Burkina : Ces intellectuels baroudeurs …, malgré le "nanisme géant" !
Rien de plus délicat pour une catégorie de Burkinabè que de défendre son point de vue dans ses analyses de la situation, si celui-ci ne va pas dans le tempo des ‘’hommes forts’’ du moment et compagnies. C’est en cela qu’il faut louer le mérite de ces intellectuels-là qui, comme à leurs habitudes, continuent de s’assumer en refusant donc de demeurer dans leur tour d’ivoire ou de suivre sans convocations la vague populiste.
Comme on peut le constater,à chaque pouvoir ses ‘’chantres-laudateurs’’ et ‘’mercenaires’’, programmés à encenser automatiquement et à dégainer sans discernement. Selon qu’un point de vue, une information viennent du cercle de leurs champions ou soient en leur faveur… ou qu’ils n’aille pas dans leur tendance. Des expressions ridicules, tant injurieuses que destructives…, tout passe ici. Sans gêne et sans mœurs. Auto-proclamés « vrais patriotes », ce sont également les mêmes qui à la fois prônent l’unité et les rangs serrés autour des ’’champions’’ et alimentent les divisions par leurs propos et attitudes.
Dans une telle atmosphère, tenir une thèse contraire à celle des ‘’maîtres’’ du moment relève d’une véritable intrépidité. « Rien n’est plus dangereux que la vérité dans un monde qui ment », résume l’écrivaine égyptienne, psychiatre et combattante de l’émancipation des femmes dans le monde arabe, Nawal Saadawi. Autrement, c’est plus facile, et même tentant pour certains, de troquer leurs convictions contre le populisme par des analyses dans le sens qui plaît aux ‘’forts’’ du moment.
D’où le mérite qu’il faut reconnaître à ces intellectuels qui éclairent, contre vents et marrées, l’opinion par leurs analyses et points de vue sur les sujets d’enjeux majeurs. Traitées de tous les noms par ceux-là qui "veillent au grin", ces personnes-ressources ne baissent pourtant pas les bras, et c’est tant mieux pour la vie de la nation ! Un idéal qui confirme bien les propos de ces penseurs pour qui, « les intellectuels sont des acteurs contestés dans la cité..., mais qui nous sont indispensables pour comprendre les dangers qui nous menacent ».
Mille et une raisons donc d’encourager l’expression plurielle par la contribution également de ces personnes-ressources ; elles ne sont pas les plus perdantes dans un contexte de chaos que ceux qui tirent à boulets rouges sur elles, tout comme elles ne sont pas les plus gagnantes dans une situation nationale stable et épanouie.
Il faut donc honorer l’attitude de toutes ces personnes qui, dans leur travail au quotidien ou leurs opinions sur les questions nationales, ne cèdent pas aux désidératas du populisme pour plaire, mais demeurent plutôt dans leur dynamique d’être utiles à toute la société et à la patrie.
Comme l’énonce si bienl’ancien ambassadeur du Burkina en Lybie, Mousbila Sankara, dans une interview qu’il nous a accordée en fin janvier 2023 sur la situation nationale : « Les intellectuels ne doivent pas se terrer dans le silence. Ce sont eux qui doivent vraiment nous tirer vers le haut. Les intellectuels ne doivent donc pas se cacher ou se taire. Il y a des valeurs qui méritent qu’on meurt pour elles : la patrie, l’honneur, la dignité … Il faut que les gens parlent, et c’est maintenant même qu’ils doivent parler, et de façon publique. (…).
C’est maintenant qu’il faut développer les grandes idées, les grands thèmes. Il ne faut pas avoir peur d’être critiqué par la masse, ça a toujours été ainsi dans les moments de crise ; ceux qui ont un regard froid, qui s’interrogent sur la tendance générale sont combattus. L’intellectuel ne doit pas chercher à ce que ses analyses rencontrent aux premiers moments, l’assentiment général. Au contraire, il faut exposer son idée, qu’elle soit combattue pour que la substance reste. Si on ne le fait pas, à quoi serviraient les intellectuels ? Ce sont eux qui doivent tirer vers le haut. Il y a même un penseur grec qui a dit que les grandes réalisations du pays ont été bâties avec le sang des meilleurs de ses fils. Ce n’est pas n’importe quel sang, c’est celui des meilleurs. Ça résume tout ».
