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Affaire Boukary Dabo : Séni Kouanda, ancien président de l’ANEB, retrace les circonstances du drame

Publié le lundi 19 septembre 2022 à 22h00min

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Affaire Boukary Dabo : Séni Kouanda, ancien président de l’ANEB, retrace les circonstances  du drame

Une manifestation estudiantine dispersée par des commandos sur le campus de Zogona. Une chasse à l’homme jusque dans les domiciles privés. Des étudiants torturés au conseil de l’entente. Dabo Boukary en meurt. C’était la triste actualité en mi-mai 1990. Sans langue de bois, le Dr Seni Koanda relate les évènements chronologiquement et citent des acteurs. « On n’accuse personne, mais nous voulons connaitre la vérité », clame le clandestin de 1990, aujourd’hui docteur en médecine, dans une interview qu’il a accordée au Faso.net en mai 2015 et que nous re-publions à l’occasion de l’ouverture du procès ce 19 septembre 2022.

Lefaso.net : Quel était le contexte des manifestations sur le campus en mai 1990 ?

Seni Koanda : En 1990, nous étions en Etat d’exception sous la direction du Front populaire du capitaine Blaise Compaoré. L’un des démembrements du Front Populaire était le bureau des comités révolutionnaires de l’université de Ouagadougou. C’était donc dans un contexte d’absence des libertés démocratiques au niveau national et sur le campus. Pour exemple, le bureau des comités révolutionnaires de l’université de Ouagadougou avait été institué comme un échelon administratif. C’est-à-dire que si notre organisation, l’ANEB, voulait mener une activité, nous devrions lui demander l’autorisation. Il donnait son avis avant qu’on ne fasse parvenir la demande au rectorat de l’université qui décidait finalement. Le bureau des comités révolutionnaires était même allé jusqu’à demander à avoir un pouvoir discrétionnaire sur les bourses des étudiants.

Tout avait été mis en œuvre pour empêcher notre organisation de mener ses activités. Nous avons de la documentation qui montre comment il refusait systématiquement la tenue de nos activités.

Là c’était le contexte général…

Oui, il y a une situation particulière au niveau de l’Institut des sciences naturelles/Institut de développement rural (ISN/IDR), l’actuelle Unité de formation et de recherche en Sciences de la vie et de la terre (UFR/SVT), dirigé à l’époque par Alfred Traoré. Il y a avait une situation particulière parce qu’en plus des aspects de liberté, le système des examens était ultra sélectif. Les étudiants dans la corporation ont décidé de s’organiser et ont déposé une plateforme revendicative. Ils n’ont pas eu l’autorisation, mais ont tenu à organiser l’assemblée générale dans un amphi qui n’était pas occupé.

Là c’était dans la matinée du 15 mai. Suite à cela, dans la soirée à la radio nationale puis à la télévision nationale, il y a eu un communiqué du ministre des enseignements secondaire et supérieur et de la recherche scientifique qui excluait de l’université de Ouagadougou, non seulement la direction de la corporation (ISN/IDR, Ndlr.), mais tout le comité exécutif de l’ANEB.
A cause du problème d’un institut, on exclut tout le comité exécutif. On a voulu frapper fort en décapitant le comité exécutif.

Président de l’ANEB à l’époque, vous attendiez-vous à une telle extrémité ?

Non ! C’est vrai que la veille, on a été convoqué par le secrétaire général du ministère des enseignements secondaire et supérieur et de la recherche scientifique qui nous enjoignait de lever le mot d’ordre de grève de L’ISN/IDR. Nous avons répondu que nous n’étions pas la direction de corporation, mais le comité exécutif, on ne pouvait donc pas lever le mot d’ordre d’une corporation et que si des discussions étaient ouvertes avec la corporation, les étudiants ne manifesteraient pas.

Mais on ne s’attendait pas du tout à ce que tout le bureau exécutif, tous les membres de la corporation, des militants, soient exclus en même temps de l’université de Ouagadougou. Nous étions tous surpris par l’ampleur des évènements et cela a révolté les étudiants. Nous étions au 15 mai et le lendemain, spontanément, nous nous sommes retrouvés à l’université et nous avons tenu un premier meeting à l’ISN/IDR. Meeting au cours duquel il y avait le secrétaire du Comité révolutionnaire de l’université, Bamba Mamadou et le secrétaire général de l’Union nationale de la jeunesse du Burkina, Clément Sawadogo. A l’issue du meeting, décision a été prise de marcher sur le rectorat.

Quand nous sommes arrivés, il y a avait les commandos du conseil de l’attente, mais aussi, Mouhoussine Nacro, le ministre des enseignements secondaire et supérieurs et de la recherche scientifique et Alain Nidaoua Sawadogo, le recteur.
Nous avons fait une installation sommaire pour tenir notre meeting. A la tribune, il y avait le secrétaire général, Soulama Soungalo et moi-même, président, pour nous adresser aux autorités. Peu après, Salif Diallo est venu et à ordonner la dispersion de la manifestation.

Vous êtes formel, Salif Diallo a ordonné la dispersion de la manifestation ?

Je suis formel, Salif Diallo a ordonné la dispersion de la manifestation. Dans tous les cas, nous avions pris nos dispositions, notre sécurité a réussi à nous exfiltrer et nous mettre en lieu sûr. Après cela, il y a eu la chasse à l’homme sur le campus, du 16 au 20 mai. Non seulement sur le campus, mais aussi aux domiciles des responsables de l’ANEB et des militants. Il y a eu des indicateurs, notamment les membres des comités révolutionnaires qui indiquaient les domiciles. Moi-même, mon domicile a été visité par feu Gaspard Somé qui était au conseil, accompagné de Bamba Mamadou, le délégué CR de l’université.

Salif Diallo dit qu’il était juste de passage…

Je vais vous dire que je suis formel que Salif Diallo était là avant la dispersion de la manifestation. Alain Nidaoua Sawadogo l’a d’ailleurs reconnu dans une interview. Salif Diallo dit aussi qu’il était sur le campus ce jour-là. Là c’est une certitude. La seule question, reste ce qu’il faisait sur le campus. Il dit qu’il se promenait sur le campus, je m’interroge. Un proche conseiller du président Compaoré à l’époque qui se promène sur le campus pendant qu’il y avait un mouvement d’étudiants, je suis effaré. C’est à la justice de trancher sur ce que Salif Diallo faisait sur le campus le jour des évènements.

Après la dispersion de la manifestation, des étudiants ont été arrêtés dont Dabo Boukary, comment cela est arrivé ?

La police et les commandos du conseil de l’entente ont visité les domiciles des étudiants. Dans la matinée du 19 mai, nous avons déjoué la vigilance des forces de l’ordre et nous avons pu tenir un meeting sur le campus, en faisant croire aux forces de l’ordre que le meeting devrait se tenir à la bourse du travail. C’était important pour installer une direction provisoire de l’ANEB, nous avions peur qu’il ait une récupération.

Le comité exécutif qui a tenu le meeting est sorti d’une villa des 1200 logements. C’était le domicile d’un de nos délégués que nous avons quitté pour rejoindre le terrain, aujourd’hui terrain DABO Boukary. Quand nous avons fini le meeting, nous avons continué ailleurs. Les commandos ont tendu un traquenard au domicile du camarade des 1200 logements et toux ceux qui y venaient étaient arrêtés systématiquement. Le camarade Dabo est venu au domicile et c’est là qu’il a été arrêté, en même temps que le camarade, propriétaire de la maison. Ils ont été amenés le 19 mai au conseil de l’entente.

Avez-vous soupçonné sa mort juste après son arrestation ?

Evidemment, le bruit a couru trop vite. Dès qu’il y a eu les évènements, nous avons eu l’information. Dès le 20 mai, nous étions au courant de ce qui s’était passé. Nous avions des camarades déjà arrêtés et qui étaient au conseil. Mais aucune voix, aucune personnalité n’a jamais eu le courage de dire officiellement que Dabo est mort. Dans un premier temps, on a fait croire qu’il s’était évadé du conseil. Ensuite, on a admis plus ou moins qu’il est mort. Il n’y a aucun acte de décès, il n’y a pas de tombe pour Dabo. Nous pensons que c’est inhumain, pour sa famille, pour ses camarades.

Salif Diallo aurait intercédé pour la libération de certains étudiants, c’est ce qu’il prétend…

Je n’en sais rien. Ce qui est certain, c’est que quelques étudiants ont été libérés, mais d’autres sont restés plus d’un an au conseil de l’entente et ont été enrôlés dans l’armée. Ils n’ont été libérés qu’à la faveur de l’adoption de la constitution du 2 juin 1991. Les membres du comité exécutif de l’ANEB étaient dans la clandestinité pendant tout ce temps. Dire qu’il a fait libérer des étudiants, je n’en sais rien. Voilà pourquoi il est important que la justice fasse son travail et qu’il y ait un débat contradictoire. On n’accuse personne, mais nous voulons connaitre la vérité. On a vu des gens à un moment donné, dans des situations précises, nous estimons que ces personnes ont des informations qui doivent nous conduire à la manifestation de la vérité. Il faut noter que le MBDHP a exclu Salif Diallo de ses rangs, suite à ces évènements.

25 ans après la mort de Dabo Boukary, le Burkina vit un contexte particulier. Le pouvoir en place à l’époque a été chassé par la rue. Pensez-vous que la période de la transition soit favorable à l’éclatement de la vérité ?

En tout cas, nous espérons. Il y a deux ans, nous avons été entendus par le juge. Nous avons témoigné. Nous avons dit qu’il y a deux personnes clés qui peuvent nous éclairer sur le décès de Dabo. Salif Diallo et Gilbert Diendéré, à l’époque capitaine.

Pourquoi ces deux ?

Nous voulons comprendre le rôle de Salif Diallo sur le campus le 16 mai 1990. Pour le général Gilbert Diendéré, nous savons de source sure, que c’est lui qui a ordonné l’enlèvement du corps de notre camarade. Il doit savoir qui a fait quoi, ayant conduit à la mort de notre camarade. Nous l’avons dit au juge. On devrait pouvoir savoir qui a tué Dabo et pourquoi ? Où il est enterré ? Que l’Etat puisse assumer sa part de responsabilité et que les individus qui y ont participé assument leurs responsabilités.

Il y a deux ans, quand nous rencontrions le juge, le général Gilbert Diendéré était chef d’Etat-major particulier du chef de l’Etat. Actuellement, il ne l’est plus. Nous sommes dans une nouvelle situation et nous pensons qu’il peut être entendu par la justice. Après ce qui s’est passé les 30 et 31 octobre, avec la transition, nous estimons que le dossier Dabo Boukary devrait être ouvert et devrait beaucoup avancer. Dans tous les cas, nous avons foi que tôt ou tard, la vérité sera faite.

Après que le juge vous a auditionné, y a-t-il eu une suite ?

Après les deux ans, plus rien. Il n’y a plus eu d’écho jusqu’à présent. C’est aux organisations démocratiques et révolutionnaires de se battre pour que tous ces dossiers soient ouverts.

Avez-vous l’impression que ce dossier est relégué au second plan par rapport à d’autres qui font l’objet d’instruction actuellement ?

Tout le monde reconnait que la justice a un problème et que beaucoup de gens ne veulent pas rouvrir les dossiers de crimes de sang. C’est quelque chose de très inquiétant. Peut-être que certains qui sont aujourd’hui dans la transition ont travaillé avec le régime Compaoré. C’est pourquoi nous devons rester vigilants. Les lignes doivent bouger, dans le cas contraire, nous ferons en sorte qu’elles bougent.

25 ans, c’est véritablement trop. Il n’est pas acceptable qu’aujourd’hui, ceux qui ont assassiné des fils de ce pays, continuent de se promener allègrement. Leur chef a fui, mais ceux qui sont là doivent répondre. Justice doit être faite pour Dabo et tous ceux qui ont été assassinés par le régime Compaoré.

Comment avez-vous vécu la période après l’exclusion et dans quel contexte vous avez réintégré l’université de Ouagadougou ?

Nous sommes entrés dans la clandestinité parce que nos têtes étaient pratiquement mises à prix par la police et les militaires du conseil. Ils sont même venus chez moi, embarquer un camarade avec qui je logeais. Ils l’ont mis dans le coffre du véhicule avant de se rendre compte que ce n’était pas moi et ils l’ont libéré. Notre représentant à la commission constitutionnelle a été arrêté en plein jour au cours des travaux. Nous avons été accueillis par notre peuple qui nous a logés, et nourris pendant toute cette période, au péril de la répression qui pouvait s’abattre sur lui.

Grâce au combat mené par le mouvement démocratique et à la faveur de l’adoption de la constitution, il n’était pas acceptable qu’on nous maintienne dans cette situation, d’où la réintégration prononcée par le ministre des enseignements secondaire et supérieur et de la recherche scientifique. On a continué nos études après avoir perdu deux années académiques. Beaucoup étaient des étudiants en médecine, on est tous devenus des médecins, d’autres sont aujourd’hui professeurs, juristes, docteurs en gestion.

Il semble que certains d’entre vous sont allés continuer les études à l’extérieur ?

Pendant que nous étions dans la clandestinité au Burkina, les membres des comités révolutionnaires disaient aux étudiants qu’ils luttaient pour des gens qui ont eu des bourses pour s’inscrire à l’extérieur, en Allemagne, en France… je dis bien, aucun, aucun militant de l’ANEB n’est sorti du Burkina pour s’inscrire à l’extérieur. Nous ne sommes allés nulle part. Je me souviens que j’étais dans la clandestinité avec mon secrétaire général et qu’il a entendu cela, il a dit qu’il sortait. Il a fallu lui mettre la pression pour l’empêcher de sortir. Parce que c’était peut-être un stratagème pour nous avoir.

Maintenant que la situation est loin derrière, où étiez-vous ? Qui vous a logé ?

