LeFaso.net, l'actualité Burkinabé sur le net
Proverbe du Jour : “Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux.” Proverbe chinois

Burkina : Interdite de tenir son instance statutaire, l’UPC décide de saisir les juridictions

Publié le mardi 14 février 2023 à 11h56min

PARTAGER :                          
Burkina : Interdite de tenir son instance statutaire, l’UPC décide de saisir les juridictions

Par lettre du 6 février 2023, l’Union pour le progrès et le changement (UPC) informait le ministère de l’Administration territoriale, de la décentralisation et de la sécurité, de la tenue, le samedi, 18 février 2023, d’une session de son Bureau politique national (BPN). En réaction, le ministère de tutelle a, le 10 février 2023, rappelé au parti que le communiqué du MPSR portant suspension des activités politiques reste en vigueur. Face à la situation, le « parti du lion » a décidé de saisir les « juridictions compétentes » pour trancher. C’est ce qui ressort de ce communiqué (ci-dessous) parvenu, ce mardi 14 février 2023, à notre rédaction.

COMMUNIQUE DE PRESSE

Le 6 Février dernier, l’Union pour le Progrès et le Changement (UPC) informait par voie de courrier, le Ministère de l’Administration Territoriale, de la Décentralisation et de la Sécurité, de sa décision de tenir une session statutaire de son Bureau Politique National le Samedi 18 février 2023.

Par lettre en date du 10 février 2023, le Ministre de l’Administration Territoriale, de la Décentralisation et de la Sécurité nous répondait pour accuser réception de ladite lettre. Dans sa réponse, le ministre ajoutait ; « Toutefois, je voudrais par la présente vous rappeler le maintien en vigueur des termes du communiqué N° 03 du 30 septembre 2022 du MPSR suspendant les activités des partis politiques ».

Au vu de cette réponse, que nous interprétons comme une interdiction faite à notre parti de tenir son activité, l’Union pour le Progrès et le Changement (UPC), fidèle à son esprit républicain, a décidé de saisir les juridictions compétentes afin qu’elles statuent sur la question.

Notre parti tiendra l’opinion nationale et internationale de la suite donnée à cette saisine.

Fait à Ouagadougou le 14 Février 2023

Le Service de communication de l’Union pour le Progrès et le Changement

PARTAGER :                              

Vos commentaires

  • Le 14 février 2023 à 12:05, par songboudou En réponse à : Burkina : Interdite de tenir son instance statutaire, l’UPC décide de saisir les juridictions

    Bravo à l’UPC pour avoir eu le courage de poser la question sur l table.Cette interdiction par simple communiqué est illégale.Un communiqué n’a pas la valeur d’une loi (loi sur les partis politiques ) et encore moins celle de la constitution.
    il faut que la justice fasse preuve de son indépendance dans cette affaire, il y va de sa crédibilité.

  • Le 14 février 2023 à 12:19, par Yacouba l’Africain En réponse à : Burkina : Interdite de tenir son instance statutaire, l’UPC décide de saisir les juridictions

    Honte à vous UPC !

    Décidément vous exceller dans l’art de la manipulation, de la tromperie et de la traîtrise.

    Hier vous publier une tribune appellant vos militants de souscrire pour l’effort de guerre tout en sachant que vous allez ester en justice contre la transition. Une façon de dire aux burkinabè : nous soutenons la lutte contre le terrorisme mais nous sommes pour la démocratie et cette transition nous empêche de faire les choses démocratiquement.

    La suspension des activités des partis politiques est la première contribution de guerre que les partis politiques peuvent donner non pas à la Transition ou a ses dirigeants mais au peuple Burkinabès qui a tant souffert, qui souffre encore et dont l’espoir repose sur ce "dernier Rempart comme le disais un homme de Dieu il ya quelque jours dans ses prêches".

    Je le répète Honte à vous UPC !

    Demander a aller tenir votre BPN auprès des populations sur les lignes de front, auprès de ces Burkinabè qui ne demandent que le silence des armes de ces voyous qui nous endeuillent chaque jour.

