’hoc », propose le CFOP

    Quelquefois la vérité blesse, mais ne tue pas mon honorable modérateur, merci de votre compréhension. Je profite de ce message m’adresser à mon ami SOME, que malgré ses activités débordantes ses critiques pertinentes nous manques.

    Je suis rassuré quand je lis quelques commentaires, car beaucoup de lecteurs de Lefaso.net ont avalé de n’importe quoi durant les trois dernières années avec les sorties de manipulation au nom du CFOP par les responsables de la CODER pour leur fonds de commerce qui était de vomir de la salade pour sauver leurs amis sans la justice.

    Aujourd’hui avec cette sortie du CFOP sans masque, les lecteurs et surtout les internautes de bonne foi ne sont plus prêts à avaler de n’importe quoi. Ils ont compris que ce qui est autorisé n’est pas pour autant OBLIGATOIRE. Le gouvernement et la vraie opposition qui veut aller de l’avant pour une solution commune et solide, ont compris qu’il ne faut plus coller la responsabilité de ce qui nous arrive à qui que ça soit, même pas à l’introverti Blaise Compaoré qui a la nostalgie de son pays, car ces coupeurs de route déguisés en terroristes qui sont nos enfants et nos frères et qui connaissent nos habitudes, cette sortie d’une opposition qui réfléchit avant d’agir, permettra dans les jours qui viennent, un débat nationale après le retour du président du G7 : Un vrai débat de manière plus sereine et plus constructive pour trouver une vraie solution et éradiquer ces punaises qui nous tuent comme des mouches.

    Très souvent, depuis que la CODER et ses responsables manipulait Zépherin Diabré avec sa réconciliation sans la justice, je me suis posé la question ‘’est-ce que la soi-disant "opposition" a vraiment envie de faire autre chose que s’opposer bêtement , c’est à dire refuser systématiquement tout ce qui risquerait de faire avancer les choses, au simple prétexte que ça serait "trahir" et renier son "statut" d’opposition ? Est-ce que ces gens ont vraiment quelque chose de sérieuse, concrète et acceptable à proposer au peuple en dehors de cette stupide stratégie d’obstruction et de terre brûlée ? Surtout leur rôle était de guetter la majorité, en la piégeant avec des mensonges à gogo, en allant de leur tromperie pour aggraver la situation et dire ‘’ôte toi de là que je m’y mette pour piller et faire pire.

    A présent je dis à Ablassé Ouédraogo qui en veux a Zéphirin, que le problème des coupeurs de route déguisés en terroristes est un combat à long terme, et demander la démission du président est d’être dans l’ignorance : Car, c’est trop facile de dire cela une fois que l’événement s’est produit. On ne peut pas jeter la suspicion sur tout le monde et quadriller le moindre mètre carré de terrain avec des forces de l’ordre en armes. Le propre de ces coupeurs de route qui vivent dans nos foyers, c’est de frapper n’importe où n’importe quoi n’importe comment, en particulier là où personne ne s’y attend.

    C’est pourquoi souvent, je me marre en lisant les âneries d’Ablassé Ouédraogo et quelques internautes partisans de l’ancien régime, car ils se permettent avec honte d’accuser les autres de leurs propres bêtises, préoccupés à se goinfrer insolemment. Et je dis à ces personnes d’arrêter leurs mains obscures pour détruire le pays que nous aimons toutes et tous.

    Il y eu un moment, le peuple Burkinabé se posait la question : ‘’’Dans notre opposition dite CFOP face au régime mouta mouta, qui représente qui, qui parle au nom de qui ? Qui légitime qui ? Avec les sorties hasardeuses au sein du CFOP, Zéphirin Diabré représente-t-il le CFOP en réalité ? Dans ce Burkina embourbé dans un terrorisme déguisé qui veut déstabiliser un pays non réconciliée, telles étaient les questions étouffées ? Mais maintenant que ces responsables de la CODER s’en prennent à Diabré et Kaboré par ce que leur fonds de commerce qui sont ses salades de la réconciliation sans la justice n’a pas été écouté, Zépherin Diabré est légitiment le patron du CFOP.

  • Le 22 août 2019 à 08:05, par yat En réponse à : Insécurité au Burkina : « La solution à cette crise n’est pas que militaire. Il est temps d’envisager des solutions ad ’hoc », propose le CFOP

    PALIGBA

    Je valide. Au moins tu as osé dire haut ce que les gens pensent bas. C’est la seule solution.

  • Le 22 août 2019 à 08:25, par Nan Lara An saara En réponse à : Insécurité au Burkina : « La solution à cette crise n’est pas que militaire. Il est temps d’envisager des solutions ad ’hoc », propose le CFOP

    humm
    L’UPC chef du CFOP demande la démission du gouvernement et le CFOP demande autre chose. allez y comprendre

  • Le 22 août 2019 à 08:37, par Nan Lara An saara En réponse à : Insécurité au Burkina : « La solution à cette crise n’est pas que militaire. Il est temps d’envisager des solutions ad ’hoc », propose le CFOP

    bravo à Bernard Luther King ou le Prophete Impie pour ces propositions

  • Le 22 août 2019 à 10:29, par SM En réponse à : Insécurité au Burkina : « La solution à cette crise n’est pas que militaire. Il est temps d’envisager des solutions ad ’hoc », propose le CFOP

    Le moment de l’émotion est passé. Il est temps qu’une enquête parlementaire indépendante soit menée pour déterminer le responsable de cet échec. Je ne conçoit pas qu’on tue autant de soldats. Quelqu’un n’a pas fait son travail et il faut le retrouver.

  • Le 22 août 2019 à 12:04, par NIKIEMA En réponse à : Insécurité au Burkina : « La solution à cette crise n’est pas que militaire. Il est temps d’envisager des solutions ad ’hoc », propose le CFOP

    Le realiste,

    je suis parfaitement d’accord avec vous. Analyse veridique et pertinente. Chapeau bas.

  • Le 28 août 2019 à 11:41, par koulou En réponse à : Insécurité au Burkina : « La solution à cette crise n’est pas que militaire. Il est temps d’envisager des solutions ad ’hoc », propose le CFOP

    si vous ne laide pour notre BUKINA JE M’ENLAVENT LES mains merci KOULOU

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