(Rires) je ne vous dirai pas qui m’a logé, où j’ai logé, parce qu’on n’en sait jamais. Je ne le souhaite pas, mais peut-être qu’une situation peut survenir et j’aurai encore besoin de cette planque ou quelqu’un d’autre en aura besoin. Mais nous n’étions pas en un seul lieu. C’était dangereux. Il a fallu bouger de temps en temps. Dans toutes les familles où nous avons été, il y avait du respect, les gens se sont bien occupés de nous et c’est un devoir aujourd’hui de leur dire merci.

Par exemple, là où nous avons été le premier jour, le propriétaire était en construction. Le bâtiment n’avait pas de chappe, on a dormi sur une natte. Mais l’ambiance était conviviale, il nous remontait le moral.

Entretien réalisé par Tiga Cheick Sawadogo
Lefaso.net

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Vos commentaires

  • Le 21 mai 2015 à 17:01, par Le véridique En réponse à : Dr Seni Koanda, président de l’ANEB en 1990 : « Deux personnes peuvent nous éclairer sur le décès de Dabo Boukary : Salif Diallo et Gilbert Diendéré »

    Voilà qui est bien claire comme de l’eau de roche. J’attends les commentaires du Koro Yamyélé lui qui est un farouche supporteur de Salif Diallo.
    A bon entendeur salut

  • Le 21 mai 2015 à 17:06 En réponse à : Dr Seni Koanda, président de l’ANEB en 1990 : « Deux personnes peuvent nous éclairer sur le décès de Dabo Boukary : Salif Diallo et Gilbert Diendéré »

    Maudits soient ceux qui ont tue Dabo,
    Dieu ne dort pourtant pas. Regardez ce qu’ils sont devenus, Nacro, le recteur Sawadogo...Il gagne des marches dans les mines d’or pour le transport. On comprend maintenant. Vous tuez ensemble et vous mangez ensemble dans notre or. On verra comment vos enfants vont finir. Continuez a leur donner les marches de transport dans les mines d’or seulement. Dabo etait l’enfant de quelqu’un aussi.

  • Le 21 mai 2015 à 17:09, par vérité no1 En réponse à : Dr Seni Koanda, président de l’ANEB en 1990 : « Deux personnes peuvent nous éclairer sur le décès de Dabo Boukary : Salif Diallo et Gilbert Diendéré »

    Les journalistes posent trop de questions ! Salif Diallo ne tenait pas une kalash à l’époque ! Je crois que Blaise lui même est mieux placé pour répondre à l’affaire Dabo. Salif n’a jamais été un militaire, point barre !!!!!!!!

  • Le 21 mai 2015 à 17:22, par Sid wata En réponse à : Dr Seni Koanda, président de l’ANEB en 1990 : « Deux personnes peuvent nous éclairer sur le décès de Dabo Boukary : Salif Diallo et Gilbert Diendéré »

    je pense que la justice doit faire de son mieux pour auditionner ses deux individus impliquer dans un bref délai pour que ceux-ci ne prétendent un jour poser leur candidature dans la gestion de la chose publique. Aucune faute de cette envergure ne serai toléré. Quelque soit le statut de la personne la culpabilité est avéré :" plus rien ne sera comme avant". Il ne faut la juste pour construire notre cher pays

  • Le 21 mai 2015 à 17:29, par corneille En réponse à : Dr Seni Koanda, président de l’ANEB en 1990 : « Deux personnes peuvent nous éclairer sur le décès de Dabo Boukary : Salif Diallo et Gilbert Diendéré »

    ns réclamons justice pr l’assassinat d Dabo ! paix a sont âme

  • Le 21 mai 2015 à 17:31, par ouedraogo ousmane En réponse à : Dr Seni Koanda, président de l’ANEB en 1990 : « Deux personnes peuvent nous éclairer sur le décès de Dabo Boukary : Salif Diallo et Gilbert Diendéré »

    El koanda, comment tu vas ? je suis fier de te lire, la lutte continue.

    (LONG LONG)

  • Le 21 mai 2015 à 17:37, par TOUGOUMA En réponse à : Dr Seni Koanda, président de l’ANEB en 1990 : « Deux personnes peuvent nous éclairer sur le décès de Dabo Boukary : Salif Diallo et Gilbert Diendéré »

    Comme Salif DIALLO était chef d’État major de l’armée du Burkina et qu’il logeait dans le conseil où DABO Boukary était incarcéré alors Mr KOANDA(je comprends votre souffrance aujourd’hui puisque Blaise t’a récupéré après avec ton frère Assimi lui aussi prof) allez lui demander des explications.

  • Le 21 mai 2015 à 17:51, par Le roi En réponse à : Dr Seni Koanda, président de l’ANEB en 1990 : « Deux personnes peuvent nous éclairer sur le décès de Dabo Boukary : Salif Diallo et Gilbert Diendéré »

    S’il vous plait dans cette histoire qui date de depuis 25 ans , beaucoup de témoins sont toujours vivants et bien portant . J’était personnellement au meeting du rectorat où Kouanda SENI a fait une allocution d’une dizaine de minutes . Salif Diallo est venu par la suite (tout de blanc vêtu , et , en toute sincérité il n’a pratiquement pas fait 5 minutes dans les lieux ; c’est le même Séni qui nous a dit que Salif Diallo souhaitait rencontrer les étudiants au conseil ; c’est le même Koanda qui a mis fin au meeting de façon brutale en descendant de l’estrade et en disparaissant (en prenant peut être la fuite ) . Dire que Salif Diallo a ordonné la dispersion de la manifestation est archifaux . Du reste , il n’y avait pas d’hommes de tenue visibles sur les lieux et les manifestants ont continué la marche dans les autres facultés . SENI KOANDA lui même repose la question sur ce que Salif Diallo faisait sur les lieux ; ne fallait-il pas commencer par là avant d’affirmer que c’est ce même salif qui a ordonné la dispersion de la manifestation ; Bonnes gens voyez vous nous voulons tous la vérité dans cette affaire ; mais pas à travers une acrobatie où certaines personnes veulent vêtir de façon inélégante la tenue de HERO. .

  • Le 21 mai 2015 à 17:54, par Desiré SAWADOGO En réponse à : Dr Seni Koanda, président de l’ANEB en 1990 : « Deux personnes peuvent nous éclairer sur le décès de Dabo Boukary : Salif Diallo et Gilbert Diendéré »

    Ton frère a essayé il n’a pas pu c’est pas toi tu va pouvoir avec tes mensonges à ne pas finir. Pendant l’État d’exception est ce que les Hyacinthes avaient besoin d’un civile au conseil ?Blaise lui même les craignait.Maintenant même si tu en veux à Salif aujourd’hui par ce qu’il a contribué a couper votre soupe avec l’insurrection et à DIENDERE par ce que le débarquement de ton frère dans le CDP nouveau au profit de son protégé KONBOIGO te rend malade alors soufrez Mr KOANDA nous on avance.

  • Le 21 mai 2015 à 17:57, par qar En réponse à : Dr Seni Koanda, président de l’ANEB en 1990 : « Deux personnes peuvent nous éclairer sur le décès de Dabo Boukary : Salif Diallo et Gilbert Diendéré »

    vrai combattant. La nation vous sera reconnaissante. Comme quelqu’un l’ a dit "notre vie n’a de sens que si nous restons conforme à nos convictions" Voici des gens qui ont commencé la lutte et ceux l’ont achevé pensent qu’ils en sont les maitres. Un peu de modestie Basic soul

  • Le 21 mai 2015 à 18:00, par lejumeau En réponse à : Dr Seni Koanda, président de l’ANEB en 1990 : « Deux personnes peuvent nous éclairer sur le décès de Dabo Boukary : Salif Diallo et Gilbert Diendéré »

    Professeur. Avec tout le respect du à votre statut, je regrette que tu descendes aussi bas dan l’arène.Ne vous acharnez sur Salif DIALLO que je hais viscéralement.

  • Le 21 mai 2015 à 18:16 En réponse à : Dr Seni Koanda, président de l’ANEB en 1990 : « Deux personnes peuvent nous éclairer sur le décès de Dabo Boukary : Salif Diallo et Gilbert Diendéré »

    J’ai des larmes aux yeux.
    Vraiment, tout cela pour se maintenir au pouvoir !
    Des moments pareils pouvaient revenir avec ce PM ZIDA s’il était resté Président. A voir ses manières, même s’il venait à confisquer le pouvoir, il nous faudra batailler dur pour en échapper.

  • Le 21 mai 2015 à 18:19 En réponse à : Dr Seni Koanda, président de l’ANEB en 1990 : « Deux personnes peuvent nous éclairer sur le décès de Dabo Boukary : Salif Diallo et Gilbert Diendéré »

    Les gens ne veulent pas reconnaitre quelque chose, Salif était bel et bien présent ce jour au campus ; il est venu en jetta noire, est-ce faut. C’était des étudiants qui étaient sur le campus pas des têtes vident qui oublient ce qu’ils ont vu.

  • Le 21 mai 2015 à 18:22, par La flèche En réponse à : Dr Seni Koanda, président de l’ANEB en 1990 : « Deux personnes peuvent nous éclairer sur le décès de Dabo Boukary : Salif Diallo et Gilbert Diendéré »

    Alors les jeunes surtout les étudiants qui courent derrière le parti des RSS devraient interroger leur conscience, s’ils en ont. Pourquoi suivent ce monsieur ?

  • Le 21 mai 2015 à 18:39, par Wendymi En réponse à : Dr Seni Koanda, président de l’ANEB en 1990 : « Deux personnes peuvent nous éclairer sur le décès de Dabo Boukary : Salif Diallo et Gilbert Diendéré »

    Paix à l’ame de Dabo Boukary.
    Au vu de ces aveux, nous pouvons dire que Mr Salif Diallo n’est aucunement mélé à l’assassinat de cet etudiant. Car etre dans la cours de l’uo ce jour du 16 n’a rien à voir avec le deces de Dabo. la mort ne s’est pas in situ et Salif n’etait de la police ou des commandos du conseil qui ont traqué les etudiants. Si le peuple veut reellement la verité, nous devons exiger l’audition du chef de la police de l’epoque, de Gilbert Diendéré, de Hyacinthe Kafando, de François Compaoré etc. Mais pas du tout auprès de Salif Diallo. Auditionner Salif Diallo est une fuite de responsabilité pour la recherche de la verité. C’est chercher des poux sur un crane alors qu’il est clair qu’on pourra rien y trouver.
    Auditionner Salif Diallo est purement politique et sans interet pour la recherche de la verité.
    A tout ceux qui crient et hurlent qu’il faut entendre Salif Diallo sont tous contre la verité et la justice pour Dabo. Ils sont simplement animés d’une aigreur contre le camarade Salif.
    La situation est clair que Dabo est mort au conseil. On connait quels sont ceux qui dirigent le conseil à l’epoque et les militaires à cette periode là, pourquoi toujours continuer d’emprunter le chemin de la verité au moment meme que Blaise ne soit pas là.
    Peuple du Burkina Faso ne vous laisser pas berner par des politiciens vérés qui croient avoir le pouvoir par la diffamation. si ces politiciens arrivent au pouvoir de cette façon, on cherchera toujours vos criminels parmi les russes ou les extraterrestres.

  • Le 21 mai 2015 à 18:49 En réponse à : Dr Seni Koanda, président de l’ANEB en 1990 : « Deux personnes peuvent nous éclairer sur le décès de Dabo Boukary : Salif Diallo et Gilbert Diendéré »

    "Maintenant que la situation est loin derrière, où étiez-vous ? Qui vous a logé ? "
    25 an après, on voit que vous avez vous aussi des choses (graves) à cacher. Donc commencer par balayer devant votre porte en étant transparent.

  • Le 21 mai 2015 à 19:03, par eteincelle En réponse à : Dr Seni Koanda, président de l’ANEB en 1990 : « Deux personnes peuvent nous éclairer sur le décès de Dabo Boukary : Salif Diallo et Gilbert Diendéré »

    Il est vrai que salif Diallo était au campus le jour dudit meeting ça,c’est la pure vérité. Maintenant quand Salif dit aussi qu’il était de passage (il a même cité des temoins)ça aussi peut être vrai. Ce qu’il faut savoir c’est que Salif et les gens de l’Aneb ne parle pas du même jour. En effet il ya eu plusieurs vagues d’arrestations. Quand Salif dit qu’il a fait libérer des étudiants,il a cité le MBDHP en témoin et ce la peut être vrai. Halidou était à la conférence de presse où salif l’a dit et aucun démenti n’a été apporté par halidou. C’est après les premières vagues d’arrestations suivi de quelques libérations que les relations entre le MBDHP et Salif se sont distendues.Le même halidou peu taujourd’hui nous situer là dessus
    Autre chose à présent.La vérité est bonne à dire. Dabo est mort dans les locaux du conseil. Ce qui est certain c’est que le Gl Gilbert a été informé par le chergent N... et Dabo aurait été enterré sur la route de pô. Autre chose. C’est la haine morbide entre les anciens camarades du PCRV qui attise certaines positions au delà du désir de découvrir la vérité sur la mort de DABO. L’histoire un jour témoignera de ce que une certaine intelligentsia burkinabè s’est laissé empêtré dans des théories brumeuses dont certains tenants aujourd’hui ont du mal à regarder leurs anciens camarades en face car eux mêmes ont quelque chose à se reprocher. Que chacun sache raison garder,la vérité se saura un jour sur la mort de Dabo.

  • Le 21 mai 2015 à 19:05, par tengen-biga En réponse à : Dr Seni Koanda, président de l’ANEB en 1990 : « Deux personnes peuvent nous éclairer sur le décès de Dabo Boukary : Salif Diallo et Gilbert Diendéré »

    C’est un témoignage. Déja fait au Juge. Qu’il auditionne a présent M Salif Diallo et Diendéré. Pour qu’on ait la lunière sur cette affaire.