    C’est facile de parler d’activités politiques quand on mange, dort, coît paisiblement dans la climatisation à Ouagadougou. Foutez nous la paix bon de Dieu et patientez aussi. Il ya des millions de burkinabés qui patientent depuis des années maintenant pour retrouver le chez eux.

    Vive le Faso Libre et Prospère

    Dieu bénisse le Burkina Faso

    • Le 14 février 2023 à 13:21, par zoubédo En réponse à : Burkina : Interdite de tenir son instance statutaire, l’UPC décide de saisir les juridictions

      Mr Yacouba l’africain, vous êtes de quel village dans quelle commune et quelle province ? Et qui vous connais là bas ? J’imagine personne.Vous les vuvuzelas payés par IB et notre argent, tout le monde sait que vous ne pesez rien chez vous
      Tout votre bruit c’est sur les plate formes des réseaux sociaux.A l’UPC ,il ya des milliers de cadres enracinés dans leurs terroirs, qui sont connus des populations et qui parlent parfaitement la langue de leurs parents, qui vive,t avec le peuple.
      C’est eux les vrais patriotes de ce pays, pas les opportunistes sans racines comme vous fabriqués pour réagir dur les réseaux sociaux.

    • Le 14 février 2023 à 18:23, par Jean Gabriel Yaméogo En réponse à : Burkina : Interdite de tenir son instance statutaire, l’UPC décide de saisir les juridictions

      Monsieur Yacouba l´africain qui avez choisi d´avancer masqué dans l´arène c´est plutôt vous qui devriez avoir honte si vous mesuriez la portée de votre pamphlet. Avez-vous lu le communiqué n3 du 30 septembre 2022 que le MADTS évoque pour interdire à l´UPC de tenir la session de son BPN ? Ce communiqué suspendait, entre autres, la constitution et prenait 7 autres mesures dont la suspension des activités politiques et des OSC. Depuis lors, la constitution a été rétablie ; permettant au Caputaine IB de prêter serment devant le CC pour devenir Président du Faso. Dès lors, ce communiqué devient, ipso facto de droit et de juré, caduc ; la constitution reprenant tous ses droits. Cela signifie que les partis politiques et OSC reprennent aussi leurs activités. Du reste, vous aurez remarqué que les OSC descendent dans la rue comme bon leurs semble sans même se référer au MADTS qui ne pipe mot. Si on revoit donc le contenu du communiqué nr 3, seule la suspension des activités politiques reste en vigueur. Et pourquoi deux poids deux mesures ? Les burkinabè ne sont-ils plus égaux devant la loi ? Enfin Comment veut-on que les parti politiques puissent apporter un soutien efficace à la transition s´ils ne peuvent pas se concerter, à cet effet ? Ne faites pas d´amalgame entre l´appel à contribution pour l´effort de guerre et le recours à la justice de l´UPC pour que le droit soit dit. Ce n´est qu´un concours de circonstances car l´UPC était loin d´imaginer un refus de tenir la session de son BPN notamment au vu des multiples activités des OSC et même de partis politiques. Vous ne pouvez pas présager des conclusions de cette session qui si elle ne se tient pas pourrait être une occasion manquée pour tous.

    • Le 14 février 2023 à 20:01, par vérité En réponse à : Burkina : Interdite de tenir son instance statutaire, l’UPC décide de saisir les juridictions

      MR yacouba s’il vous plaît, attention à ne pas verser dans la dérive. Tous les moyens sont bons pour mobiliser. Les osc pullulent les villes pour soutenir le mpsr disent ils....laissez également les politiques, les coutumiers et religieux chacun s exprimer...il n’a vraiment pas de mal en cela.....Attention, il ne faut pas diviser les burkinabe....un régime militaire cedera la place tôt ou tard à celui civile...ayez le courage de dire à ce régime de ne pas jouer dans l’exclusion

  • Le 14 février 2023 à 12:24, par Mang Biiga En réponse à : Burkina : Interdite de tenir son instance statutaire, l’UPC décide de saisir les juridictions

    Ayez peur de Dieu. Le pays souffre. Des gens meurent chaque jour ! Même si on ne vous disait pas vous devriez savoir que le temps n’est pas opportun ! Manè sougri !

