Actualités :: Burkina/Assisses sur la transition : Rude journée pour des participants à (...)

Ils sont 350 mandataires, issus de toutes les composantes de la société et venus de l’ensemble du territoire national, à prendre part à ces assises nationales sur la transition, ouvertes dès les premières heures de ce lundi 28 février 2022 à Ouagadougou.

Pour des conclusions attendues à 19h, à 21h, les participants venaient de terminer le premier point sur les quatre soumis à réflexions. Ce sont l’examen et l’adoption de la Charte (qui venait d’être achevé autour de 21h), l’examen et l’adoption de l’agenda de la transition, l’examen et l’adoption de la Charte des valeurs et, enfin, la désignation du président de la transition et la signature de la Charte.

« Ce n’est pas facile, une journée ne pouvait pas suffire pour ce travail. Depuis matin, c’est maintenant (autour de 21h) nous observons une pause pour manger. Nous allons rentrer pour achever la mise en forme de ce premier point avant d’aborder les trois autres points. En tous les cas, nous devons achever le travail. Les gens sont très fatigués, c’est un travail militaire, mais on n’a pas le choix, c’est pour le pays », s’est confié, sourire néanmoins aux lèvres, un des participants.

A l’entrée de la salle, on assiste à des va-et-vient de participants, certains se glissent pour des "courses" ou profitent pour lancer quelques appels ou répondre à des messages (les téléphones-portables n’étant pas admis dans la salle) tandis que d’autres se dégourdissent les jambes et/ou prennent de l’air. Les effets de la fatigue sont perceptibles sur les uns que les autres.

Mais qu’est-ce qui fait tant durer les travaux ?

Selon des indiscrétions, le nombre de postes de l’organe qui va faire office d’Assemblée nationale et la répartition des postes aux composantes ainsi que le nombre de postes au gouvernement ont canalisé de longs débats.
Aussi, le bénévolat du mandat semble poser problème. Des participants estiment qu’il faut rémunérer ceux qui vont animer les organes que de parler de mandat gratuit.

En attendant les conclusions, le pied de grue des journalistes se poursuit devant la salle de conférences internationale de Ouaga 2000.

Lefaso.net

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