Oumar L. Ouédraogo
Lefaso.net
Vos commentaires
1. Le 8 juillet 2023 à 03:53, par Baoyam En réponse à : Burkina : Ces intellectuels baroudeurs …, malgré le "nanisme géant" !
Vous auriez fait oeuvre plus utile si vous aviez été spécifique en citant des exemples de prises de position courageuses d’intellectuels qui leur ont valu des expressions injurieuses et destructives.
Vous restez vague en critiquant ceux qui sont en désaccords avec la tendance de certains intellectuels qui manifestement défendent des idées que vous partagez. Tout ce qui s’annonce sans preuves se réfute sans preuve, dit-on.
Il est facile de prendre le contre-pied de ce que vous dites. Vous ne défendez pas moins la dictature des idées puisque les critiques vous insupportent. Être en desaccord avec certains analystes qui feignent d’ignorer la situation dans laquelle le pays réel est plongé et qui défendent des positions que le jugement de ceux qui critiquent trouvent contraire à l’intérêt national relève simplement du débat contradictoire.
On a l’impression que ceux qui défendent des idées impopulaires sont mécontents de la réception de leurs idées par le grand public. Parlant de nanisme, c’est péremptoire de décréter que l’intelligence est de votre côté et l’ignorance de l’autre. Le contraire pourrait bien être vrai. Vous ferez preuve de plus de respects pour vos contradicteurs en simplement défendant votre point de vue pour essayer de convaincre. En lieu et place, vous prenez les réactions négatives comme de l’impertinence ! Comment osez-vous ne pas être d’accord ?
La liberté d’expression dont vous vous prevallez est la même dont vos contradicteurs se prévalent.
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Le 8 juillet 2023 à 17:00, par Mitibkiéta En réponse à : Burkina : Ces intellectuels baroudeurs …, malgré le "nanisme géant" !
Merci bien pour la réplique, internaute Baoyam !
Certains "intellectuels" pensent que critiquer le pouvoir en place suffit à leur conférer un statut d’intellectuel courageux, objectif,...
Que valent des critiques sans propositions concrètes ?
Monsieur le journaliste, prochainement, veuillez ajouter de l’utilité à votre courage de critiqueur de pouvoir.
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2. Le 8 juillet 2023 à 07:47, par Tangibilite En réponse à : Burkina : Ces intellectuels baroudeurs …, malgré le "nanisme géant" !
J’ai toujours fait un gros effort pour accorder le bénéfice du doute à SOMA. Depuis le conflit qui l’avait opposé au Professeur LOADA. Mais là je pense que lui même SOMA a fini par se découvrir publiquement à toute personne consciencieuse. Si même un rastafaya a pu s’exprimer sur un sujet aussi crucial, en montrant clairement qu’il n’est pas prêt à engager un seul burkinabè dans du dilatoire juridico encombrant et dangeureusement grimpant, et quelqu’un qui soit disant a fait environ un bac +11,moi je préfère évaluer ’’’l’individu qui est derrière le diplôme ’’’ plutôt que le diplôme même. C’est vraiment dommage pour SOMA. Très dommage.
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Le 20 juillet 2023 à 19:47, par RAZOUGOU En réponse à : Burkina : Ces intellectuels baroudeurs …, malgré le "nanisme géant" !
Depuis que ce Pr SOMA a accepté piste de garçon de course, pardon, DIRCAB de Saran SEREME, je me suis rendu compte que ce monsieur, malgré ses diplômes, manque de personnalité, de charisme, de caractère..
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Le 20 juillet 2023 à 19:47, par RAZOUGOU En réponse à : Burkina : Ces intellectuels baroudeurs …, malgré le "nanisme géant" !
