Actualités :: Gouvernance démocratique en Afrique : Les cas ghanéen, sénégalais, malien, (...)

Une cinquantaine de représentants des partis politiques et de la société civile ghanéenne, sénégalaise, malienne, nigérienne et burkinabè sont réunis par le Centre pour la gouvernance démocratique (CGD) les 15 et 16 juin 2005, pour discuter des résultats d’une étude qui porte sur les partis politiques dans leurs pays respectifs.

Le Centre pour la gouvernance démocratique (CGD) du Burkina Faso, présidé par le professeur Augustin Loada, a la conviction qu’une démocratie forte et durable repose sur le bon fonctionnement des partis politiques.

D’autant plus que ceux-ci sont, selon lui, des acteurs essentiels parce qu’ils rassemblent des intérêts divers, recrutent et présentent des candidats, développent des propositions de politique concurrentes, offrant aux populations, la possibilité de choisir. C’est pourquoi, en collaboration avec l’Institut international pour la démocratie et l’assistance électorale (IDEA), le CGD organise un atelier de capitalisation des résultats du projet de recherche sur les partis politiques en Afrique de l’Ouest.

Cet atelier qui se tient à l’hôtel Indépendance de Ouagadougou regroupe plus de cinquante participants. Ce sont des représentants de partis politiques mais aussi de la société civile burkinabè, ghanéenne, sénégalaise, malienne et nigériane.

La rencontre se situe dans le cadre d’un dialogue régional entre chercheurs et partis politiques des différents pays impliqués sur les forces et faiblesses des systèmes démocratiques ouest africains. Avec comme ambitions, aider les partis politiques à mieux assumer non seulement leurs fonctions traditionnelles de conquête et de gestion du pouvoir politique, mais également et surtout leurs fonctions de socialisation politique, d’intégration sociale et de conception de leurs programmes.

Présidant la cérémonie officielle d’ouverture de cet atelier, le président de l’Assemblée nationale du Burkina, M. Roch Marc Christian Kaboré a affirmé "qu’attaché à la cause de la démocratie et à celle de l’intégration des peuples africains, ainsi que le proclame du reste la Constitution burkinabè, nous ne pouvons que soutenir l’initiative du CGD et de International IDEA, visant à créer des espaces de dialogue et de coopération entre partis politiques de la sous-région, par delà les barrières politiques, idéologiques et même linguistiques".

El Hadj Ibrahiman SAKANDE (ibra.sak@caramail.com )
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