    • Le 14 février 2023 à 18:10, par Jean Gabriel Yaméogo En réponse à : Burkina : Interdite de tenir son instance statutaire, l’UPC décide de saisir les juridictions

      Mang biiga, en quoi les activités politiques sont nuisibles aux populations ? Vous tirez des conclusions péremptoires sans aucune démonstration. Justement, si les partis politiques reprennent leurs activités cela leurs permettrait de prendre des initiatives pour venir au secours des PDI, soutenir les FDS et les VDP. Mais, Comment peuvent-ils agir s´ils ont les mains liées ? Prenez de la hauteur et ne faites pas de procès d´intention aux partis politiques qui ne demandent qu´à soutenir la transition car nous sommes tous embarqués dans la même galère.

    • Le 14 février 2023 à 19:19, par Vérité En réponse à : Burkina : Interdite de tenir son instance statutaire, l’UPC décide de saisir les juridictions

      En quoi la tenue d’une instance statutaire d’une organisation peut empêcher le gouvernement de gagner la lutte contre le terrorisme ? Autant tout interdire dans ce pays...

  • Le 14 février 2023 à 12:48, par sai En réponse à : Burkina : Interdite de tenir son instance statutaire, l’UPC décide de saisir les juridictions

    Merci à l’UPC, espérons qu’on en saura un peu plus sur la légalité même du MPSR.

  • Le 14 février 2023 à 13:52, par bobolais En réponse à : Burkina : Interdite de tenir son instance statutaire, l’UPC décide de saisir les juridictions

    Ha bas !!!!! Vous aussi.... Pardon laisser la transition travaillé pour libérer le pays. Ne recommencer pas ce que vous savez si bien faire depuis.... Nous "le peuple" ne nous laisserons plus avoir et vous suivre dès ! Interprétez comme vous voulez et rester fidèle à votre esprit républicain. Parce que l’autre a pu tenir son BPN à l’insu du peuple que vous vous voulez aussi faire.... C’est non et tenez nous l’opinion nationale et internationale a temoins

  • Le 14 février 2023 à 14:34, par Le Patriote Révolutionnaire En réponse à : Burkina : Interdite de tenir son instance statutaire, l’UPC décide de saisir les juridictions

    La paix n’est pas un mot, c’est un comportement. Qui vivra verra !

  • Le 14 février 2023 à 15:29, par Passakziri En réponse à : Burkina : Interdite de tenir son instance statutaire, l’UPC décide de saisir les juridictions

    Il faudra même aller plus loin parce que les juridictions devraient dire au peuple qui est le MPSR, qui sont ses membres, ses organes dirrigeants, les textes qui le régissent. Le pays est trop précieux pour qu’on le laisse entre les mains d’une organisation opaque et quasiment clandestine. Cette manière de procéder ne fait pas sérieux. Avec tout ceci, Me de Tambèla nous embarque dans son fédéralisme .
    Triste pour un pays jadis respecté , mais ridiculisé par les aventuriers.

    Passakziri

  • Le 14 février 2023 à 15:59, par oumar En réponse à : Burkina : Interdite de tenir son instance statutaire, l’UPC décide de saisir les juridictions

    voici encore des politiciens qui se disent être pour le peuple.Qui voulez vous gouverner ? Ainsi l’UPC soupçonner à tors ou à raison d’être de connivence avec la France veut aller vite vite,devancer tous les autres partis.Mais laissez nous vous dire une chose.ce qui importe au burkinabé lambda aujourd’hui c’est la sécurité.sans sécurité,pas d’élection.Vos calculs politiciens ne passent pas.D’ailleurs vous avez montré au peuple burkinabé votre vrai visage

    • Le 14 février 2023 à 20:06, par vérité En réponse à : Burkina : Interdite de tenir son instance statutaire, l’UPC décide de saisir les juridictions

