D’importantes quantités d’eau venues du côté sud de la ville ont terrassé un pan du mur du camp militaire Ouezzin-Coulibaly qui a cédé sous la pression du torrent. Le palais de Justice, la direction commerciale de l’ONATEL, des concessions, des boutiques dans le quartier Sikasso-Cira ont été totalement inondés.
Dans le même temps, le marigot Houet a quitté son lit. De mémoire de Bobolais, jamais la ville n’a enregistré une telle quantité d’eau qui serait venue probablement d’ailleurs. Au moment où nous tracions ces lignes, seuls les dégâts matériels ont été enregistrés. On ne déplore pas de victimes.

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Sidwaya