Vos commentaires

• 1. Le 8 février 2020 à 14:45, par jan jan En réponse à : 8-Mars 2020 : Un mouvement lance une vaste collecte de dons au profit des déplacés internes

  Voilà une très bonne initiative, j’espère seulement que cette nouvelle association ne sera pas récupérée par les politiques. Quelqu’un peut me confirmer si Mme Rita Sawadogo montré ici sur les photos est bien la même personne qui a été ministre sous Sankara ? Merci

  • ^ Le 9 février 2020 à 16:32, par mninda En réponse à : 8-Mars 2020 : Un mouvement lance une vaste collecte de dons au profit des déplacés internes

    C’est bien elle . Mais comme il n’ y a pas Première Dame et autres" grandes dames" ou autres parrainages de NABA derrière cette initiative noble ,je crains fort qu’elle ne soit torpillée .

    • ^ Le 10 février 2020 à 12:15, par jan jan En réponse à : 8-Mars 2020 : Un mouvement lance une vaste collecte de dons au profit des déplacés internes

      @mninda, merci pour le renseignement, bonne journée

• 2. Le 8 février 2020 à 16:42, par Ramde Seydou En réponse à : 8-Mars 2020 : Un mouvement lance une vaste collecte de dons au profit des déplacés internes

  Courage à vous , je travalle sur le sujet depuis 3 ans et le Financement Participatif de Proximité ( FPP) est la seule voie.

• 3. Le 8 février 2020 à 22:07, par Ka En réponse à : 8-Mars 2020 : Un mouvement lance une vaste collecte de dons au profit des déplacés internes

  Que Dieu vous bénisse pour cette initiative qui est noble et qui sauvera des vies en suspend parmi les déplacés, au lieu d’une soirée entre amies de femmes des ministres comme ça s’est passé dans une ville pour la journée de la femme et qui a coûté à des millions de Francs. Rita, Fifi en Italie dira la même chose que moi. Car, le pays pour son avancement a besoin de ce genre d’initiative positive qui va pour le peuple et ses opprimés.

• 4. Le 9 février 2020 à 18:52, par Africa En réponse à : 8-Mars 2020 : Un mouvement lance une vaste collecte de dons au profit des déplacés internes

   Je félicite ces femmes qui ont eu cette belle idée de solidarité nationale à l’endroit de nos compatriotes qui subissement les exactions des forces du mal dans plusieurs zones du pays. Ainsi, en procédant de la sorte, la Journée du 8 mars sera célébrée comme une Journée de la Femme et de solidarité nationale.
   Que les initiatrices de cette idée soient assurées de mon soutien moral, assorti de ma contribution de cent (100) FCFA en plus de ceux de mon épouse et de nos quatre (4) enfants. Comme le dit un adage, l’intention vaut le fait.
   A l’internaute KA qui semble connaître la présidente RITA SAWADOGO ; s’agit-il de la même Dame qui avait été nommée Haut Commissaire de la province du BAM en 1983 par le premier Gouvernement Révolutionnaire du camarade Président Thomas SANKARA ? Je retiens cette Dame parce qu’elle était la première sinon parmi les premières femmes nommées à ce poste d’administration du territoire dans notre pays. Quelle rupture ce fût dans les mentalités des administrés ! Heureusement, par l’exemple sur le terrain, les populations se rendirent compte qu’il ne s’agissait plus d’une Administration de Commandement mais désormais, d’une Administration de Développement qui se mettait en place .
  Je pourrais apporter un bon témoignage de l’action de cette Dame, s’il s’agit bien d’elle en guise d’éclairage à la jeunesse d’aujourdhui.

• 5. Le 10 février 2020 à 10:00, par Ka En réponse à : 8-Mars 2020 : Un mouvement lance une vaste collecte de dons au profit des déplacés internes

  Internaute ‘’’’Africa :’’’’ Oui c’est la femme de symbole d’une autre époque qu’on n’oublie pas. A 26 ans elle fut la première et unique femme haut fonctionnaire de notre pays a occuper un poste tant convoité par les hommes. Ce qu’on peut dire, la reforme territoriale et administrative qui est intervenu le 4 Août 1983, la nomination d’une femme de haut-commissaire était historique, et madame Rita Sawadogo en était le symbole qui a ouvert la voie à d’autres jusqu’à nos jours. Dirigé à l’époque une province comme le BAM en tant que femme n’était pas une mèche affaire : Mais elle a assumé avec fierté en disant qu’elle se sentait bien dans sa peau de haut-commissaire.

  Si tu as suivis ses actions pour la sécurité et le développement du BAM, n’hésite pas de l’apprendre à la jeunesse assoiffée du passé pour construire mieux l’avenir. Car, les femmes cadres de la révolution ne ressemblent pas à certaine d’aujourd’hui quand elles ont une responsabilité deviennent prétentieuses partisanes, et qui prennent des personnes sincères qui vivent honnêtement sans prétentions pour des cas sociaux. Rita n’était pas la seule, a ne citer que madame Bernadette Palé, Joséphine Ouédraogo-Guissou, ou Fatou Diendéré une ancienne pionnière dit Femme libre de la révolution, qui était au secrétariat centrale du CDR. Merci de me lire.