      Omar je dirai que l’union fait la force et il faut plutôt laisser les politiques appeler leurs militants à contribution. Les militaires ont gouverné 51 ans contre 12 ans pour les civils....actuellement il faut mobiliser tout le monde autour de la lutte...qui connaît les membres du mpsr...une nébuleuse mais on est d’accord parce qu’on veut le retour de la sécurité mais attention au 1 poids 2 mesures...ce pouvoir commence à aller loin dans la division

  • Le 14 février 2023 à 16:27, par Bollena En réponse à : Burkina : Interdite de tenir son instance statutaire, l’UPC décide de saisir les juridictions

    BRAVO à l’UPC la loi du plus fort nous n’allons plus la cautionner. Soit la loi s’applique à tout le monde, soit elle ne s’applique à personne. Le CDP a tenu pour lui hier et aujourd’hui on refuse pour l’UPC. L’injustice ne peut pas être le ciment pour la cohésion nationale.

  • Le 14 février 2023 à 17:04, par DAH K. Nicolas En réponse à : Burkina : Interdite de tenir son instance statutaire, l’UPC décide de saisir les juridictions

    Je dois rappeler que le Burkina faso où la Constitution suspendue par le coup dEtat du MPSR, a été rétablie faisait ainsi de lui, un Etat de droit democratique.cest l’opposition qui a ete faite par le peuple à travers les assises nationales et linvestiture du President Traore comme President de tous les burkinabe. LUPC parti democratique et republicain respecte les decisions des assises nationales et des institutions de lEtat et cela aussi, dans le respect des prerogatived devolues aux partis politiques dans un Etat de droit. Ceux qui pensent que l’UPC fait croire quil soitient le terrorisme et quil quil soutient la democratie que le MPSR "empeche",n’ont bien compris. Je voudrais que ces adeptes aveugles du MPSR me disent le sens d’un parti politique sans activites.pour moi le MPSR dès son avement a pris des mesures conservatoires à travers un certain nombre de communiques dont le contenu devenait caduc apres la mise en place des institutions de la transition democratique.. si ce nest pas le cas, alors il faut reconvoquer les assises nationales.

  • Le 14 février 2023 à 17:07, par Jack En réponse à : Burkina : Interdite de tenir son instance statutaire, l’UPC décide de saisir les juridictions

    L’UPC que j’ai quelques fois voté me déçoit ici à plus d’un titre. Même en l’absence d’interdiction formelle, le bon sens voudrait que tous se rangent derrière la transition en attendant que la situation sécuritaire s’améliore pour reprendre du service. Personne ne peut me convaincre que ce n’est justement pas en grande partie ces politiciens de carrière que écument les Faso depuis des lustres qui sont responsables de tous nos problèmes. Cette crise montre que la souffrance du peuple loin dans l’échelle des priorités de certains politiciens. Ce qui importe pour eux, c’est l’organisation d’élections même avec 100 électeurs pour qu’eux récupèrent la carcasse Burkina Faso pour finir leur travail de destruction. Honte à tous ceux qui se soucient moins des souffrances du peuple ! Honte à l’UPC des tunnels ! Avec de telles attitudes vous attendez quoi des populations ? du respect ? du crédit ? pufffffffffff

    • Le 14 février 2023 à 20:08, par vérité En réponse à : Burkina : Interdite de tenir son instance statutaire, l’UPC décide de saisir les juridictions

      je dirai que l’union fait la force et il faut plutôt laisser les politiques appeler leurs militants à contribution. Les militaires ont gouverné 51 ans contre 12 ans pour les civils....actuellement il faut mobiliser tout le monde autour de la lutte...qui connaît les membres du mpsr...une nébuleuse mais on est d’accord parce qu’on veut le retour de la sécurité mais attention au 1 poids 2 mesures...ce pouvoir commence à aller loin dans la division

    • Le 14 février 2023 à 20:08, par vérité En réponse à : Burkina : Interdite de tenir son instance statutaire, l’UPC décide de saisir les juridictions

      je dirai que l’union fait la force et il faut plutôt laisser les politiques appeler leurs militants à contribution. Les militaires ont gouverné 51 ans contre 12 ans pour les civils....actuellement il faut mobiliser tout le monde autour de la lutte...qui connaît les membres du mpsr...une nébuleuse mais on est d’accord parce qu’on veut le retour de la sécurité mais attention au 1 poids 2 mesures...ce pouvoir commence à aller loin dans la division