Depuis que ce Pr SOMA a accepté piste de garçon de course, pardon, DIRCAB de Saran SEREME, je me suis rendu compte que ce monsieur, malgré ses diplômes, manque de personnalité, de charisme, de caractère..
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3. Le 8 juillet 2023 à 09:04, par Vincent BIRBA En réponse à : Burkina : Ces intellectuels baroudeurs …, malgré le "nanisme géant" !
Ils sont où les intellectuels dont vous parlez ? Ce sont ces mêmes qui se sont discrédités des années durant. Ceux qui applaudissent IB n le font parce qu’il est un Messi. Non pas du tout . Seulement l’honnêteté nous oblige à reconnaître en l’homme (IB) la volonté de bien faire. Nous en avons vu, qui en huit mois à peine ont voulu augmenter leur salaire. Pour une fois nous avons des gens qui veulent aller de l’avant et prêt à faire des sacrifice. Le contexte est dure . Le combat est compliqué , des hommes tombent et à vrai dire il y’a toujours trop à faire mais ce ne sont pas ces mêmes intellectuels prompt à critiquer qu’à proposer des solutions qui nous sortiront de la situation actuelle. Le terrorisme a commencé y’a longtemps mais ils sont où ces intellectuels. C’est très bien de dire que le mur n’est pas droit mais c’est encore très bien de montrer aux gens comment faire pour que le mur soit droit. Ainsi on prouve son statut d’intellectuel mais aussi sa bonne foi. Le drame de notre pays c’est justement la critique facile . Ils sont nombreux ces Intellectuels aujourd’hui forts en critique mais nul en proposition. C’est pour cela je suis content quand je pense à des hommes comme Norbert ZONGO et Laurent BADO . Il ne se contentaient pas de critiquer il faisaient des propositions pour prouver qu’ils maîtrisent les thèmes qu’ils abordaient. C’est ça être intellectuels . Si c’est pour s’asseoir sur un plateau télé et rejeter tout en bloc même le plus abruti peut le faire
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4. Le 8 juillet 2023 à 09:23, par TANGA En réponse à : Burkina : Ces intellectuels baroudeurs …, malgré le "nanisme géant" !
Je comprend maintenant pourquoi certaines personnes nous lorgnent de loin lorsqu’elles passent vers les rond point des nations Unis nous à côté de nous. Ces personnes ou leurs semblables s’énervent et ou parlent mal et insultent quand ils nous entendent donner nos points de vues dans les réseaux sociaux.
Volià, c’est ça. Nous qui sommes les inconnus d’aujourd’hui, d’hier, d’avant hier et plus,
Nous dont personne n’a jamais entendu les noms lors des remises de titres dans les grandes écoles,
Nous qui n’avons pas à disposition des plateformes radio et ou télé, qui ne savons pas et ne pouvons pas y aller,
Nous, qui savons à peine lire et écrir nos noms.
LUMIÈRE S’EST ÉCLAIRÉE POUR QUE CELA SE VOIT QUE C’EST NOUS LES INTELLECTUELS !!!
Oui, c’est nous les intellectuels.
Ceux qui se prévalaient de l’être hier et avant ont beaucoup fait, mais pas le nécessaire. Ils ne pouvaient pas et cela s’explique tout simplement.
Ils ont été formés pour travailler de façon involutive et cela sert qui les a formé. Ils sont bons mais derrière ceux que Nous intellectuels voulons au devant de notre pays.
Nous c’est ceux comme lui qui a perdu tout chez lui au village et se retrouve à la grande ville, celui qui a les proches chassés du village vers la ville la plus proche pendant que lui fait les jeux de jambes à Ouaga pour leur envoyer quelque chose, etc. etc. et etc., En somme, Nous sommes ceux qui vivons le plus les méfaits du terrorisme CEUX QUI ONT VU DEPUIS L’AVENEMENT DE CE TERRORISME, QUI S’Y DONNAIT VRAIMENT A LA LIBERATION DU PAYS.