  • Le 21 mai 2015 à 19:12, par Tapsoba®(de H) En réponse à : Dr Seni Koanda, président de l’ANEB en 1990 : « Deux personnes peuvent nous éclairer sur le décès de Dabo Boukary : Salif Diallo et Gilbert Diendéré »

    @ "vérité no1",ce n est pas de cette manière que témoignerez votre soutien à Salif Diallo.Invitez le plutot à laver son honneur en témoignant ,sous serment pourquoi pas,devant un juge d instruction .Qu il dise toute la vérité ,dénonce tous ceux(il ne tenait peut-être pas une arme mais est sans doute témoin,assisté ??) qui sont impliqués directement ou indirectement dans cette affaire .Ça y va de sa crédibilité.

  • Le 21 mai 2015 à 19:14, par mninda En réponse à : Dr Seni Koanda, président de l’ANEB en 1990 : « Deux personnes peuvent nous éclairer sur le décès de Dabo Boukary : Salif Diallo et Gilbert Diendéré »

    Dans cette affaire, il y a manifestatement de la mauvaise foi et de la malhonnneteté dans le camp de ceux qui prétendent défendre le regretté DABO BOUKARY .
    1- comme quelqu’un l’a dit, il y a encore beaucoup de témoins vivants qui peuvent contribuer à la manifestation de la vérité que nous souhaitons tous .
    2- SALIF n’a jamais nié qu’il n’était pas sur le campus ce jour ,d’autant qu’il a même cité des personnes qu’il a rencontré ce jour sur ou autour du campus .
    3-Salif a toujours déclaré qu’il se tenait à la disposition de la justice sur ce dossier .L’a t-on convoqué et il n’est pas parti ?
    4-avec ses "je n’en sais rien" Mr KOANDA lui même n’est pas sur de ce qu’il dit quant au déroulement des évènements, d’autant que d’autres personnes présentes ce jour donnent des versions différentes qui n’accablent pas SALIF.
    5- Est ce que le simple fait d’être passé ce jour au campus fait de SALIF un responsable de l’assassinat de DABO survenu bien plus tard au conseil de l’entente ?
    Vraiment ,il y a trop de méchanceté et de volonté de règlement de comptes et de destruction de l’autre au BURKINA FASO .
    La justice est déjà sur le dossier ,pourquoi ne pas attendre ses conclusions au lieu de chercher à lui imposer des coupables coute que coute à travers des insinuations.
    Enfin s’il y a bien quelqu’un qui a bien profité du système de Blaise COMPAORE c’est bien ce SENI KOANDA. Là où il croit se cacher c’est là-bas nous on dort comme dirait l’ivoirien

  • Le 21 mai 2015 à 19:34 En réponse à : Dr Seni Koanda, président de l’ANEB en 1990 : « Deux personnes peuvent nous éclairer sur le décès de Dabo Boukary : Salif Diallo et Gilbert Diendéré »

    Je salue lefaso.net pour tout ce qu’il fait pour un Burkina Faso meilleur. Revenant à l’interview de Séni, je voudrais apporter ma part de vécu et de témoignage, sur cet triste épisode de la vie tumultueuse de notre pays, sous la dictature sanguinaire de Blaise Compaoré et de ses sinistres "touts puissants conseillers" et compagnons de l’époque.
    En 1990, j’étais le Délégué Général de la Corporation ANEB de l’INS/IDR. A l’époque, j’étais en 3ème année IDR (Institut du Développement Rural). Mon adjoint était Aloys Nonguierma, (il travaille aujourd’hui à l’Autorité du Liptako-Gourma).
    Soulama Soungalo était à l’ISN (Institut des Sciences de la Nature).
    Outre le contexte que Séni a retracer, il faut rappeler qu’en 1990, de façon arbitraire, et seulement à deux mois de la fin de l’année académique, la direction de l’ISN/IDR, dont le premier responsable était Alfred TRAORE, (député CDP de la législature chassée par le peuple en octobre 2014), a informé les étudiants, par simple voie d’affiche, du changement du système des évaluations et des examens.
    Après moult tentatives infructueuses auprès de la direction, pour comprendre de quoi cela relevait, et face au mécontentement grandissant des étudiants, la Corporation a décidé de la tenue d’une assemblée générale avec l’ensemble des étudiants afin de déterminer notre position.
    La goutte d’eau qui a fait déborder le vase était que nous, corporation ANEB de l’ISN/IDR, devrions demander l’autorisation au bureau CR (Comité Révolutionnaire) des étudiants de l’ISN/IDR, afin de tenir notre réunion. Comment exiger de certains étudiants de demander l’autorisation à d’autres étudiants pour mener leurs activités.
    Mais déjà, bien avant le 15 mai 1990, le Directeur de l’Institut, M. Alfred TRAORE, a tout fait pour empêcher le bureau de la Corporation de se réunir. A cet effet, il a donné des instructions fermes au gardien, afin qu’il ne nous ouvre aucune des salles de l’institut. J’ai personnellement rédigé la demande d’occupation de l’Amphithéâtre, aux fins d’y tenir notre assemblée générale. La demande a été refusée, sans raison aucune. Malgré ce refus non justifié, nous avons maintenu notre assemblée générale dans la salle.
    Pour ce qui est de la présence de Salif Diallo sur le campus, je suis formel : Salif Diallo était bel et bien sur le Campus, le jour, à l’heure et au lieu du meeting. Pourquoi ? D’où est-il venu pour se retrouver sur le champ d’une manifestation d’étudiants ? Je m’en souviens encore comme si c’était aujourd’hui. Il tenait un talkie-walkie en mains et il était constamment en communication. Avec qui ? De quoi parlaient-ils ? Lui et cette personne peuvent nous éclairer. Mais toujours est-il que la vérité finit toujours par jaillir, et du côté d’où on l’attend le moins. autant Blaise ne s’attendait pas, il y a de cela 7 mois, à se retrouver dans la situation dans laquelle il est aujourd’hui, tant il a menti, louvoyer, assassiné et volé le peuple, autant tous ses complices d’hier payeront tôt ou tard, pour leur part de responsabilité, tôt ou tard, au moment où ils ne s’y attendent pas.
    Aly Teyéni MANA
    Ingénieur du Développement Rural
    Délégué de la Corporation ISN/IDR
    Au moment de l’enlèvement et de
    L’assassinat du Camarade DABO Boukary.

  • Le 21 mai 2015 à 19:34, par SING En réponse à : Dr Seni Koanda, président de l’ANEB en 1990 : « Deux personnes peuvent nous éclairer sur le décès de Dabo Boukary : Salif Diallo et Gilbert Diendéré »

    Si venir au campus le 16 mai et de surcroit un civil est synonyme de participation à la mort de DABO 3 jours plut tard par les commandos qui l’ont attrapé ce 19 mai du conseil alors ce pays est foutu. Des grandes personnes qui se livrent dans ça et nous les jeunes maintenant ? Le pays est foutu.

  • Le 21 mai 2015 à 19:39 En réponse à : Dr Seni Koanda, président de l’ANEB en 1990 : « Deux personnes peuvent nous éclairer sur le décès de Dabo Boukary : Salif Diallo et Gilbert Diendéré »

    Que sont devenus BAMBA Mamadou et Clément SAWADOGO ? Et SOUNGALO le beau parleur et le Sage ?

  • Le 21 mai 2015 à 19:41, par wendgoudo En réponse à : Dr Seni Koanda, président de l’ANEB en 1990 : « Deux personnes peuvent nous éclairer sur le décès de Dabo Boukary : Salif Diallo et Gilbert Diendéré »

    Au Burkina et particulièrement en Afrique nous allons continuer à souffrir par le simple fait que tous sommes a 89% hypocrites. Dr SENI a donner sa version des faits et il a cité des noms que tous connaissons. Si vous mangez chez ces personnes je m’excuse ce n’est pas la fautes a SENI que la justice se saisisse du dossier pour taire les polémiques

  • Le 21 mai 2015 à 20:09, par vérité no1 En réponse à : Dr Seni Koanda, président de l’ANEB en 1990 : « Deux personnes peuvent nous éclairer sur le décès de Dabo Boukary : Salif Diallo et Gilbert Diendéré »

    Merci Mr Tapsoba pour votre contribution, Salif peut se présenter devant le juge en tant que témoin simple au même titre que Dr Kouanda ! Il ne doit même pas avoir le statut de témoin assisté, réservé pour moi aux militaires. Quant aux commenditaires, la mise en examen doit les concerner et je cite le capitaine .......!!!!!! Pardon, l’ex capitaine.....!!!!!!

  • Le 21 mai 2015 à 20:37, par Aly Teyéni MANA En réponse à : Dr Seni Koanda, président de l’ANEB en 1990 : « Deux personnes peuvent nous éclairer sur le décès de Dabo Boukary : Salif Diallo et Gilbert Diendéré »

    Merci mon Frère Wendgoudo (internaute n°26). Ne vous fatiguez pas, ces gens-là ne peuvent pas vous comprendre. Voyez-vous, il y a dans ce pays de nombreuses personnes qui doivent leurs position ou tout simplement leur statut de fonctionnaires à certains anciens ministre d’état, conseillers et autres compagnons de Blaise, du temps où ils étaient les hommes forts. De tels individus, obligés des hommes forts du régime du front populaire, de l’ODP/MT et du CDP, ne peuvent que défendre, tous azimuts leur mentors, en parlant de chose qu’ils ne connaissent pas. Au lieu de donner des arguments et des faits irréfutables pour contredire les propos de Séni, ils ne peuvent qu’insulter, dans la couardise, sous anonymat. Mais qu’ils sachent qu’ils ne nous impressionnent nullement. Ils peuvent insulter, dans la lâcheté, ils peuvent vociférer pour prouver à leur mentor qu’ils les défendent bec et ongles, en guise de remerciement, nous en avons cure, car pour nous, ce qui compte, c’est la vérité, rien que la vérité, sans aucune considération.
    Les hommes honnêtes et courageux parlent toujours à visages découverts, afin d’être identifiables et que leurs propos soient tout aussi vérifiables. C’est vrai, il n’est pas permis à tout le monde d’être honnête et courageux. En effet, peu nombreux sont ceux qui peuvent s’identifier, puisqu’ils ne peuvent rien justifier honnêtement, de tout ce qu’ils ont accumulé. De tels individus ne peuvent qu’insulter dans la lâcheté, l’indignité, l’anonymat propre aux corrompus et aux corrupteurs.
    Aly Teyéni MANA.

  • Le 21 mai 2015 à 20:37, par lemeneur En réponse à : Dr Seni Koanda, président de l’ANEB en 1990 : « Deux personnes peuvent nous éclairer sur le décès de Dabo Boukary : Salif Diallo et Gilbert Diendéré »

    De quoi les gens ont-ils peurs ? Dr Koanda dit que Salif et Diendéré peuvent nous éclairer. Est ce dire qu’ils sont coupables ? c’est à la justice de faire son travil maintenant en les auditionnant. S’il s’avère qu’ils sont innocents tant mieux dans le cas contraire ils dévront répondre de leur fait.
    Et je pense que nous devons éviter de voir le diable dans tout. Ceux qui politisent la version du Dr ne veullent pas l’éclatement de la vérité ; tout ne monde n’est pas saint. Salif est là avec plusieurs autres témoins. Ils pourront donner leur version des faits et la justice tranchera.

  • Le 21 mai 2015 à 20:48, par Le Sage 2 En réponse à : Dr Seni Koanda, président de l’ANEB en 1990 : « Deux personnes peuvent nous éclairer sur le décès de Dabo Boukary : Salif Diallo et Gilbert Diendéré »

    Justice pour DABO BOUKARY !
    Dabo Boukary, repose en paix !
    Dabo Boukary, aide le peuple burkinabé à retrouver tes assassins et les circonstances de ta disparition !
    Amen !

  • Le 21 mai 2015 à 20:57, par DAVY En réponse à : Dr Seni Koanda, président de l’ANEB en 1990 : « Deux personnes peuvent nous éclairer sur le décès de Dabo Boukary : Salif Diallo et Gilbert Diendéré »

    salif etait le francois de l’epoque. donc il pouvait donner des
    ordres aux militaires

  • Le 21 mai 2015 à 21:26, par Leo Ouatt En réponse à : Dr Seni Koanda, président de l’ANEB en 1990 : « Deux personnes peuvent nous éclairer sur le décès de Dabo Boukary : Salif Diallo et Gilbert Diendéré »

    J’ai ete sympatisant de ce movement a un moment donne de l’histoire. Pour etre honnete , ce movement est a l’origine du Malheur de l’universite de Ouagadougou, dans la mesure ou il ne tient pas compte de l ;a realite sur le terrain pour agir mais juste sur instruction de certaines personnes en dehors du monde universitaire. C’est un movement qui n’aime pas le debat contradictoire a defaut tu es traite comme gateau ou affilie au regime d’en place. C’est un movement qui est pret aux mensonges et ala calomnie pour atteindre ses objectifs. Seini Koanda, tu dois etre honnete, si tu le regime ne voulait pas de toi je ne crois pas que tu auras cette position presente et meme dispenser des cours a l’universite de Ouaga. Vous utilisez plus tot la naivete de la majorite des etudiants pour atteindre des objectifs partisans. La majorite des leadres du movement ont beneficie des largestes du pouvoir pour reussir. Beaucoup d’entre vous ne sont pas de bons exemples dans la vie professionelle. J’ai tas d’exemple que je garde de vers moi. J’attends aussi un moment propice avec des preuves a l’appui.Sur au moins cinq leaders de l’ANEB,moi et des camarades sont sur des pistes pour prouver comment ils ont beneficie du regime et comment leurs epouses ont tire des dividends des lutes de la lutte des etudiants qui de bonne foi est a la recherché de l’amelioration des conditions de vie des etudiants.Mr Seyni, tu n’es pas comme tu le pretends, to dossier sera aussi etale un jour a la place publique. j’EXPLIQUERAIS PLUS TARD COMMENT TU AS BENEFICIE DE TA BOURSE DE SPECIALISATION ET TON CUMUL DE POSTES sous le regime dictatorial du regime Compaore que tu affliges de nos jours.
    Sie Jhon Ouattara.

