Le sujet est-il réellement en débats ? Que non, puisqu’aujourd’hui, l’homosexualité s’est imposée. Ce n’est qu’un constat. Là où ça cloche encore, c’est la question du mariage et de l’adoption d’enfants. Celles-ci aussi sont en très bonne voie !!!
On remarque simplement que les communautés d’homosexuels de part le monde sont si puissantes, qu’il faut avaler sans rien dire le fait qu’il s’agit-là d’une chose normale. Et à l’instar d’une rengaine connue : " qui touche à Israël est antisémite ", nos chers homos ont eux aussi trouvé la parade qui cloue les becs de ceux qui refusent cette escroquerie de l’histoire : " qui touche aux homos et homophobe ".
Etant donné que cette déviance sexuelle existe chez certains humains pour le malheur de l’humain au rythme où vont les choses, le débat à notre sens n’est pas d’être pour ou contre. A la limite dit-on, si c’est entre adultes consentants, on s’en contre-ficherait comme de notre premier " slip ".
Mais lorsqu’ils en viennent à s’en prendre à des enfants, faibles et sans défense, on touche là un aspect révoltant et inadmissible. Et ce n’est point là une vue de l’esprit ni un procès contre la liberté mais bien parce qu’il y a eu des cas avérés de par le monde, et ils sont nombreux. Le débat à notre sens, concerne plus globalement le droit de chacun à vivre sa sexualité, sans avoir à l’imposer aux autres. C’est l’affichage et l’acceptation de ce phénomène, de part une campagne dictatoriale de presse, qui blesse la conscience de ceux qui ont encore la lucidité de penser, que l’humain court à sa perte. Mais n’est-il pas admis que lorsque la fin est proche, personne n’a la force de le dire et encore moins de prendre la tête d’une horde de sonneurs du tocsin, un tocsin censé réveiller tout le monde.
Si l’homosexualité est normale et admise, on en viendra un beau matin à nous persuader que la pédophilie, la zoophilie et tout le bataclan de la perversité sont tout aussi " ingurgitables ". On vit décidément des temps qui sont forcément pas bon signe.
S. KONE
L’Hebdo
