Actualités :: Pourquoi, il faut voter Blaise Compaoré ?

En jetant un regard sur la ferveur de la campagne présidentielle en cours avec en toile de fond, les invectives, la liberté de ton, les promesses démesurées, la libre circulation des personnes, l’accès équitable de tous les candidats aux médias publics et privés, la conquête de l’électorat à travers les 45 provinces, les 3500 départements, les 8 000 villages et même les hameaux de cases par les candidats ou leurs représentants, bref, les veillées nocturnes, plusieurs raisons militent en faveur du choix du candidat, Blaise Compaoré.

En effet, comme le dit un adage africain, on a beau détester le lièvre mais il faut reconnaître qu’il court très vite. En d’autres termes, des gens ont beau détester Blaise Compaoré, les Burkinabè dans leur grande majorité lui reconnaissent d’être le géniteur de l’Etat de droit, de cette liberté. A la tête du Burkina Faso, Blaise Compaoré en homme méthodique, a mené notre pays à se doter d’une Constitution, évitant ainsi le ravage de conférences nationales en vogue dans les années 1990.

Artisan de l’Etat républicain au Burkina Faso après une décennie de régimes d’exception, le droit, la légalité et la République sont de nos jours une réalité. L’ancrage de la démocratie pluraliste, parlementaire, et locale témoigne de la vitalité de l’expérience burkinabè.

Deux élections présidentielles (1991 et 1998), et la troisième en cours, trois scrutins législatifs (1992, 1997 et 2002), deux municipales (1995 et 2000) illustrent parfaitement le fonctionnement continue des institutions républicaines. La stabilité politique et institutionnelle, la liberté d’opinion et d’expression, la promotion des droits humains et des libertés publiques, la croissance économique, etc, s’apprécient aisément et quotidiennement.

Notre pays est l’un des rares Etats de notre continent où les salariés du privé et les fonctionnaires des services publics passent régulièrement aux guichets des banques chaque fin de mois pour y « toucher » leurs salaires.
Blaise Compaoré est aussi artisan du rayonnement international du Burkina Faso, un pays qui a réussi avec brio, la tenue à Ouagadougou de grandes manifestions que des Etats mieux nantis naturellement et financièrement que le nôtre ne sont pas en mesure de les accueillir .

Il s’agit entre autres du Sommet France-Afrique en 1996, du Sommet de l’OUA en 1998, de la Coupe d’Afrique des Nations de football en 1998, du Sommet de la Francophonie en 2004, de la tenue régulière du FESPACO, du SIAO, de la SNC pour ne citer que celles-là. Ouagadougou est aujourd’hui la capitale africaine où il fait bon vivre, c’est-à-dire, le lieu indiqué pour y tenir ou organiser les multiples séminaires, ateliers, stages de perfectionnement, rencontres et que sais-je encore.

C’est un bilan éloquent mais non exhaustif que Blaise Compaoré présente aux Burkinabè, soucieux de la stabilité, de la paix sociale et du progrès continu.
L’adhésion ne souffre aucunement et c’est pourquoi, des associations de femmes, des personnes de troisième âge, des opérateurs économiques, des paysans, des jeunes, des étudiants, le parti au pouvoir (CDP) ainsi que 27 partis d’opposition, dont l’ADF-RDA, bref, de nombreuses couches socioprofessionnelles ont fait le choix du candidat Compaoré pour demeurer leur Président du Faso. C’est un choix juste, car il évite le saut dans l’inconnu.

En écrivant : « l’époque où nous vivons est celle des temps infernaux, sans boussole, ni repère, des temps de peur et de crainte pour les hommes, les femmes, les peuples fragiles et fragilisés, des temps de haine et d’égoïsme. Il n’y aura pas de potion magique pour des peuples comme le nôtre. Il nous faut nous investir sans calcul individuellement et collectivement pour retrouver les valeurs de partage et d’humanisme qui fondèrent la société burkinabè de naguère », Blaise Compaoré invite le peuple burkinabè au renforcement du bilan réalisé sous les deux septennats et révèle la nécessité de concevoir un nouveau programme de société, appelé « le progrès continu pour une société d’espérance », articulé autour de six axes essentiels qui sont :
-  la valorisation du capital humain ;
-  l’élargissement des opportunités de création de richesses ;
-  la modernisation des infrastructures économiques et des services ;
-  le raffermissement de la gouvernance ;
-  la promotion de la culture, des arts et du sport ;
-  le rayonnement international du Burkina Faso.
Blaise Compaoré est le seul des 13 candidats à présenter un contrat quinquennal réaliste et adapté aux préoccupations des populations.

Blaise Compaoré est également le seul des 13 candidats à tenir des meetings dans les stades, dans les auto-gares et les grandes places publiques dans les 45 provinces du pays. Autrement dit, la grande mobilisation observée lors de ces meetings suffit largement pour la réélection du président Compaoré.

Que les opposants, les adversaires et autres candidats jouent au fair-play et au sens de la responsabilité au lendemain du 13 novembre 2005 lorsque la victoire de Blaise Compaoré retentira dans le ciel burkinabè.

Alexis Bambara

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