  • Le 21 mai 2015 à 21:41, par John le veridique. En réponse à : Dr Seni Koanda, président de l’ANEB en 1990 : « Deux personnes peuvent nous éclairer sur le décès de Dabo Boukary : Salif Diallo et Gilbert Diendéré »

    Tout le monde sait que l’ANEB est une excroissance du PCRV au campus. Tout le monde sait aussi que Tôlé Saignon est avec Àlidou les figures de prou de ce regroupement clandestin. Tout bon observateur sait que l’ANEB a été infiltré et phagocyter par les services de renseignements de Compaore. Tenez, la plupart de leurs militants qui sont persévérants au campus ou qui y traînaient ont eu des bourses d’étude pour loccident , surtout le Canada. La plupart reviennent se caler au CNRST. Soungalo, Meda, Koanda, ...vous imaginez Blaise Compaore donner systématiquement des bourses à des activistes qui le menacent ? Tôlé Sagnon a été en mission pour encadrer les luttes syndicales pour quelles ne soient pas menaçantes pour le régime. Et pour cela, beaucoup d’entre eux ont été récompensés. Tôlé Saignon qui a combattu la chefferie coutumière avec la casquette d’un communiste radical est devenu à sa retraite....le chef coutumier de son village. Au début des marchés contre la modification de l’article 37, les organisations syndicales, sous la houlette de Tôlé Saignon, ont combattu ZEPH, sous prétexte que c’est un libéral avec une idéologie capitaliste qui va mettre les masses laborieuses au service des seigneurs du capitalisme et du néocolonialisme. Puis le MPP vient, avec une idéologie de gauche, social démocratique. Tout le monde se disait que les tenants du PCRV ne pourront plus faire volte face pour combattre ce parti qui est de même tendance idéologique qu’eux. Mais à la surprise générale, que constate-on ? Tant sur Facebook que sur les médias en ligne, ils se mettent en rang serrés pour combattre le MPP. QUE VEULENT -IILS À LA FIN ? Me diriez vous ! Ce à quoi le bon sens fait comprendre : à savoir que ces gens ont vaillamment tenté de démobiliser la lutte pour le maintien de la limitation du nombre de mandats. Le régime de Blaise était pour eux une sinécure et ils défendaient leurs prébendes. À présent, ils sont furieux que leur corrupteur s’en soit allé et ils se mettent en branle bas pour combattre la transition et les grands partis qui vont bientôt mettre fin à leurs politique honteuse. Aussi, ils ont tenté de manipuler encore les étudiants mais il faut de l’argent pour cela et Blaise n’est plus la pour pourvoir à leurs doléances. À présent que plus rien ne les menace, pourquoi ne se constituent-ils pas en parti politique pour conquérir le pouvoir d’état ? Arce qu’ils n’ont rien a proposer et se contentent d’être au service du plus offrant, tels de véritables mercenaires politiques. Est le sens de la sortie de ce Dr Koanda qui doit toute sa carrière au régime actuel. Tenez, pourquoi, ce n’est qu’il y’a deux ans qu’on l’a interrogé sur le cas DABO Boukary qui a eu lieu il y avait plus de vingt ans ? Pour calomnier et enfoncer Salif Diallo qui était déjà un pestiféré pour la famille Compaore. Mais le peuple n’est plus dupe. Il est beaucoup plus instruit et plus capable d’analyse critique. Ce qu’il omet intentionnellement de dire, c’est que Salif Diallo est parti de lui même se faire entendre par les juges et déposer son témoignage il y’a plusieurs mois. Nous voulons que justice soit rendu à tous les malheureux tombes sous la férule de la dictature des Compaore. Mais qu’on accepte que vous vous servez de façon éhonté du malheur des gens pour défendre vos rapines, il y’a un pas que nous refusons énergiquement de franchir. Vivement que la lumière se fasse sur cette affaire !

  • Le 21 mai 2015 à 21:46, par Le Vigilent En réponse à : Dr Seni Koanda, président de l’ANEB en 1990 : « Deux personnes peuvent nous éclairer sur le décès de Dabo Boukary : Salif Diallo et Gilbert Diendéré »

    Je ne comprends pas les internautes qui s’offusquent de ce que Seini Kouanda suggere que la justice auditionne Salif Diallo dans l’affaire Dabo Boukari. A mon avis d’autres personnes comme les Sawadogo Nindaoua, Mouhoussine Nacro, Alfred Traore et autres encore doivent etre entendus sur la question. Kouanda Seini n,a pas dit que Salif Diallo etait le commanditaire ou l’auteur de la’assassinat de Dabo Boukari. Il estime par contre qu’il pourrait detenir certaines informations a mem d’aider a la manifestation de la verite au regard de sa position dans le systeme a l’epoque des faits.
    Pourquoi s’opposer a une eventuelle audition de Salif Diallo dans cette affaire. L’ineresse n’etait pas n’importe qui a l’epoque et comme il tait au moment du meeting apres lequel des etudiants, dont Dabo Boukari, ont ete arretes, il est tout a fait logique que l’on puisse avoir sa version des faits.
    Cela ne ceut nullement dire qu’il est soupconne d’avoir joue un role quelconque dans l’enlevement suivi de la torturation a mort de Dabo Boukari. Refuser de se preter a une telle audition voudrait dire que l’interesse a des choses a se cacher sur la question ! Heureusement que Salif Diallo lui meme s’est dit pret a se preter aux question du juge s’il etait interpele !

  • Le 21 mai 2015 à 21:47, par Juste En réponse à : Dr Seni Koanda, président de l’ANEB en 1990 : « Deux personnes peuvent nous éclairer sur le décès de Dabo Boukary : Salif Diallo et Gilbert Diendéré »

    Cette interview, ajoutée à la lettre qu’un ancien étudiant militants de l’ANEB pendant les années de plomb au Burkina avait entre temps adressée à Salif DIALLO me fait dire que le dossier DABO est facile à gérer. Il faut arrêter Salif et l’ancien Chef d’état major particulier de la présidence et on saura la vérité. C’est pas plus compliqué ; Salif était au campus le jour de la manifestation et a ordonné de disperser les étudiants, Gilbert a ordonné l’enlèvement du corps de DABO après son décès, vous voulez quoi encore ?

  • Le 21 mai 2015 à 22:02 En réponse à : Dr Seni Koanda, président de l’ANEB en 1990 : « Deux personnes peuvent nous éclairer sur le décès de Dabo Boukary : Salif Diallo et Gilbert Diendéré »

    attendez ici.je pense qu’il faut laisser Dabo Boukary se reposer en paix.les gens utilisent sont nom pour d’autre fin.qui a fait quoi pour sa famille.vous ses camarades qui sont devenus médecins professeurs et autres qu’avez vous fait pour sa famille ? c’est parler hoho hoho qui est votre fort.vous avez été tous complices de sa mort et il vous attend le jour du dernier jugement.si les commandos ont interpellé vos camarades pourquoi vous fuillez ? fallait vous rendre tous au conseil et vous rendre.et en ce moment les commandos n’allaient tué personne.

  • Le 21 mai 2015 à 22:21, par hoja En réponse à : Dr Seni Koanda, président de l’ANEB en 1990 : « Deux personnes peuvent nous éclairer sur le décès de Dabo Boukary : Salif Diallo et Gilbert Diendéré »

    J’étais étudiant à la même époque à l’IMP. C’étais un jeudi soir. Trop chargé, ce jour de meeting je traitais des exercices avec des amis et nous étions à l’étage (salle des TD). C’est ainsi que nous avons vu des militaires traverser notre faculté à pieds, en direction du terrain de l’IUT. En chemin, ils bastonnaient tous ceux qu’ils croisaient et c’était la débandade. Ils ne nous ont pas vu car nous étions à l’étage. C’est le lendemain que nous avons appris la mort de DABO Boukari. C’est tout ce que personnellement je sais de cette affaire et je souhaite que des éléments probants permettent un jour de l’élucider pour qu’enfin DABO repose en paix. Cependant, ce que je peux affirmer de l’ANEB et de SENI KOANDA qui nous dispensaient en vacance des séminaires sur le syndicalisme et le siocialisme (UGEB), c’est qu’ils abusaient de notre candeur pour nous raconter des fables sans réalité aucune. C’est ainsi que je suis tombé des nues et je n’en reviens toujours pas d’avoir vu à la télé des albanais fuyant par tout moyen leur pays pour échapper à la misère alors que M. SENI nous avait bourré la tête de ce que l’Albani d’Envers Hoja était le parachèvement du socialisme, donc le paradis sur terre où tous les besoins vitaux étaient satisfaits. Dépuis lors, je suis un peu méfiant des dires de ce Monsieur. Mais enfin, aujourd’hui avec la nouvelle donne politique tout peut être élucidé et je préfère que la justice prenne ce dossier en charge comme celui du Président SANKARA.

  • Le 21 mai 2015 à 22:26, par WALAY En réponse à : Dr Seni Koanda, président de l’ANEB en 1990 : « Deux personnes peuvent nous éclairer sur le décès de Dabo Boukary : Salif Diallo et Gilbert Diendéré »

    Mon avis est cette sortie n’arrange pas le juge, ni les défenseurs du dossier DABO Boukari. C’est bien de se faire entendre mais le plus important est d’apporter quelque chose à la manifestation de la vérité. Quand Mr Séni KOUANDA affirme que c’est Salif DIALLO qui a ordonné de disperser les manifestants et en même temps dit qu’il ne sait pas ce que Salif DIALLO est venue faire au campus ce jour là, moi je ne me retrouve plus et ce sont ces genres d’amalgammes qui perdent les juges dans la recherche de la vérité. Quel crédit moi qui veux savoir la vérité peux donner à un tel témoignage ? Et en plus si il est le frères de l’autre KOUANDA, qu’il nous épargne prochainement de tels témoignages. WALAY

  • Le 21 mai 2015 à 22:46, par vérité no1 En réponse à : Dr Seni Koanda, président de l’ANEB en 1990 : « Deux personnes peuvent nous éclairer sur le décès de Dabo Boukary : Salif Diallo et Gilbert Diendéré »

    D’accord avec WALAY, le Dr Kouanda mélange les pédales et risque de mélanger le juge ! Salif était sur le campus, c’est tout ce qu’il a comme argument pour accuser Salif. C’est vraiment pathétique et cela resemble à un raisonnement de cabarets avec tout le respect que j’ai pour le Dr Kouanda. On doit aller au delà des émotions !

  • Le 21 mai 2015 à 22:58, par vérité no1 En réponse à : Dr Seni Koanda, président de l’ANEB en 1990 : « Deux personnes peuvent nous éclairer sur le décès de Dabo Boukary : Salif Diallo et Gilbert Diendéré »

    @Aly MANA, vous faussez le débat en vous prenant pour un homme courageux qui parle à visage découvert ! Je respecte votre courage, permettez - moi de vous demander pourquoi vous n’avez pas exposé les faits pendant que Blaise était au pouvoir ? Ne jouez pas au faux héros et comme quelqu’un l’a dit, vous n’auriez pas dû abandonner Dabo entre les mains des assassins, où du moins périr ensemble. Vous plongez de plus en plus dans le dilatoire.

  • Le 21 mai 2015 à 23:16, par vérité no1 En réponse à : Dr Seni Koanda, président de l’ANEB en 1990 : « Deux personnes peuvent nous éclairer sur le décès de Dabo Boukary : Salif Diallo et Gilbert Diendéré »

    Ceux qui disent qu’on mange chez Salif font preuve d’une amnesie et d’une cécité intellectuelle criade dépourvu de toute précocité intellectuelle. C’est déplorable qu’au 21 ème siècle des individus se livrent à de telles basesses.

  • Le 21 mai 2015 à 23:16, par Figo En réponse à : Dr Seni Koanda, président de l’ANEB en 1990 : « Deux personnes peuvent nous éclairer sur le décès de Dabo Boukary : Salif Diallo et Gilbert Diendéré »

    Tous ces petits fascios du web a commencer x VERITE N1 le fanatique du mpp,il est temps de la boucler.Toute vie merite respect,le pauvre Dabo doit etre rehabilite cela commence par l,audition et eventuelle arrestation de Mr Diallo car tout porte a croire que ce sinistre Mr a sa part de responsabilite dans l,arrestation et la detention de feu Dabo.Quant a Mr Diendiere il est possible qu,il soit responsable et non coupable,du fait qu,il etait responsable de securite a l,époque,je ne suis pas sur qu,il soit l,executant materiel.Repose en paix mon frere Dabo

  • Le 21 mai 2015 à 23:27, par soutien En réponse à : Dr Seni Koanda, président de l’ANEB en 1990 : « Deux personnes peuvent nous éclairer sur le décès de Dabo Boukary : Salif Diallo et Gilbert Diendéré »

    Je pense que c’est la justice qui crée des problèmes. Il faut juger toutes ces affaires où chacun dit détenir la vérité.
    Je demande aux admirateurs de Salif de ne pas réagir par passion car le docteur n’a jamais dit qu’il est l’assassin mais simplement qu’il connaît des choses.