Le comportement des intellectuels d’hier est comme celui de telenovelas. Ils jettent tout sur une société qui n’a pas toutes ces capacités de les comprendre.
Nous, intellectuels d’aujourd’hui disons bas, moyennement et haut mais surtout de façon courte ce qu’il y a à faire. On ne passera jamais le temps à jeter notre pays en pâture à des gens qui n’ont rien à cirer de nous ni de notre pays.
Nous cherchions silencieusement en ville pour nos parents au village, nous vivuins tranquillement dans nos villages et campagnes oubliés de tous ; mais la force des choses nous a rassemblé dans les villes et nous avons les réseau sociaux pour nous exprimer.
NOUS DIRONS DONC LES CHOSES TELLES QUE, N’EN DEPLAISE A CERTAINS. On ne peux pas empêcher X ou Y d’utiliser ce à quoi ’’il a droit plus que Nous’’ mais personne ne nous empêchera d’utiliser ’nos réseaux sociaux, NI SURTOUT DE NOUS DEFENDRE, NI DE DEFENDRE CEUX QUI NOUS DEFENDENT !!!
A intellectuels, intellectuel et démi.
On a compris beaucoup de choses.
Allons seulement !
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5. Le 8 juillet 2023 à 11:15, par Ed En réponse à : Burkina : Ces intellectuels baroudeurs …, malgré le "nanisme géant" !
Il est nécessaire c’est d’avoir la capacité de discernement et de garder ses distances dans une situation politique aussi complexe que celle du Burkina !
Les responsables actuels sont probablement de bonne volonté, du moins pour celui qui assure la fonction de Président, sans oublier qu’il est militaire.
Cependant, on constate qu’en désorganisant le pays en 2022, l’armée n’a pas réussi à limiter le terrorisme et la situation est bien pire qu’avant. Il est facile de manipuler ceux qui n’ont pas d’informations autres que celles de la télévision car Internet n’est pas accessible au plus grand nombre.
Ce que les responsables actuels essaient de faire pour le développement n’est pas une révolution car la gouvernance précédente était aussi dans cette voie et elle avait l’avantage de connaître la situation. Certes, on ignore quelle aurait été l’évolution du terrorisme mais dire qu’ils étaient tous "pourris " est excessif.
Il est très inquiétant de constater les affinités du 1er ministre avec la Russie de Poutine et les soldats de Wagner qui cherchent à coloniser des pays comme le Mali ou le Burkina et d’annexer l’Ukraine.
Vu la tournure des évènements avec le "chef" de Wagner, on peut espérer qu’il y aura un retournement.
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6. Le 8 juillet 2023 à 15:21, par Sidpassata Veritas En réponse à : Burkina : Ces intellectuels baroudeurs …, malgré le "nanisme géant" !
Il ne suffit pas d’énoncer des vérités pour qu’elles soient acceptées pour tous ceux qui vous écoutent. Il faut aussi faire oeuvre de pédagogie pour se faire comprendre, en tenant compte du contexte, de l’auditoire et en précisant bien son intention et les limites assumées des ses propos. Il faut, malgré tout, admettre d’être contesté partiellement ou totalement, en reconnaissant qu’on ne détient qu’une part de la vérité et que les autres points de vues aussi sont nécessaires.
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7. Le 8 juillet 2023 à 17:58, par Banana Republic En réponse à : Burkina : Ces intellectuels baroudeurs …, malgré le "nanisme géant" !
M. le journaliste, vous confondez communicateurs qui donnent leurs avis et intellectuels. En quoi le fait de dire d’aller aux élections avec plus du tiers du territoire non contrôlé en fait un intellectuel. C’est plutôt perfide et pernicieux de dire que ce n’est pas le territoire qui vote mais les citoyens.
Le fort du citoyen de ce pays est tant que lui n’a pas accès à la soupe, il devient un adversaire juré. Comme ces loulous qui viennent d’être jugés.