  • ^ Le 10 février 2020 à 23:40, par Africa En réponse à : 8-Mars 2020 : Un mouvement lance une vaste collecte de dons au profit des déplacés internes

     Merci infinement Doyen Ka , non seulement pour avoir donné une suite à ma demande, mais aussi en sus, pour avoir fourni daventage d’éclairages sur l’engagement patriotique et révolutionnaire de cette grande Dame.
     Lorsque le Gouvernement Révolutionnaire décidât de réorganiser l’adminstration du territoire en créant 25 provinces à la tête desquelles furent nommés des Hauts Commissaires dont la camarade RITA SAWADOGO au BAM. 
     Dès sa prise de service à Kongoussi, elle se préoccupât de l’absence d’un bureau de poste dans le chef-lieu de province, comme d’ailleurs ce fût le cas à Bogandé (Gnagna) et Boulsa (Namentenga). Au lieu de s’enfermer dans la bureaucratie, elle se lança à la recherche d’un local. A la surprise de tous, elle découvrît un local vide, comstruit depuis le début des années 1960, sous le magistère du président-patriote Maurice Yaméogo. Ce bâtiment était justement destiné au service des PTT, réalisé par la structure de la collectivité rurale du cercle, mais abandonné en plein centre-ville, dans l’indifférence des différents commandants de cercles et autres préfets jusqu’à l’arrivée de la révolutionnaire Rita Sawadogo à la tête de la nouvelle administration provinciale. Elle a su monté le temps pour arriver à ce résultat en très peu de temps !
     Le bureau de poste fut inauguré en juillet 1984 dans le cadre de la célébration de l’An I de la révolution et ce bureau fut baptisé en hommage au commando BALIBIÉ, tué dans la nuit du 4 Août 1983 lors de la prise Ouagadougou par les commandos de Pô dirigé par le Capitaine Blaise Compaoré, jusque lã retranché avec ses hommes à Pô, dans le Nahouri. Ce bureau de poste fût le premier de la Révolution, réalisé sans débourser un sous, grâce à une autre façon de servir l’Etat insuflée cette Dame.
     Malheureusement, cette Dame, première femme du Burkina à accéder ã un si haut poste de représentation du pouvoir central à l’intérieur du pays, sera éjectée de ses fonctions, au lendemain de la formation du 2ème Gouvernement en Août 1984 au nom de la clarification de la Révolution, inspirée par certains courants idiologiques issus de l’éclatement de l’ancien Union Générale des Etudiants. Voltaïques (UGEV) quelques années plus tôt. Comme la camarade Rita Sawadogo, la plupart des hauts cadres de la première administration révolutionnaire, ont été limogés ou contrariés sur injonction des CDR de service ; et pourtant, les observateurs internationaux, de surcroît Radio France Internationnale (RFI) reconnût sur ses antennes, que le camarade Président-Patriote-Révolutionnaire Thomas Sankara eût le mérite de bâtir sa nouvelle administration avec ceux qui comptaient parmi les meilleurs dans chaque secteur à cette époque.

• 6. Le 11 février 2020 à 08:44, par Ka En réponse à : 8-Mars 2020 : Un mouvement lance une vaste collecte de dons au profit des déplacés internes

  Merci mon jeune internaute ‘’’Africa’’’ de nous avoir fait découvrir les bonnes actions du symbole nommée Rita Sawadogo : Surtout pour la bravoure et la tempête qu’elle a traversé en tant que première haut-commissaire de l’histoire du Faso. Si elle s’est donné tout d’elle-même pour cette mission, c’est à cause de ses convictions révolutionnaire comme nous l’étions toutes et tous.

  Dans le BAM, elle était aussi la graine moussante dont notre révolution démocratique et populaire a gagné le terrain, elle était en un mot notre symbole. Quant au sujet de l’infrastructure, Rita a suivi l’objectif fixé par la RDP que chaque village sera doté d’un poste de santé primaire animé par une accoucheuse rurale un agent de santé, et un autre habilité à fournir les premiers soins. Et toutes les petites villes qui se développent comme Kongoussi a l’époque aient un poste de PTT. Les objectifs de la RDP à heurter quelques fonctionnaires qui ne voulaient pas travailler loin de la ville, mais l’exemple de Rita et tant d’autres a sensibilisé beaucoup de personnes, dont en une année de révolution 80% de la population ont compris que toutes et tous les Burkinabé doivent contribuer à l’effort national de développement et de promotion sociale du peuple. En deux ans de révolution il y a eu une grande mobilisation populaire par ce que tout le monde reconnait que le Burkina Faso ne peut continuer à être divisé en deux : Les villes d’un côté et les campagnes de l’autre. Tous les agents de la fonction publique comme Hervé Ouattara l’a fait tout dernièrement, devront accepter de travailler là où on a plus besoin d’eux. C’est Pourquoi des Haut commissaires très intelligentes comme Rita préparent les terrains pour ces fonctionnaires. Encore mon jeune internaute ‘’’Africa,’’’ merci de me lire.