  • Le 21 mai 2015 à 23:40, par Levoltaique En réponse à : Dr Seni Koanda, président de l’ANEB en 1990 : « Deux personnes peuvent nous éclairer sur le décès de Dabo Boukary : Salif Diallo et Gilbert Diendéré »

    Mr Salif Diallo c,est ce senateur Romain qui conspira contre J.Cesare,complot au cours duquel l,empereur trouva la mort en pleine seance au senat.Seulement le senateur felon a oublie qu,avec la fin de l,empereur c,est sa propre fin (cursus honorum)qui est engagee.Effectivement qlq temps apres il est tombe dans la disgrace et meurt miserable.Conclusion:Les RSS en commettant la parricide (chute de Blaise)le 30 /31 oct eux aussi ne pourront pas survivre pour longtemps,le code des vainqueurs n,y peut rien.

  • Le 21 mai 2015 à 23:41, par DIEU SAUVE L’AFRIQUE En réponse à : Dr Seni Koanda, président de l’ANEB en 1990 : « Deux personnes peuvent nous éclairer sur le décès de Dabo Boukary : Salif Diallo et Gilbert Diendéré »

    Quand j’ai lu l’interview et les commentaires des internautes j’ai compris que notre pays est gangrené par trop de pseudos intellectuels et hypocrites. C’est tout ça qui a permis à Blaise de régner autant de temps sur notre pays avec ce que cela a causé comme tort à notre peuple. Je vous exhorte à être dignes, intègres et sincères pour l’avenir de notre pays, pour nous les jeunes et pour vos enfants car vous tous acteurs des années 90 vous avez mis le pays en retard et avez votre avenir derrière vous. Que Dieu sauve le Burkina Faso.

  • Le 21 mai 2015 à 23:53 En réponse à : Dr Seni Koanda, président de l’ANEB en 1990 : « Deux personnes peuvent nous éclairer sur le décès de Dabo Boukary : Salif Diallo et Gilbert Diendéré »

    On sent que la langue française est difficile. Pauvre de nous. Là où le débats ne devrait pas arriver, certains feront tous pour l entraîner. Dommage en voulant defendre leur salif ou diendere, ils n font que les enfoncer. Lisez le titre et réfléchissez avant de commencer à aboyer. Vraiment......

  • Le 21 mai 2015 à 23:59, par jhon En réponse à : Dr Seni Koanda, président de l’ANEB en 1990 : « Deux personnes peuvent nous éclairer sur le décès de Dabo Boukary : Salif Diallo et Gilbert Diendéré »

    Aly Teyéni MANA IDR de son état a fini ses études à KATIBOUGOU au Mali donc dire que tous étaient au Pays est faux

  • Le 22 mai 2015 à 01:16, par Dieudonné En réponse à : Dr Seni Koanda, président de l’ANEB en 1990 : « Deux personnes peuvent nous éclairer sur le décès de Dabo Boukary : Salif Diallo et Gilbert Diendéré »

    et le talk walky qu’il tenait la n’etait pas pour la police ou pour les commandos ? comment l’a t’il eu lui le civil ? ARRETONS de se chamailler, cherchons a verité dans tous les sens. defendre quelqu’un ou accuser sans preuve ne nous mene à rien. il ya des indices que l’on peut exploiter.

    Unité dans la diversité, c’est le FASO qui gagne !

  • Le 22 mai 2015 à 06:31, par Militant ANEB /Corporation FASEG á dans les années 90 En réponse à : Dr Seni Koanda, président de l’ANEB en 1990 : « Deux personnes peuvent nous éclairer sur le décès de Dabo Boukary : Salif Diallo et Gilbert Diendéré »

    Ci-dessous, la partie la plus importante de l’interview sur le plan juridique :
    "Après la dispersion de la manifestation, des étudiants ont été arrêtés dont Dabo Boukary, comment cela est arrivé ?

    La police et les commandos du conseil de l’entente ont visité les domiciles des étudiants. Dans la matinée du 19 mai, nous avons déjoué la vigilance des forces de l’ordre et nous avons pu tenir un meeting sur le campus, en faisant croire aux forces de l’ordre que le meeting devrait se tenir à la bourse du travail. C’était important pour installer une direction provisoire de l’ANEB, nous avions peur qu’il ait une récupération.

    Le comité exécutif qui a tenu le meeting est sorti d’une villa des 1200 logements. C’était le domicile d’un de nos délégués que nous avons quitté pour rejoindre le terrain, aujourd’hui terrain DABO Boukary. Quand nous avons fini le meeting, nous avons continué ailleurs. Les commandos ont tendu un traquenard au domicile du camarade des 1200 logements et toux ceux qui y venaient étaient arrêtés systématiquement. Le camarade Dabo est venu au domicile et c’est là qu’il a été arrêté, en même temps que le camarade, propriétaire de la maison. Ils ont été amenés le 19 mai au conseil de l’entente".

    Questions et analyses :
    Salif Diallo etait sur le campus 16 Mai et Dabo Boukary a été nelévé au 1200 logement le 19 Mai, comment le rendre responsable de cet elèvement où il n’etait. Etait-il aussi au 1200 logements Mr. Koanda ? il y a un acharnement sur la personne de Salif Diallo. Certe la justice doit être rendu et la tombe de ce brace étudiant (ainsi que celui de Tom Sank) montrée á sa famille pour qu’il fasse le deui.

  • Le 22 mai 2015 à 06:57, par nebnoma En réponse à : Dr Seni Koanda, président de l’ANEB en 1990 : « Deux personnes peuvent nous éclairer sur le décès de Dabo Boukary : Salif Diallo et Gilbert Diendéré »

    tôt ou tard la vérité jaillira.Chacun récoltera ce qu’il a semé.Certains ont commencé à payer. Que les autres attendent leur tour.Personne ne pourra empêcher le soleil de se lever.

  • Le 22 mai 2015 à 07:08 En réponse à : Dr Seni Koanda, président de l’ANEB en 1990 : « Deux personnes peuvent nous éclairer sur le décès de Dabo Boukary : Salif Diallo et Gilbert Diendéré »

    Ceux qui sont entrain de dire que Salif DIALLO n’est pas impliqué, lui même après cet écrit, il attend quoi pour répondre. S’il est sûr de lui, il n’a qu’à déposer une plainte à la justice et on verra. Tôt ou tard il va répondre ce vampire du règne de Blaise Compaoré qui fait croire à ceux qui refuse la vérité ou à ce qui cour derrière les miettes qu’il est l’homme de la situation.

  • Le 22 mai 2015 à 07:16, par Kôrô Yamyélé En réponse à : Dr Seni Koanda, président de l’ANEB en 1990 : « Deux personnes peuvent nous éclairer sur le décès de Dabo Boukary : Salif Diallo et Gilbert Diendéré »

    ’’Une manifestation estudiantine dispersée par des commandos sur le campus de Zogona’’.

    - C’est là où moi je ne suis pas d’accord ! Pourquoi ce sont des commandos qui vont disperser les étudiants et non la police ou la gendarmerie ? Est-ce leur travail ?

    C’est une utilisation abusive de l’armée. Pour mpoi sincèrement les chefs de cette unités doivent répondre devant les tribunaux et cette mort de l’étudiant est à mettre à leur compte !!

    Par Kôrô Yamyélé

  • Le 22 mai 2015 à 07:22, par la rage En réponse à : Dr Seni Koanda, président de l’ANEB en 1990 : « Deux personnes peuvent nous éclairer sur le décès de Dabo Boukary : Salif Diallo et Gilbert Diendéré »

    ne vous étonnez pas que rien ne passe sur ce dossier. tout le monde sait qui a fait quoi et qui a dit quoi mais rien n’est fait pour arrêter les coupable. que salif dialo soit arrête pour tout les crimes commis

  • Le 22 mai 2015 à 07:39 En réponse à : Dr Seni Koanda, président de l’ANEB en 1990 : « Deux personnes peuvent nous éclairer sur le décès de Dabo Boukary : Salif Diallo et Gilbert Diendéré »

    Au fait des fois on se demande s’il faut réagir à certains propos ou pas ! Dès que l’on évoque le nom de Salif Diallo certains internautes s’affolent. Mais la vérité c’est que Salif Diallo a été bel et bien l’acteur sinon l’auteur principal de la répression de mai 90. Or Dabo Boukari a été assassiné à l’occasion de ces événements ! C’est aussi simple que ça !
    Maintenant pourquoi dit-on que Salif est responsable de ces événements : dans le système Compaoré à l’époque, il était le seul à maîtriser l’organisation interne du mouvement pour être issu de ses rangs. Militant et idéologue du PCRV, avant de se vendre à Blaise Compaoré pour sortir dans la galère qu’il était plongé lors de son SNP, c’est le seul qui savait qu’en plus des leaders visibles, d’autres militants travaillaient dans l’ombre au cas où ! Cette disposition était nécessaire pour la survie du mouvement en cas de répression. Salif lui même en a profité en 1985 après le congrès de l’UGEB tenu dans la clandestinité au temps fort de la répression sous le CNR. Et en 1990 n’eut été cette structuration l’ANEB était morte car c’était l’objectif visé en la décapitant par l’exclusion de tout son comité exécutif. Et c’est cette capacité organisation qui a permis de déjouer cet objectif machiavélique. Le Comité exécutif étant dans la clandestinité pour le régime Compaoré c’était la fin de la lutte. Que ni, car le 18 mai un meeting monstre se tenait sur l’historique place Dabo Boukari pour galvaniser les militants et leur dire qu’ils n’étaient pas orphelins car la lutte serait désormais dirigée par les plus anciens des délégués de corporation dont le regretté Bagré Clément de la faculté de droit et Sanon Bakary de la faculté de médecine, étudiant de 7ème année à l’époque et aujourd’hui chirurgien.
    Quand Salif Diallo dit qu’il n’était plus au pays au moment de l’arrestation et de la torture à mort de Dabo Boukari, il a peut-être raison, mais c’est bel et bien lui qui a ordonné la dispersion du meeting du 16 mai qui a donné cours à la chasse l’homme sur le campus et dans la ville de Ouagadougou et d’autres villes du pays.
    Aujourd’hui ce qui réclamer, c’est l’accélération du dossier judiciaire dont les premières auditions remontent en 2001 ! Bien d’acteurs de l’époque des événements ont entendu en janvier 2001 à la suite la bourrasque née de l’assassinat odieux du journaliste Norbert Zongo.

  • Le 22 mai 2015 à 07:41, par Talato En réponse à : Dr Seni Koanda, président de l’ANEB en 1990 : « Deux personnes peuvent nous éclairer sur le décès de Dabo Boukary : Salif Diallo et Gilbert Diendéré »

    Nos pensées vont toujours à ces morts et surtout qu’ils nous ont quitté à la fleur de l’âge . A lire toutes ces déclarations un seul élément dans tout ça risque de jouer un sale tour a salif Diallo. Le Fameux TALKIE WALKIE qu’il utilisait ce jour. Cet appareil était un moyen de communication de notre armée . Si Salif s’est retrouvé au Campus c’était grâce à ce TALKIE WALKIE. Il a été informé par des militaires qui étaient en réseau avec lui de ce qui se passait
    du côté du campus. S’il tenait un TALKIE WALKIE c’est qu’il donnait directement des ordres a des militaires . Maintenant il faudrait éclaircir comment un civil peut se retrouver dans une chaîne de communication militaire . A cette date n’importe qui faisait n’importe quoi.
    CEST LE TALKIE WALKIE QUI VA TRAHIR SALIF DIALLO.

  • Le 22 mai 2015 à 07:45, par le bronx En réponse à : Dr Seni Koanda, président de l’ANEB en 1990 : « Deux personnes peuvent nous éclairer sur le décès de Dabo Boukary : Salif Diallo et Gilbert Diendéré »

    pays des hommes integres ou il ya des homme super integre qui meme malgré les preuves contre eux ne serons jamais inquieté. continuons de rever seulement car je vous dit que la justice ne fera rien
    c’est pour nous qui est dure mais allons seulement
    dieu fera notre justice

  • Le 22 mai 2015 à 07:45, par sougri En réponse à : Dr Seni Koanda, président de l’ANEB en 1990 : « Deux personnes peuvent nous éclairer sur le décès de Dabo Boukary : Salif Diallo et Gilbert Diendéré »

    Sié jhon ouattara (internaut ) numéro 32
    Alors écoute bien ceci . Nous te connaissons bien et nous attendons tes soit disant preuves . Nous en ferons de même te concernant toi et ta famille . Alors que le jeu commence nous ne sommes pas du tout effrayer . Pendant que le docteur parle de la mort d’un de vos camarades enlevé , torturé , assassiné et enterré on ne sais où ; toi tu es là à débité des idées qui frise la jalousie . Même si le docteur à bénéficier des largesses du pouvoir et que malgré tout il n’a pas fermer sa gueule et continue à réclamer la vérité sur la mort de monsieur Dabo je lui tir mon chapeau . Combien de personnes ont fermé leurs clapet sous le régime dictatorial de blaise compaoré juste pour sauver leurs peaux et leurs pitance. Alors si le docteur à des couilles pour dire que le général Gilbert et salif dialo doivent savoir se qui s’est passé alors que ses deux là viennent répondre point barre il ne sont pas des super hommes ici au faso . Le reste de vos délations comme ta famille à bénéficier de ci de ce là sous blaise on a rien a cure ; ne détourné pas le débat . Nous , nous recherchons la TOMBE DU SOLDAT INCONNU EN LA PERSONNE DE DABO BOUKARY . Sa famille recherche sa tombe depuis 27 ans et aujourd’hui que l’occasion se présente tu prétend nous dire de la fermé j’ai l’impression que tu en connais beaucoup sur ce dossier et partant de là nous demanderons à ce que tu sois également entendu par la justice . Si toi monsieur sié ouattara tu as des comptes à régler avec monsieur kouanda tu sais là ou le trouver . Et pour votre gouverne je tiens a vous préciser que la lutte de mr kouanda ne date pas d’hier car pendant que vous , vous êtes entrain de récolter des preuves à gauche et à droite pour le diffamé lui il est assit avec ses preuves et il vous attend .
    A bon entendeur salut .