Ces communicateurs se sentent à l’égard et du coup ne peuvent plus vendre leurs théories dans la situation actuelle.
C’est cela la réalité. Et puis vous me faites bien rigoler, car sommes allés à l’université dans les mêmes années, M. le journaliste.
Vous me rappelez un Pr d’université qui disait que tous ces ministres et autres qui bavardent ont été ses étudiants et ce n’étaient pas les meilleurs...
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8. Le 8 juillet 2023 à 18:32, par Tiraogo En réponse à : Burkina : Ces intellectuels baroudeurs …, malgré le "nanisme géant" !
Bonjour monsieur ou madame E.d, si vous dites que la situation est pire qu’avant l’arrivée de IB, il ne faudrait pas oublier de donner des précisions : c’est-à-dire des régions qui étaient tranquilles et qui brûlent actuellement. Tout le monde sait que le pays n’est pas encore pacifié. C’est bien de s’impatienter mais croyez moi, ceux qui se battent sont les premiers à vouloir rentrer chez eux. Et je vous prie de penser à eux et à tous ceux qui sont morts pour ce pays. Il n’y aura jamais un régime qui fera l’unanimité sur Terre. Même celui de Dieu est contesté par les hommes. Vous avez donc le droit de ne pas aimer ce régime surtout si vous êtes victimes. Maudissez les comme vous voulez, cela peut se comprendre. Mais n’oubliez jamais qu’il s’agit du BURKINA et que nos rancœurs ne feront pas avancer le pays malgré notre droit de haïr x ou y. Un proverbe de chez nous dit ceci : si la pluie vous bat, ne vous battez plus. A moins que vous soyez de ceux qui applaudissent les attaques sans revendications claires !? Que la paix habite nos cœurs et surtout que la raison nous accompagne.
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9. Le 8 juillet 2023 à 18:40, par @@GOG En réponse à : Burkina : Ces intellectuels baroudeurs …, malgré le "nanisme géant" !
Dans la définition du mot intellectuel,nul part il a été dit que l’intellectuel est intelligent.
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10. Le 8 juillet 2023 à 20:12, par Burkindifaché En réponse à : Burkina : Ces intellectuels baroudeurs …, malgré le "nanisme géant" !
Monsieur Oumar L. Ouédraogo, vous aurez été comique si la situation de notre pays n’était pas catastrophique. Malgré tout le respect que je dois à Lefasonet, je vous signale que vous n’êtes pas dans votre rôle. Vous nuisez à notre lutte contre le terrorisme.
Au lieu de proposer des démarches, des outils..., pour que l’équipe de Kyélem nous fasse tous avancer positivement, vous polluer les lecteurs avec votre complexe d’infériorité. Vous apportez quoi concrètement ici, pour un retour à la paix dans notre pays ? Pensez-vous que nos PDI mangent, boivent, se sécurisent avec votre histoire d’intellectuels ?
C’est ce que nous les gens ordinaires disons depuis 2015. Vous parlez, écrivez, parlez, écrivez..., et la situation se dégrade. Votre solution-là, est où ? C’est vous les intellectuels du pays non ? Svp., proposez des choses sérieuses et positives pour notre pays. C’est lamentable ce que vous faites.
Si vous êtes frustré, complexé..., c’est votre problème. Si vous avez des problèmes avec vos autres intellectuels ou je ne sais quoi..., c’est votre problème. Franchement, y a en marre de ces gens qui ne savent que parler à eux-mêmes et qui exigent qu’ont les assimilent à des dieux sur Terre.
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11. Le 8 juillet 2023 à 20:39, par Danga En réponse à : Burkina : Ces intellectuels baroudeurs …, malgré le "nanisme géant" !
De quel intellectuel parles tu ? KI-ZERBO, NORBERT ZONGO, Pr BADO, SERGES T BALIMA...? ou de simples diplomés des universités et grandes écoles coloniales dont je vais taire les noms au risque de me retrouver à la MACO. Il ne faut confondre SERVIETTE et torchons
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12. Le 8 juillet 2023 à 23:27, par Jeunedame seret En réponse à : Burkina : Ces intellectuels baroudeurs …, malgré le "nanisme géant" !
