Burkina Faso : Le calendrier de la rentrée scolaire 2022-2023 a été dévoilé

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Le ministère de l’Éducation nationale, de l’alphabétisation et de la promotion des langues nationales (MENAPLN) informe le public sur les différentes dates de la rentrée scolaire 2022-2023.

Ainsi, la rentrée administrative au préscolaire, au primaire, au post-primaire et au secondaire est prévue pour le jeudi 15 septembre 2022.

Le mardi 20 septembre 2022, lui, est consacré à la rentrée administrative et pédagogique des classes préparatoires aux grandes écoles (CPGE).

La rentrée pédagogique au préscolaire, au primaire, au post-primaire et au secondaire, est quant à elle, prévue pour le lundi 3 octobre 2022.

Voici en substance ce qui ressort de l’arrêté fixant le calendrier scolaire 2022-2023, en date du 6 septembre 2022.

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Vos réactions (2)

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• par Dibi, 9 septembre 2022 17:14

  Lionel Bilgo dédié à relayer tous les mensonges de Sandaogo Damiba et son MPSR communique sur la rentrée scolaire au Burkina-Faso ! On a le calendrier, les dates, mais attend qu’il nous dise combien d’écoles, de classes resteront fermées sur un espace national qui échappe à plus de 40°/° au contrôle de l’Etat néocolonial failli et tenu par des raclures au service de l’impérialisme franco-occidental ! On attend de savoir qu’il nous dise combien de millions d’enfants burkinabè seront,encore et toujours cette année, privés d’école, d’enseignant(e)s ; toute chose qui ne semble plus gêner personne dans cette garenne à nègres vendus et incompétents qu’est devenue le Burkina-Faso ! Na an lara, an sara ! La patrie ou la mort !

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• par Zouk351, 10 septembre 2022 09:35

  Il ne s’agit pas de désigner le néocolonialisme comme responsable des problèmes du Burkina. Dibi , il ne faut pas mélanger influence coloniale et terrorisme, au risque de se discréditer. Le pays peut choisir des dates qui ne sont plus celles des Français colonialistes pour la reprise - autrefois l’école reprenait début octobre en France - pourquoi un congé pour la Toussaint et pour toutes les fêtes religieuses qui font du Burkina un pays avec trop de journées où l’on ne travaille pas. Il est certain que les enfants doivent pouvoir apprendre mais il faudra organiser la protection des écoles, déjà en clôturant les espaces scolaires et celles des enfants avec des gardiens issus des villages.

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