Institut supérieur d’informatique et de gestion : Un comité scientifique valide les programmes des 2e et 3e cycles
Un comité scientifique a validé le 25 novembre dernier les programmes des 2e et 3e cycles de l’Institut supérieur d’informatique et de gestion. C’était au cours d’un atelier à l’hôtel Sofitel Libya 2000. Une marque de crédibilité s’ajoute.
L’Enseignement supérieur privé comme catalyseur du développement des pays africains, pour être appréciable, doit faire ses preuves dans la qualité des formations qu’il assure.
Cette qualité passe nécessairement par la transparence tant au niveau de la gestion des structures privées de formation que des programmes académiques. C’est dans cet esprit que s’inscrit l’atelier de validation des programmes de l’Institut supérieur d’informatique et de gestion (ISIG), des 2e et 3e cycles, tenu samedi 25 novembre 2006 à l’hôtel Sofitel Libya 2000.
Objectif de cet atelier, la recherche d’une formation performante et adaptée au besoin du marché tant national qu’international. En la matière, le CAMES recommande à toutes les universités membres de cette structure, l’adoption du système LMD, comme système international.
Il a le mérite non seulement de faciliter la mobilité des étudiants mais aussi d’harmoniser les formations supérieures en termes quantitatif et qualitatif.
Conscient donc de la pertinence de ce système, appliqué du reste par tous ses partenaires du Nord, l’ISIG ne saurait demeurer en marge de cette dynamique. Il lui a donc paru nécessaire de s’y engager.
D’où le passage au peigne fin des programmes des 2e et 3e cycles de cet Institut supérieur de formation par des personnes ressources du milieu universitaire. Parmis elles, on peut citer le secrétaire général du CAMES, le directeur général du groupe 3 IL de Limoges (université partenaire de l’ISIG), les anciens recteurs, les professeurs Pierre Meyer, Filiga Michel Sawadogo, Serges Théophile Balima, Blaise Somé...
Ainsi que des experts dans diverses spécialités. De leurs travaux, il a résulté des conclusions pertinentes que l’ISIG s’est engagé fortement à respecter, dans sa quête permanente d’excellence.
Elles viennent renforcer la professionnalisation des filières, en gardant étroitement le lien avec le monde universitaire et le monde du travail. Cet atelier de validation des programmes des 2e et 3e cycles de l’ISIG était placé sous la présidence du ministère des Enseignements secondaire, supérieur et de la Recherche scientifique.
Il marque la crédibilité de l’ISIG, un institut qui mène d’énormes efforts pour son développement. La plupart des diplômes qu’il livre sont accrédités par le CAMES. D’où la disponibilité du ministère en charge de l’Enseignement supérieur à accompagner l’ISIG dans sa volonté de s’assumer pleinement.
S.T
Sidwaya