    Sougri de paris

  • Le 22 mai 2015 à 07:46, par sougri En réponse à : Dr Seni Koanda, président de l’ANEB en 1990 : « Deux personnes peuvent nous éclairer sur le décès de Dabo Boukary : Salif Diallo et Gilbert Diendéré »

    Sié jhon ouattara (internaut ) numéro 32
    Alors écoute bien ceci . Nous te connaissons bien et nous attendons tes soit disant preuves . Nous en ferons de même te concernant toi et ta famille . Alors que le jeu commence nous ne sommes pas du tout effrayer . Pendant que le docteur parle de la mort d’un de vos camarades enlevé , torturé , assassiné et enterré on ne sais où ; toi tu es là à débité des idées qui frise la jalousie . Même si le docteur à bénéficier des largesses du pouvoir et que malgré tout il n’a pas fermer sa gueule et continue à réclamer la vérité sur la mort de monsieur Dabo je lui tir mon chapeau . Combien de personnes ont fermé leurs clapet sous le régime dictatorial de blaise compaoré . Alors si le docteur à des couilles pour dire que le général Gilbert et salif dialo doivent savoir se qui s’est passé alors que ses deux là viennent répondre point barre le reste de vos délation comme ta famille à bénéficier de ci de ce là sous blaise on a rien a cure ; ne détourné pas le débat . Nous nous recherchons la TOMBE DU SOLDAT INCONNU EN LA PERSONNE DE DABO BOUKARY . Et si toi monsieur sié ouattara tu as des comptes à régler avec monsieur kouanda tu sais là ou le trouver . Et pour votre gouverne je tiens a vous préciser que la lutte de mr kouanda ne date pas d’hier car pendant que vous vous êtes entrain de récolter des preuves à gauche à droite pour le diffamé lui il est assit avec ses preuves et il vous attend .
    A bon entendeur salut .

    Sougri de paris

  • Le 22 mai 2015 à 07:48, par Kôrô Yamyélé En réponse à : Dr Seni Koanda, président de l’ANEB en 1990 : « Deux personnes peuvent nous éclairer sur le décès de Dabo Boukary : Salif Diallo et Gilbert Diendéré »

    - Internaute 1, il a dit ’’Salif a ordonné la dispersion de la manifestation’’. Il n’a pas dit ’’Salif a ordonné de tuer Dabo Boukaray’’. Tu es analphabète non ?

    Le jeune DABO est mort au Conseil de l’entente, et Salif DIALLO n’avait pas de bureau ni de logement en ce lieu sinistre. C’est Gilbert DIENDÉRÈ qui travaillait là-bas et c’est lui qui a ordonné l’enlèvement du corps de DABO. Donc il doit en savoir mieux que Salif DIALLO. La vérité, c’est que tout le Burkina a peur de lui. C’est celà la vérité que les gens font semblant d’ignorer. La clique des ZIDA et autres ont une peur bleue de ce monsieur et personne n’ose lui demander des comptes. Les juges même l’écoutent en tremblant, alors comment veux-tu qu’on sache des choses sur ces assassinats ?

    Ce monsieur a servi Blaise COMPAORÉ et non le Burkina Faso !

    Par Kôrô Yamyélé

  • Le 22 mai 2015 à 07:50 En réponse à : Dr Seni Koanda, président de l’ANEB en 1990 : « Deux personnes peuvent nous éclairer sur le décès de Dabo Boukary : Salif Diallo et Gilbert Diendéré »

    Merci Dr KOUANDA. Je valide ce que vous avez dit. Moi même étais l’ISN/IDR et fils de pauvres paysans nous avons lutté contre ce système ultra sélectif et même injuste de cette école. j’ai assisté cette lutte mais n’a pas été arrêté parce que n’étant pas en première ligne (leader). Je suis d’accord avec vous quand vous dites que Salif et Gilbert peuvent éclairer les burkinabé sur cette page sombre de notre pays. Et que chacun assume.

  • Le 22 mai 2015 à 07:50, par soumaila En réponse à : Dr Seni Koanda, président de l’ANEB en 1990 : « Deux personnes peuvent nous éclairer sur le décès de Dabo Boukary : Salif Diallo et Gilbert Diendéré »

    les gens vont parler mais le gorba avance seulement. qui vous a dit qu’il est au courant de quelque chose. si dabo est mort au conseil alors chercher vos coupable au conseil

  • Le 22 mai 2015 à 07:53 En réponse à : Dr Seni Koanda, président de l’ANEB en 1990 : « Deux personnes peuvent nous éclairer sur le décès de Dabo Boukary : Salif Diallo et Gilbert Diendéré »

    Que chacun assume ses responsabilités ; c’est ça aussi l’opération main-propre !!

  • Le 22 mai 2015 à 07:56, par TAIWAN En réponse à : Dr Seni Koanda, président de l’ANEB en 1990 : « Deux personnes peuvent nous éclairer sur le décès de Dabo Boukary : Salif Diallo et Gilbert Diendéré »

    Juste une chose rien ne prouve que Mr SALIF DIALLO a quelque chose a voir dans cette affaire.
    Seulement SENI KOUANDA tiens a salir le nom de SALIF DIALLO. Mais DIEU est bon et SALIF DIALLO est blanc comme neige.
    SALIF DIALLO est un homme de conviction et il a dit non au moment fort de Blaise Compaoré. SALIF est un homme politique qui sait très bien sa place et personne ne peu dire le contraire.
    La présence d’une personne dans un lieu ne peut être source de responsabilité.
    Depuis très longtemps Mr Seni Kouanda est corrompu et a mange avec le régime de Blaise Compaoré. WAIT AND SEE

  • Le 22 mai 2015 à 07:58, par TAIWAN En réponse à : Dr Seni Koanda, président de l’ANEB en 1990 : « Deux personnes peuvent nous éclairer sur le décès de Dabo Boukary : Salif Diallo et Gilbert Diendéré »

    Juste une chose rien ne prouve que Mr SALIF DIALLO a quelque chose a voir dans cette affaire.
    Seulement SENI KOUANDA tiens a salir le nom de SALIF DIALLO. Mais DIEU est bon et SALIF DIALLO est blanc comme neige.
    SALIF DIALLO est un homme de conviction et il a dit non au moment fort de Blaise Compaoré. SALIF est un homme politique qui sait très bien sa place et personne ne peu dire le contraire.
    La présence d’une personne dans un lieu ne peut être source de responsabilité.
    Depuis très longtemps Mr Seni Kouanda est corrompu et a mange avec le régime de Blaise Compaoré. WAIT AND SEE

  • Le 22 mai 2015 à 07:59, par Dario En réponse à : Dr Seni Koanda, président de l’ANEB en 1990 : « Deux personnes peuvent nous éclairer sur le décès de Dabo Boukary : Salif Diallo et Gilbert Diendéré »

    Malhonnêteté quand tu nous tiens.
    Tous ceux qui veulent refendre salif ont un problème d’honnêteté.
    1-Est il le citoyen le plus vulnérable ?A t il besoin d’être défendu ?
    2- Est il d’ailleurs accusé de quoi que ce soit ?
    3 - S’il est innocent des soupçons (simples et naturels dus a la situation de l’époque), qu’il réponde a la justice (en laquelle nous croirons).
    Pour ce qui est de ma part,je ne sais pas si quiconque est responsable ou pas, mais en la matière on ne veux pas d’avocats du diable pour s’en prendre a des citoyens qui ne font qu’exprimer leurs croyances.
    Burkinabé d’aujourd’hui et de demain la politique se pratique dans l’étique et le respects des règles de bienséance,évitons d’être malhonnêtes.....

  • Le 22 mai 2015 à 08:01, par le miserable En réponse à : Dr Seni Koanda, président de l’ANEB en 1990 : « Deux personnes peuvent nous éclairer sur le décès de Dabo Boukary : Salif Diallo et Gilbert Diendéré »

    moi je suis d’accord avec le dr koanda. nous voulons juste que ces deux personne nous aide a voir claire dans la chose. si salif ne se reproche de rien qu’il nous dise ce qu’il faisait sur le campus avec un talki wolki a la main

  • Le 22 mai 2015 à 08:05, par le miserable En réponse à : Dr Seni Koanda, président de l’ANEB en 1990 : « Deux personnes peuvent nous éclairer sur le décès de Dabo Boukary : Salif Diallo et Gilbert Diendéré »

    pays des hommes integres ou il ya des homme super integre qui meme malgré les preuves contre eux ne serons jamais inquieté. continuons de rever seulement car je vous dit que la justice ne fera rien
    c’est pour nous qui est dure mais allons seulement
    dieu fera notre justice

  • Le 22 mai 2015 à 08:08, par l’etudiant En réponse à : Dr Seni Koanda, président de l’ANEB en 1990 : « Deux personnes peuvent nous éclairer sur le décès de Dabo Boukary : Salif Diallo et Gilbert Diendéré »

    camarade etudiant du MPP ne vous etonez pas qu’un jours vous puissiez subir le mm sort

  • Le 22 mai 2015 à 08:16 En réponse à : Dr Seni Koanda, président de l’ANEB en 1990 : « Deux personnes peuvent nous éclairer sur le décès de Dabo Boukary : Salif Diallo et Gilbert Diendéré »

    Ça m’étonne venant de toi Koro Yamyélé. Qui donne les ordres aux chefs de ces unités. Salif Diallo, ton idole, doit poursuivi pour ce crime. L’interview de M. Koanda sur la supposée implication de Salif Diallo est sans ambages. Koro Yamyélé, je sais bien que vous êtes un farouche défenseur de Salif. Peut-être que si le MPP arrivait au pouvoir, on vous appellerait pour gouter à la soupe. Ce qui m’amène à penser que vous n’êtes pas différent des autres, ceux qui vient tout juste d’être chassés. L’occasion faisant le larron, je ne serai du tout étonné de vous voir les égaler dans leur egoisme et turpitude politiques.

  • Le 22 mai 2015 à 08:29, par Delphine ZOU En réponse à : Dr Seni Koanda, président de l’ANEB en 1990 : « Deux personnes peuvent nous éclairer sur le décès de Dabo Boukary : Salif Diallo et Gilbert Diendéré »

    Mr la rage ici on raisonne. Si je comprends bien aucun citoyen ne peut venir au campus ? Tout le monde sait qui dirigeait le conseil à l’époque.Et il n’aimait pas les civils c’était son slogans. La résidence de Blaise était au conseil il était un capitaine et entouré de commandos comme les hyacinthes et diendéré. En voulant se servir du pauvre DABO pour vos sales intérêts politiques je pense que la vérité sur la mort de DABO à cette allure ne va jamais se manifester. Quand on cherche des poux sur un crane rasé c’est qu’ on n’a pas intérêt à les trouver.C’est juste mon opinion.

  • Le 22 mai 2015 à 08:36, par sama N En réponse à : Dr Seni Koanda, président de l’ANEB en 1990 : « Deux personnes peuvent nous éclairer sur le décès de Dabo Boukary : Salif Diallo et Gilbert Diendéré »

    Et Salif DIALLO dans tout ça ? Maintenant qu’il est opposant il devra laver son honneur vis a vis de ces déclarations et montrer au peuple burkinabé son rôle dans la mort de DABO. Sa présence à l’UO un jour de grève alors qu’il était proche conseiller de Blaise.Certes les civiles ne tiennent pas de kalach. mais pour donner l’ordre de tuer quelqu’un a t on besoin d’une arme ? Qu’on soit MPP ou pas acceptons que Salif soit cité et qu’il soit entendu par la justice sur son rôle dans cet assassinat et que la vérité soit su du peuple afin que la famille puisse faire le deuil.

  • Le 22 mai 2015 à 08:55, par ousman En réponse à : Dr Seni Koanda, président de l’ANEB en 1990 : « Deux personnes peuvent nous éclairer sur le décès de Dabo Boukary : Salif Diallo et Gilbert Diendéré »

    Voici des pistes que nos fameux juges doivent saisir pour faire triompher la lumière sur cette affaire.Que ceux qui doivent payer pour ce crime payent..Salif était il etudiant a cette epoque ? Que faisait il avec un talki walki la bas ? avec qui communiquait il ? Nous voulons simplement comprendre.

  • Le 22 mai 2015 à 09:06, par ADISCOM En réponse à : Dr Seni Koanda, président de l’ANEB en 1990 : « Deux personnes peuvent nous éclairer sur le décès de Dabo Boukary : Salif Diallo et Gilbert Diendéré »

    COUPABLE OU PAS, SALIF ET DIENDERE DOIVENT ALLER RÉPONDRE ,C’EST AU JUGE D’EN DÉCIDER.

  • Le 22 mai 2015 à 09:07, par Danton En réponse à : ça sent la conspiration

    M. Koanda, je ne suis pas sûr d’avoir de la sympathie pour Salif Diallo, mais à vous lire, on sent la conspiration contre un homme. Que Dieu veille sur le Burkina Faso !

  • Le 22 mai 2015 à 09:15, par YVES En réponse à : Dr Seni Koanda, président de l’ANEB en 1990 : « Deux personnes peuvent nous éclairer sur le décès de Dabo Boukary : Salif Diallo et Gilbert Diendéré »

    Salif Diallo était le François Compaoré dans les années 90. Il était donc sur le Campus comme Chef militaire, donneur d’ordre. Il est le pus impliqué dans la mort du camarade Dabo Boukary ; et ça tout le monde le sait. Donc les MPPistes ; arrêtez de vous torturer l’esprit ; car un morceau de bois ne deviendra jamais un caïman même s’il a duré dans le marigot.