Vous nous étalez seulement le grand problème que vos intellectuels ont : celui d’être lus et de justifier leur existence. Mais À quelles fins cette publicité ? Pour les consoler, les intégrer à tout ou leur inspirer le mieux ? Vraiment, nous sommes maintenant convaincus qu’un intellectuel n’a qu’une seule chose à défendre ; son nom et son image. Et il utilisera plus de mots que nécessaires pour raconter plus qu’il ne sait. Heureusement, nous préférons les cons qui agissent, qui solutionnent, aux intellectuels assis en démission.
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13. Le 10 juillet 2023 à 02:33, par Bob En réponse à : Burkina : Ces intellectuels baroudeurs …, malgré le "nanisme géant" !
Quelle est l’idée que vous défendiez dans votre texte. Je l’ai lu et relis et je ne lui trouve ni sens ni utilisé. Prenez le cas de Karifala Sere qui se prend pour un intellectuel et qui parle sans nuances comme s’il avait une boule de cristal ou était dans la secret des dieux alors qu’il ne fait que des conjectures, ou du professeur Saidou qui animait en tant qu’expert les plateaux de télévision lors des élections de 2020 et qui frapper d’amnésie parle de NEUTRALITÉ, ou encore le dr ABLASSE ouédraogo dont les pitreries amusent la galerie, est-ce là les intellectuels dont vous faites le panégyrique ? En quoi leurs dénigrements font ils avancer le Faso ? Un intellectuel doit briller par ses critiques constructives suivies de propositions et de soutien. Étaler ses états d’âme dans un discours confus et incompréhensible comme vous le faites est justement le trait de caractère de tous ces DIPLÔMÉS qui ne sont plus proches, ou n’ont pas encore atteint le plat de soupe et s’agitent soit pour se faire remarquer ou pour noyer leur aigreur. Quand à vous où êtes vous ? Ancien profiteur ou aspirant futur profiteur ?
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14. Le 14 juillet 2023 à 21:11, par Le Vigilent En réponse à : Burkina : Ces intellectuels baroudeurs …, malgré le "nanisme géant" !
M. Lunar L. Ouédraogo,
Je ne vous comprends pas du tout ! Vous faites un exercice “intellectuel” très laborieux pour nous convaincre de ce que, veux-la qui ont choisi de critiquer le pouvoir actuel sont des “intellectuels éclairés” indispensables pour un avenir radieux du Burkina, et qu’au contraire, ceux qui applaudissent ce même pouvoir sont des “ignorants inconscient et dangereux” pour l’avenir du pays. Ainsi, vous exportez les premiers nommés à élever la voix et les derniers cités a bien vouloir ranger lemicro et/ou la plume. Certains pourraient penser que vous êtes un adepte de la pensée unique.
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15. Le 19 juillet 2023 à 17:07, par Sidsaya En réponse à : Burkina : Ces intellectuels baroudeurs …, malgré le "nanisme géant" !
A MON HUMBLE AVIS L’INTELLECTUEL N’EST AUTRE QU’UNE PERSONNE EN SITUATION. LE DIPLÔME PEUT ACCOMPAGNER L’INTELLECTUEL MAIS IL NE LE FAIT. L’INTELLECTUEL N’EST PAS UNE GIROUETTE JOUET DES CIRCONSTANCES. L’INTELLECTUEL C’EST CELUI QUI S’ASSUME EN TOUTE CIRCONSTANCE SANS CONCESSION. LA PLUPART DES INTELLECTUELS DU BURKINA NE SONT QUE DES POLITICIENS QUI PRÊTENT LE PEU DE SAVOIR QU’ILS ONT AU PLUS OFFRANTS.
DES INTELLECTUELS DE LA TREMPE D’UN CERTAIN NORBERT ZONGO NE COURENT PLUS LES RUE DANS NOTRE PAYS.l
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