  • Le 14 février 2023 à 17:09, par DAH K. Nicolas En réponse à : Burkina : Interdite de tenir son instance statutaire, l’UPC décide de saisir les juridictions

    Je dois rappeler que le Burkina faso où la Constitution suspendue par le coup dEtat du MPSR, a été rétablie faisait ainsi de lui, un Etat de droit democratique.cest l’option qui a ete faite par le peuple à travers les assises nationales et linvestiture du President Traore comme President de tous les burkinabe. LUPC parti democratique et republicain respecte les decisions des assises nationales et des institutions de lEtat et cela aussi, dans le respect des prerogatives devolues aux partis politiques dans un Etat de droit. Ceux qui pensent que l’UPC fait croire quil soitient le terrorisme et quil quil soutient la democratie que le MPSR "empeche",n’ont rien 8compris. Je voudrais que ces adeptes aveugles du MPSR me disent le sens d’un parti politique sans activites.pour moi le MPSR dès son avement a pris des mesures conservatoires à travers un certain nombre de communiques dont le contenu devenait caduc apres la mise en place des institutions de la transition democratique.. si ce nest pas le cas, alors il faut reconvoquer les assises nationales.

  • Le 14 février 2023 à 17:11, par koh En réponse à : Burkina : Interdite de tenir son instance statutaire, l’UPC décide de saisir les juridictions

    L’UPC doit comprendre que ce sont les partis politiques qui sont interdits. On a pas interdits les OSC et autres regroupements. PARDON PARDON

  • Le 14 février 2023 à 17:11, par Levieux En réponse à : Burkina : Interdite de tenir son instance statutaire, l’UPC décide de saisir les juridictions

    Une révolte des politiques se prépare contre la transition, c’est sûre et certaine vous allez voir dans les jours et semaines à venir.

  • Le 14 février 2023 à 21:13, par Le Debf En réponse à : Burkina : Interdite de tenir son instance statutaire, l’UPC décide de saisir les juridictions

    Bravo vraiment à l’UPC !
    Oui, je comprends que nous sommes en guerre et qu’il faut aider La Transition à réussir sa mission à savoir reconquérir le territoire national et instaurer la paix en réduisant l’hydre terroriste. Cela ne signifie pas que les partis politiques sont interdits d’activités ! C’est leur rôle constitutionnel d’assumer l’animation de la vie politique, comprise au sens de la gestion de la vie dans la cité. Alors, comment comprendre que dans le même temps on rétablit la Constitution, on permet aux OSC de fonctionner et on interdit aux partis politiques de mener leurs activités y compris statutaires ?
    Un communiqué, fût-il du MPSR2 ne pourrait être au dessus de la loi. Tous les partis politiques devraient faire coalition avec l’UPC pour attaquer devant la loi, ce communiqué suspensif. Ce communiqué ruse avec la loi et en réalité joue sur le moral des plus faibles. C’est inacceptable et anti républicain. C’est vrai, nous sommes dans un pouvoir d’exception. Alors qu’il s’assume en tant que tel au lieu de ruser.

  • Le 14 février 2023 à 21:29, par Sonni ALIBER En réponse à : Burkina : Interdite de tenir son instance statutaire, l’UPC décide de saisir les juridictions

    QUANT ON NOUS DIT QUE L’UPC EST DE MÈCHE AVEC L’ÉTRANGER POUR DÉSTABILISER LE BURKINA FASO 🇧🇫 LA PREUVE EST LÀ /CE PARTI POLITIQUE EST EN PORTE À FAUX /DEPUIS LA PRISE DU POUVOIR DE IB .,IL A ÉTÉ DIT QUE TOUS LES PARTIS POLITIQUES SONT INTERDIT DE RÉUNION VOIR DE MANIFESTER JUSQU’À NOUVEL ORDRE /ALORS POURQUOI CETTE PRÉCIPITATION ?POUR LA FRANCE 🇫🇷 OU POUR LES TERRORISTES ?