  • Le 22 mai 2015 à 09:16 En réponse à : Dr Seni Koanda, président de l’ANEB en 1990 : « Deux personnes peuvent nous éclairer sur le décès de Dabo Boukary : Salif Diallo et Gilbert Diendéré »

    L’Histoire avec grand H est écrit toujours par ceux qui étaient cachés dans des villas luxueuses et sont sortis en pleine forme. Pour être honnête, lors de la conférence avec les Grands Témoins du jour dont le Dr, je pense que des camarades qui ont été arrêtés le même jour avec DABO sont toujours vivants et peuvent mieux témoigner car ile étaient toujours sur le terrain et pas dans des villas.
    Je demande simplement du respect pour la mémoire de ce grand ETUDIANT

  • Le 22 mai 2015 à 09:22, par sage En réponse à : Dr Seni Koanda, président de l’ANEB en 1990 : « Deux personnes peuvent nous éclairer sur le décès de Dabo Boukary : Salif Diallo et Gilbert Diendéré »

    La ou j’ai des problèmes avec les déclarations de ce Mr Seni, c’est qu’il limite les personnes à questionner (ce qui n’est pas une mauvaise chose en soi) a Salif et Diendere. Cela peut laisser croire qu’il a des informations qui montrent que ces 2 detiennent la verite. Dans Le meme temps, il dit, #je n’accuse personne# #je n’en sais rien#. Mr, soit on sait et on le dit, soit on en sait rien et on la ferme.

  • Le 22 mai 2015 à 09:26, par OLIVIER En réponse à : Dr Seni Koanda, président de l’ANEB en 1990 : « Deux personnes peuvent nous éclairer sur le décès de Dabo Boukary : Salif Diallo et Gilbert Diendéré »

    REGARDEZ DANS LE DICO les sens de "ECLAIRER" ou de "COUPABLE" avant d’écrire certaines réactions !!! Je croyais le burkinabè mieux doté du sens de la réflexion !!!

  • Le 22 mai 2015 à 09:26, par plus de chance que Dabo En réponse à : Dr Seni Koanda, président de l’ANEB en 1990 : « Deux personnes peuvent nous éclairer sur le décès de Dabo Boukary : Salif Diallo et Gilbert Diendéré »

    Salut aux "enfants" qui ne connaissent la TORTURE, que peut etre par definition et qui connaisse le CONSEIL, GASPARD, GILBERT, YACINTHE que de nom.
    C’est mots en majuscule evoquent l’ENFER ARDENT de l’Humanité. Je vous souhaite 10 ANS dans l’Enfer de Dieu que une(1) HEURE dans l’ENFER du CONSEIL. Prenez une seule seconde pour imaginer les SOUFFRANCE de l’ETRE HUMAIN DABO BOUKARI avant de quitter ce monde : vos divergeances politiques et idéologiques n’auront plus droit de citer.
    Ca n’arrive pas qu’à la famille, DABO, SANKARA, ZONGO, NEBIE.
    SVP FAITES TRES ATTENTION DANS VOS REACTIONS
    quelqu’un qui a plus de chance que Dabo

  • Le 22 mai 2015 à 09:26, par WALAY En réponse à : Dr Seni Koanda, président de l’ANEB en 1990 : « Deux personnes peuvent nous éclairer sur le décès de Dabo Boukary : Salif Diallo et Gilbert Diendéré »

    Je ne suis pas sûr que des gens défendent Salif DIALLO. Ce dont moi je suis sûr est que si Salif était le principale responsable de la mort de DABO Boukari, ce dossier allait être utilisé par le régime défunt qui lui en voulait par tous les moyens. Qu’il ait des informations que le commun des motels n’a pas, c’est possible comme beaucoup d’autres (tous les commandos qui étaient au conseil). Mais de là à le rendre coupable de ce crime, aucun juge ne vous suivra. Et puis, la meilleur façon d’aider le juge c’est d’aller lui donner ces informations pour qu’il les exploite au lieu d’écrire dans la presse. Cela fait croire au d’autres objectif que la manifestation de la vérité parce que vous avez beau écrire, seul ce que le juge dira sera retenu. WALAY

  • Le 22 mai 2015 à 09:33, par DOYEN En réponse à : Dr Seni Koanda, président de l’ANEB en 1990 : « Deux personnes peuvent nous éclairer sur le décès de Dabo Boukary : Salif Diallo et Gilbert Diendéré »

    il n’y avait pas de portable comme aujourd’hui mes frères. C’était les talkie-walkie que les grands utilisaient pour communiquer.

  • Le 22 mai 2015 à 09:42, par justice divine En réponse à : Dr Seni Koanda, président de l’ANEB en 1990 : « Deux personnes peuvent nous éclairer sur le décès de Dabo Boukary : Salif Diallo et Gilbert Diendéré »

    tout le problème du BURKINA FASO c’est la justice qui ne fait pas son travail. moi je me demande ce que font les juges et autres agents de la justice. ils doivent avoir honte de toucher à leur salaire. ils ne font pas plus que ces faillantes femmes qui balaillent nos rue et pourtant vivent dans la misère. vous vous rendez compte des gens qui ont bénéficié de l’argent du contribuable depuis leur classe de CP1 jusqu’aux universités occidentales. nourris, blachis soignés. même leurs désirs béstiaux aux frais de ce pauve peuple. les voilà assis derrière leur robes noires à ne rien faire sinon que de continuer à se gaver impunément des maigres ressources de ce pauve peuple. mais ce dont je suis sûr c’est qu’ils ne seront jamais heureux au jour de leur mort car on ne peut pas vivre de la sueur des pauves et finir bien au dernier moment. ça c’est ce que ma enseigné mon pauvre GRAND PERE

  • Le 22 mai 2015 à 09:44, par Gotier En réponse à : Dr Seni Koanda, président de l’ANEB en 1990 : « Deux personnes peuvent nous éclairer sur le décès de Dabo Boukary : Salif Diallo et Gilbert Diendéré »

    Salif est morveux. Il faut qu’il se mouche au palis de justice.

  • Le 22 mai 2015 à 09:46, par Trierveiller En réponse à : Dr Seni Koanda, président de l’ANEB en 1990 : « Deux personnes peuvent nous éclairer sur le décès de Dabo Boukary : Salif Diallo et Gilbert Diendéré »

    Voilà ! Et quand je vois des jeunes appalaudir ce Salif Diallo, je ne m’en reviens pas. Salif doit répondre des ces actes.

  • Le 22 mai 2015 à 09:48, par Julius En réponse à : Dr Seni Koanda, président de l’ANEB en 1990 : « Deux personnes peuvent nous éclairer sur le décès de Dabo Boukary : Salif Diallo et Gilbert Diendéré »

    Salif Diallo a quelque chose à se reprocher. La transition doit lui donner l’occasion de s’expliquer où se cache le corps de Dabo.

  • Le 22 mai 2015 à 10:11, par somet En réponse à : Dr Seni Koanda, président de l’ANEB en 1990 : « Deux personnes peuvent nous éclairer sur le décès de Dabo Boukary : Salif Diallo et Gilbert Diendéré »

    les gens doivent avoir pitié de ceux qui sont mort dans des conditions tragiques et que leur famille sachent ou ils repose en paix . c’est inhumain que quelqu’un soit mort depuis plus de 25 ans et ces parents ne le savent pas ou il est enterré. dépassons les esprits partisans qui ne nous fait pas avancer. aujourd’hui salif Diallo et Gilbert Diernderé sont toujours au Burkina. ce sont des personnes ressources qui peuvent éclairer la justice sur ces assassinats.
    QUE LA JUSTICE SE MANIFESTE POUR DABO, SANKARA, NORBERT, NEBIE, etc.
    PAIX A LEURS AMES

  • Le 22 mai 2015 à 10:46, par Burbur-Sob En réponse à : Dr Seni Koanda, président de l’ANEB en 1990 : « Deux personnes peuvent nous éclairer sur le décès de Dabo Boukary : Salif Diallo et Gilbert Diendéré »

    @koro Yamyélé, le RSP a utilisé le campus jusqu’en ’99 (c’est du moins ce je sais !) comme lieu de chasse et d’entraînement. Voilà pourquoi, dans les conclusions du Collège des Sages, il était demandé pour les raisons de mal-cohabitation et pour aussi bien d’autres griefs, leur déménagement du Conseil. En anecdote, mon voisin a été enlevé après un meeting lors de la dure grève de ’97 et jeté dans un coffre de véhicule, le temps que l’on s’interpose, les codos avaient fui. Il est revenu quelques 2h après complètement hagard et couvert de sang. Il ne pouvait pas parler (compréhensible, n’est-ce pas, après avoir vu la mort avec les 2 yeux !!!). Ce n’est que des jours après qu’il a raconté avoir été battu avec un anti-vol. La t^te était effectivement perforé à plusieurs endroits.

    Vous savez, Zogona, il faut y être passé pendant la période de plomb pour comprendre certaines douleurs. Du reste, pour éviter les enlevements surtout de nuit, en cité U, il nous a fallu organiser des piquets de veille et d’alerte, chacun dormant avec un bâton ou un pierre à portée de main et habiller au cas où...

    Quand vous parlez d’utilisation abusive, vous n’y êtes pas ! C’était nos "yaka" (voisins) obligés, mais nous vivions comme des coépouses farouches. Je reste convaincu aujourd’hui que l’assassinat de Dabo et les commémorations itératives ont contribué dans une certaine mesure, à sauver d’autres vies au campus. Les efforts pour dissimuler cette mort et le corps du supplicié, ont sans doute freiner des gens et les ont instruits pour n’avoir plus à donner de longues justifications alambiquées.

    C’est comme cela que la cohabitation a été jusqu’au démantèlement partiel du Conseil.

  • Le 22 mai 2015 à 11:16, par YIRMOAGA En réponse à : Dr Seni Koanda, président de l’ANEB en 1990 : « Deux personnes peuvent nous éclairer sur le décès de Dabo Boukary : Salif Diallo et Gilbert Diendéré »

    SALIF nétait pas et n’est pas un chef militaire à ce que je sache ? SALIF était à L’UO et il l’a répété à plusieurs reprises. Avec témoins, il n’était pas le seul civil en ces lieux. Toutes les structures idéologiques y étaient. PCRV à travers le MBDHP, les ULCistes, les ULC-Ristes, les PAIistes,les pro- militaristes etc etc.SALIF en tant qu’homme politique y était à double titre. Conseiller du PF et militant d’une structure idéologique. La présence de la force militaire peut être expliquée par les chefs de l’époque ?Si DABO, que je connais les parents, n’a pas voulu se sacrifier mais il a été sacrifié par ceux qui l’on caché, et KOANDA sait tout ?D’où Koanda s’est caché au 1200 logements ? Pourquoi remettre en cause 2 personnalités présentes, et les autres non citées ? SALIF est reparti avant que les étudiants ne soient chargés par les commandos ? Où est la responsabilité de SALIF ?Il doit pas suivre l’activité estudiantine ?Il est issu de ce milieu non ?Il n’a aucune attache avec les commandos, et ne peut donner aucune instruction. KOANDA est responsable de l’enlèvement de DABO,et il sait la suite réservée ? Koanda croit noyer SALIF au moment qu’il a l’estime de la classe politique, et vu l’ascension du MPP, tout et mis en œuvre pour.......enfin,KOANDA, ton récit est nul ?

  • Le 22 mai 2015 à 11:22, par ELKABOR En réponse à : Dr Seni Koanda, président de l’ANEB en 1990 : « Deux personnes peuvent nous éclairer sur le décès de Dabo Boukary : Salif Diallo et Gilbert Diendéré »

    Moi aussi j’étais étudiant sur le Campus de Zogona à l’époque des faits. Il faut reconnaître que nous étions dans une atmosphère d’Etat d’exception où la délation, les intrigues de toutes sortes étaient monnaie courante. Je tiens à rendre hommage à l’ANEB qui, courageusement osait mener la lutte pour la défense des intérêts des étudiants malgré la toute puissance des CDR qui voulaient mettre cet espace intellectuel qu’est l’Université de Ouagadougou en coupe réglée. Il y a toutefois un bémol, car la direction de l’ANEB de l’époque a été infiltrée par le biais de propositions surtout des bourses d’étude à l’extérieur afin de casser ce mouvement estudiantin qui, il faut le dire donnait du fil à retordre aux révolutionnaires. Ainsi, je confirme que certains des membres de cette direction de l’ANEB ont succombé à cet appel et ont bénéficié de bourses d’études à l’extérieur (FRANCE, ALLEMAGNE, CANADA...) et sont revenus se fondre dans le paysage pour devenir silencieux, comme pour respecter une espèce de pacte secret passé avec les tortionnaires de l’époque qui étaient toujours aux affaires jusqu’à l’insurrection populaire des 30 et 31 octobre dernier. Dr. Seni Kouanda en sait quelque chose et ne peut pas nier avoir profité du système lui aussi, mais la mort de Dabou Boukary reste toujours emblématique de la répression abattue sur les étudiants de l’époque d’où le devoir moral de continuer à revendiquer justice pour lui jusqu’à ce que la lumière se fasse. Cette affaire est bien la preuve que la justice de notre pays était (est toujours ?) aux ordres, sinon voilà grosso modo ce qui s’est passé : on arrête un étudiant le 19 mai 1990, on l’amène au Conseil de l’Entente (qui n’est ni la police ni la gendarmerie, mais une caserne), et il y décède. On sait précisément qui sont ceux qui étaient responsables du Conseil au moment des faits, on sait aussi précisément qui sont ceux qui étaient en faction là-bas ces jours, mais pourquoi on ne cherche pas à les auditionner ? Exactement la même situation que ce qui s’est passé avec David Ouédraogo, le chauffeur de François Compaoré amené dans ces lieux (8 ans plus tard) et qui va y trouver la mort, ce qui va par la suite entraîner les écrits de Norbert Zongo et qui vont causer sa mort à lui aussi. Et que fait notre justice ? Rien du tout ou pas grand chose avec des procureurs assis là, eux qui devaient dire le droit ! Car ils étaient aux ordres des Ministres de la justice de l’époque. Comment voulez-vous que nous justiciables ayons confiance en cette justice ? Après c’est pour parler d’incivisme, d’extrémisme dans les revendications et tutti quanti ! Etats Généraux de Justice Oui, mais la suite c’est quoi ? Auditionnez tous ceux qui doivent l’être y compris les dirigeants de l’ANEB de l’époque, les recteurs, Ministres des enseignements supérieurs, Ministres de la Justice, politiciens, CDR de l’UO etc afin de trouvez les assassins de Dabo Boukary et qu’on avance ! Car ce dossier aussi bien que les autres ne passeront pas par perte et profit. Certains de ces malfrats que le code électoral écarte, tentent par tous les subterfuges de revenir au devant de la scène pour se draper de l’immunité afin de ne pas répondre de leurs forfaits. La CEDEAO qui ne comprend rien à ces intrigues veut nous faire avaler n’importe quoi en parlant d’exclusion ? On est là seulement et on verra qui va les autoriser à concourir dans les élections à venir ! Heyiiiiiii !!!!Ngaw !!!!