  • Le 15 février 2023 à 08:53, par kwiliga En réponse à : Burkina : Interdite de tenir son instance statutaire, l’UPC décide de saisir les juridictions

    Mais personne ne veut donc objectivement constater que nous vivons sous régime de dictature militaire ?
    Franchement, je ne vais pas me lancer ici dans l’immense liste de tous les éléments caractéristiques qui démontrent indéniablement cet état de fait, car chacun peut, s’il le souhaite, les trouver par lui-même.
    Mais, si quelqu’un insiste, je le ferai.

  • Le 15 février 2023 à 10:21, par HUG En réponse à : Burkina : Interdite de tenir son instance statutaire, l’UPC décide de saisir les juridictions

    Ce parti meme en reve sait qu elle ne peut gouverner presentement
    .......... La boite noire de blaise compaore Julbert diendere en sait quelque chose.

  • Le 15 février 2023 à 11:16, par Haa OUI ! En réponse à : Burkina : Interdite de tenir son instance statutaire, l’UPC décide de saisir les juridictions

    IL n y a en principe pas de problème que dans un Etat de droit, les différends se règlent en justice. Mais ce qui est paradoxale, c’est qu’il va toujours se trouver des gens pour crier au scandale. se croient ils plus burkinabè que ceux qui saisissent la justice ??? encore faut il en faire la preuve. Je crois que soit on est dans un Etat de droit et on accepte les règles de l’Etat de droit, soit on opte carrément pour la dictature et on assume les conséquences. Je crois surtout que les vrais raisons de cette attitude sont à rechercher soit dans l’ignorance, soit dans l’intolérance.

  • Le 15 février 2023 à 11:19, par legrand2000 En réponse à : Burkina : Interdite de tenir son instance statutaire, l’UPC décide de saisir les juridictions

    Moi je ne sais meme pas pourquoi la transition tergiverse avec ces gens la. C est un regime d’exception et les situations doivent etre traiter comme tel. quand leur mentor etait venu au pouvoir avec son front populaire apres avoir assassine Sankara, un parti politique pouvait defier l’autorite ?
    Comme le chien ne change pas sa facon de s’asseoir, avez vous remarquer que ce sont les leaders de ces 2 partis qui avaient dis au moment de la campagne electorale que s’ils sont elus, il feront disparaitre le terrorisme ? Ils viennent de demontrer une fois de plus que la mort des Burkinabes ne les concerne pas et qu ’ils veulent seulement etre au perchoir. Mr le president meme Obama avait attaquer l’Afganistan apres etre elu prix nobel de la paix. C’est dire que dans certaines situation, il faut tout simplement SEVIR.

  • Le 15 février 2023 à 12:16, par Yacouba l’Africain En réponse à : Burkina : Interdite de tenir son instance statutaire, l’UPC décide de saisir les juridictions

    Mr Zoubedo,
    Je ne suis membre d’aucune OSC, ni d’aucun de ces "partis politiques". Et je rends grâce à Dieu de m’avoir préserver jusque là de cette foire de compromissions, d’incohérence, de cupidité et que j’en passe.

    A Monsieur Jean Gabriel Yaméogo, je voudrais juste dire que je ne cautionne aucun coup d’état encore moins je ne peux cautionner un conseil constitutionnel qui avalise un coup d’état.

    Lisez moi en se departisant de tout esprit partisan autre que celui de l’heure du moment qui est celui de l’urgence d’un combat pour la restauration de l’intégrité territoriale du Faso. C’est cet esprit qui a valu a bon nombre de burkinabés d’acceullir le MPSR1 et le MPSR 2 alors quils ont opposé une résistance farouche au coup d’état contre la transition de MBA Michel. Lisez moi en decorticant la succession des publications de l’UPC qui n’est rien d’autre que cette manipulation des consciences dans leur propre projet et insterets.

    Je suis sur un forum avec mon pseudo, si vous souhaitez me rencontrer ce serait avec grand plaisir. Quand à la question de compétences je n’ai pas a rougir aux cadres de l’UPC dont vous faites référence. Je suis titulaire d’un Doctorat et de 4 Maîtrises Universitaires parmi les premières universités. Et avec vous je peux convenir d’avance que le diplôme ne résume pas en soi les compétences. Mais bon, juste pour vous rassurer que je ne suis ni un vuvuzela de la transition, ni un prostitué intellectuel. Si débat d’idées et force de proposition ou d’initiatives de développement avec ces cadres je peux tenir le Fort avec eux.

    Je n’ai qu’une cause : l’Afrique. La teneur de cette cause se résume dans ces vers ci bas.

    "Afrique mon Afrique
    (Ce poème est un texte de David Diop)

    Afrique mon Afrique
    Afrique des fiers guerriers dans les savanes ancestrales
    Afrique que chante ma grand-mère
    Au bord de son fleuve lointain
    Je ne t`ai jamais connue
    Mais mon regard est plein de ton sang
    Ton beau sang noir à travers les champs répandu
    Le sang de ta sueur
    La sueur de ton travail
    Le travail de I` esclavage
    L`esclavage de tes enfants

    Afrique dis-moi Afrique
    Est-ce donc toi ce dos qui se courbe
    Et se couche sous le poids de l’humilité
    Ce dos tremblant à zébrures rouges
    Qui dit oui au fouet sur les routes de midi

    Alors gravement une voix me répondit
    Fils impétueux cet arbre robuste et jeune
    Cet arbre là-bas
    Splendidement seul au milieu des fleurs
    Blanches et fanées
    C`est I` Afrique ton Afrique qui repousse
    Qui repousse patiemment obstinément
    Et dont les fruits ont peu à peu
    L’amère saveur de la liberté"

  • Le 15 février 2023 à 18:18, par DATAR DU FASO En réponse à : Burkina : Interdite de tenir son instance statutaire, l’UPC décide de saisir les juridictions

    Monsieur Yacouba l’Africain, moi je vous donne RDV demain jeudi 11h à l’université Joseph KI-ZERBO.

    Arrivé à la grande porte d’entrée coté canal, demandez à voir le vigil KODJO, que vous venez pour un RDV.

  • Le 15 février 2023 à 18:22, par DATAR DU FASO En réponse à : Burkina : Interdite de tenir son instance statutaire, l’UPC décide de saisir les juridictions

    Mr Yacouba l’Africain
    Je vous prie de ne pas manquer le RDV. Ça devient très intéressant.

  • Le 16 février 2023 à 10:59, par Vérité indiscutable En réponse à : Burkina : Interdite de tenir son instance statutaire, l’UPC décide de saisir les juridictions

    La Justice rendra son verdict pour le bien du peuple et non pas pour le plaisir de quelques rats enrichis grâce au lavage de quelques cerveaux qui les défendent ici sur la plateforme.
    Le problème du Burkinabè est très profond. Nous aimons tellement la médiocrité que nos problèmes ne seront jamais résolus.

    Vive la Transition !
    Vive le MADTS !

  • Le 22 février 2023 à 12:24, par Moussa En réponse à : Burkina : Interdite de tenir son instance statutaire, l’UPC décide de saisir les juridictions

    Ceux qui ne l’ont pas encore compris, le Burkina est en guerre, et risque de disparaître en tant que État si vraiment rien de sérieux n’est fait par nos hommes de tenue.

    Une fois qu’on prend conscience de ce fait, et si on aime vraiment le Burkina, l’initiative aurait dû même venir des partis politiques, pour dire de leur propre initiative, qu’ils arrêtent leur activité jusqu’à ce que le Burkina retrouve au moins ses frontières.

    À la place du ministre de l’Intérieur, je leur aurai dit, ok vous pouviez tenir votre réunion seulement dans les régions du pays ou le risque djihadiste est le plus élevé. Si vous y arrivez en toute sécurité, alors bravo, dans le cas contraire veuillez patienter que nos courageux militaires nettoient le pays. Après on pourra faire autant de réunions politiques qu’on veut.

 LeFaso TV
 Articles de la même rubrique