  • Le 22 mai 2015 à 11:26, par YIRMOAGA En réponse à : Dr Seni Koanda, président de l’ANEB en 1990 : « Deux personnes peuvent nous éclairer sur le décès de Dabo Boukary : Salif Diallo et Gilbert Diendéré »

    Du temps fort de BC et sa dynastie, si SALIF avait une part de responsabilité même infime, les gueulards allaient le vilipender et au besoin un mandat d’arrêt international initié à son endroit ? Le motif était élogieux pour que BC et sa BANDE puisse en finir avec sa personne ou son honneur ? Chers internautes oyez conséquents. Et ces pas à SALIF de vouloir tout dire sur la voix des ondes pour se blanchir ? Il est un homme d’état et ne doit surtout pas se rabaisser au niveau de Koanda pour noyer qui que ce soit ?

  • Le 22 mai 2015 à 11:54, par Ratarzougou En réponse à : Dr Seni Koanda, président de l’ANEB en 1990 : « Deux personnes peuvent nous éclairer sur le décès de Dabo Boukary : Salif Diallo et Gilbert Diendéré »

    Moi- meme je n’etais pas un militant de l’ ANEB, mais reconnaissons que ce mouvement regorgeait et regorge toujours des etudiants les plus brillants et les plus combatifs.Ce ne sont pas des personnes a s’ asseoir pour que le succes leur tombe dans leur cul. Ceux qui les connnaissent de tres pres savent comment ils ont lutte pour avoir leur bourse d’ etudes au Canada. La selection avait lieu au Canada. Si ’ c’ etait le BF qui selectionnait, leurs dossiers n’ allaient meme pas etre recu par la secretaire. Honte a vous.Ousseni, Soungalo, Koanda, Meda, Some (N.), Some (N.E.), etc., vous n’ etes pas parfaits mais vous etes des lutteurs. Meme vos contradicteurs savent en realite que rien ne vous a ete donne cadeau. Quant a Congo et a Maxime Some(Ingenieur), vraiment, vous vous etes vendus.

  • Le 22 mai 2015 à 12:16, par baresson En réponse à : Dr Seni Koanda, président de l’ANEB en 1990 : « Deux personnes peuvent nous éclairer sur le décès de Dabo Boukary : Salif Diallo et Gilbert Diendéré »

    tout le monde est libre d’aller à l’U.O. Mais tout de meme qu’est ce que le conseiller spécial du PF faisait à un meeting estudiantin s’il n’était pas en mission. Salif doit simplement nous éclairer sur cette page sombre de notre histoire. Personne n’a dit que c’est lui qui a tué, mais il en sait beaucoup. Meme s’il ne logeait pas au conseil, il avait y ses entrées et sorties. On ne peut pas faire le procès du régime compaoré sans salif

  • Le 22 mai 2015 à 12:21, par SIRG En réponse à : Dr Seni Koanda, président de l’ANEB en 1990 : « Deux personnes peuvent nous éclairer sur le décès de Dabo Boukary : Salif Diallo et Gilbert Diendéré »

    Je m’autorise à dire un mot sur cet interview oh combien important de Dr Koanda. Je crois que c’est la première fois que Dr s’avance aucun dans une interview ? Je pense que ce forum n’est pas le lieu de polémiquer sur un dossier que la justice DOIT trancher ! Il y a tant d’autres dossiers de crimes de sang à voir comme celui de Norbert Zongo et ces compagnons, le juge Nébié,etc.
    Je valide les informations de Dr Koanda et je crois que toutes les personnes qui étaient présentent ce jour là à la manif pourrons le faire aussi. C’est un secret de polichinelle.
    Je m’étonne que certains internaute (qui n’étaient probablement pas encore au campus) s’érigent en défenseurs acharnés de certaines personnes ? Salif Diallo que je respecte beaucoup n’est pas "LE" MPP... il est membre d’une structure politique et s’il y a lieu il est assez grand pour se défendre. Donc pourquoi voir à travers les déclarions de Koanda des attaques contre le parti ?
    Je poserai une question : Pourquoi depuis lors les membres du BE de l’ANEB n’ont pas approché ceux qui avaient été détenus avec feu Séssouma pour en savoir plus ? parce que il avait de la matière auprès de ces personnes libérées. Si le dossier ouvre à nouveau des personnes (qui n’étaient pas militants de l’ANEB de l’époque) détenues au Conseil et libérées pourrons être utiles. ARRETONS LA POLEMIQUE ET QUE LA JUSTICE AGISSE !

  • Le 22 mai 2015 à 13:55, par Mipéré En réponse à : Dr Seni Koanda, président de l’ANEB en 1990 : « Deux personnes peuvent nous éclairer sur le décès de Dabo Boukary : Salif Diallo et Gilbert Diendéré »

    Je ne comprends pas certains internautes, le DR KOUNDA ne dit nullement que Salif est l’assassin de DABO, cependant les deux personnes citées (dont Salif) peuvent constituer des pistes pour la manifestations de la vérité. Mais où est alors le problème ? Qu’ils se mettent à la disposition de la justice et on verra qui sais quoi ou qui a fait quoi ?
    Si il y a encore d’autres personnes qui savent d’autres choses qu’eux la justice les écoutera aussi à leurs tours. Le temoingnage de tous ceux qui de près ou de loin savent quelque chose sur cette forfaiture est nécessaire.
    Au travail ! au travail ! JUGES de l’après insurrection du 30 de notre cher FASO

    Arrêtez de défendre bec et ongle votre mentor (Salif). C’est un processus judiciaire et non une haine quelconque. MERCI !

  • Le 22 mai 2015 à 14:40, par Alex En réponse à : Dr Seni Koanda, président de l’ANEB en 1990 : « Deux personnes peuvent nous éclairer sur le décès de Dabo Boukary : Salif Diallo et Gilbert Diendéré »

    Le Roi (Internaute 9), je t’informe que j’étais aussi sur la campus et j’ai participé à la marche qui a quitté l’ISN/IDR pour le rectorat. Pendant que le Président Kouanda lisait son message, j’étais à côté de lui et aussi à quelques pas de Salif Diallo qui marmonnait quelque chose. Le ministre de l’enseignait supérieur était à la droite de Salif Diallo et à plusieurs reprises, il le calmait en le tapotant à la main. Les étudiants qui étaient plus proches de Salif Diallo ont affirmé que ce dernier disait aux militaires qui étaient avec lui (au nombres de deux en tenue si ma mémoire est bonne) ceci : "Embarquez-les au conseil". C’est partir de là qu’un mot d’ordre instantané a été donné de bouche à oreille, d’ouvrir un couloir afin que le président de l’ANEB puisse s’échapper à la fin de son discours. Incontestablement, Salif Diallo était au meeting du rectorat et très tendu. C’était d’ailleurs la première fois que je le voyais physiquement.

  • Le 22 mai 2015 à 14:54 En réponse à : Dr Seni Koanda, président de l’ANEB en 1990 : « Deux personnes peuvent nous éclairer sur le décès de Dabo Boukary : Salif Diallo et Gilbert Diendéré »

    "Mieux vaut mourir sur pied que de passer toute sa vie à genou" Zappata
    Paix à l’âme de dabo boukari. Que périsse tous ceux qui de près ou de loin ont participé à ton
    Assassinant.
    Tous les étudiants et anciens étudiants depuis 2008 devraient se tenir à distance de salif diallo et Simon comparé et donc du MPP. Rappellez vous pour les meilleures conditions d’études et de vies sur le campus les étudiants ont été chassés comme des bandis.

  • Le 22 mai 2015 à 15:21, par Yssif En réponse à : Dr Seni Koanda, président de l’ANEB en 1990 : « Deux personnes peuvent nous éclairer sur le décès de Dabo Boukary : Salif Diallo et Gilbert Diendéré »

    J’ai pitié de cette nouvelle race de personnes surtout celles qui militent au MPP, certains d’ailleurs se réclament ouvertement de l’ANEB une manière de semer le doute sur leur parti pris. Je m’adresse aux internautes EllKabor et Yirmoaga, des têtes vides prêtes à brailler tant que c’est pour défendre des criminels. Assurement, vous manquez de logique et croyez que tout le monde pense avec leur panse comme vous l’êtes. Si vous êtes de cette génération 90 vous devriez savoir que partout où Salif passait c’était la debandade. Donc que Salif arrive en Jetta escorté de militaires en civils et tenant un talki walki, relèvait à l’époque de l’habituel. Mais bonnes gens. On vous dit que le recteur (Nindaoua aussi MPP aujourd’hui) habillé en tenue militaire avec arme était là que Mouhoussine le flegmatique était là, etc. Mais pourquoi on ne parle que de Salif. Ce jour ce Dieu de l’époque n’en avait rien à foutre avec les autorités des étudiants que ces deux personnes citées représentaient. Il voulait ici et là voir prendre fin le regroupement et il l’a réussi en un quart de tour (quelle coïncidence avec le discours actuel) ridiculisant du même coup lesdites autorités et semant la désolation sur le campus. Donc que Pr Koanda (qui n’a aucun lien idéologique ni de valeur avec Assimi) dise que Salif doit savoir quelque chose, cela veut dire simplement qu’au moins il devait être de ceux qui ont élaboré la stratégie de repression et l’ont piloté et à ce titre ils sont aussi responsables que ceux, comme les hommes de Diendéré, qui l’ont exécuté. C’est aussi simple que cela. Quand on est rationnel et intègre cet argumentaire découle de la logique mais comme certains ont vendu leurs ames aux assassins et pilleurs, alors on spécule alors qu’ici on est d’abord sur les faits. La malhonnête s’invite en surplus quand certains tentent de dire que :
    - si Salif était sale le pouvoir de Blaise l’aurait accablé. Un voleur et tueur peut-il attraire un autre qui, à un moment donné, a commis des crimes avec lui ? BC savait que de la même manière il tient Salif, ce dernier le tient aussi. Blaise était donc incapable de faire inculper Salif sauf s’il voulait voir son propre cul exposé dans la rue ;
    - les ANEBISTES traitaient avec le pouvoir de Blaise, la preuve certaines têtes ont bénéficié de bourses externes (exemple Aly, Soungalo, etc.). d’abord je demande à voir les statistiques pour les mêmes niveaux d’études concernés entre bénéficiaires ANEB et non ANEB pour me faire une idée. En effet, tout anebistes que ces gens étaient ils sont avant tout burkinabè et à ce que je sache les bourses se donnaient au mérite. D’ailleurs, pour la plupart des cas que je connais, ces gens ont d’abord travaillé (cas de Soungalo) avant de pouvoir reprendre les études. Aly, comme il l’a dit était le responsable de la corporation ANEB qui a lancé le mouvement et était donc exclu et a même été traqué dans tout Ouagadougou (on a même poussé l’outrecuidance à se saisir de sa copine pour espérer mettre la main sur lui). Au bout de quelque mois d’errance dans Ouaga, il s’est replié sur Bamako où il s’est inscrit à l’IPR de Katibougou pour poursuivre les études d’ingénieur qu’il avait arrêté à sa 3ème année.

    Enfin, pour finir avec cet argument de complicité avec le pouvoir CDP, comment alors expliqué que tous ces gens aient été exclus du campus, enrôlés dans l’armée (pour ceux qui ont été arrêtés) et n’ont été repris à l’Université qu’à la faveur d’une amnistie générale consécutive au vote et à la promulgation de la constitution de 91 ?

    Yssif, un témoin oculaire et victime des événements de Mai 90

  • Le 22 mai 2015 à 16:32, par ELKABOR En réponse à : Dr Seni Koanda, président de l’ANEB en 1990 : « Deux personnes peuvent nous éclairer sur le décès de Dabo Boukary : Salif Diallo et Gilbert Diendéré »

    @Yssif (97). Certainement que les séquelles de tes tortures t’empêchent de raisonner jusqu’à présent. Dans ce cas, il faut aller suivre un bon traitement, et par la suite tu viendras bien lire les interventions avant d’intervenir comme tu l’as fait.

  • Le 22 mai 2015 à 17:15, par jokab En réponse à : Dr Seni Koanda, président de l’ANEB en 1990 : « Deux personnes peuvent nous éclairer sur le décès de Dabo Boukary : Salif Diallo et Gilbert Diendéré »

    Ils fuiront tous au quart de tour autour d’eux même donc comme un tourbillon en direction d’un chemin qui les mènera vers l’abîme de l’oubli . Allons seulement et seul

  • Le 22 mai 2015 à 19:48, par TAIWAN En réponse à : Dr Seni Koanda, président de l’ANEB en 1990 : « Deux personnes peuvent nous éclairer sur le décès de Dabo Boukary : Salif Diallo et Gilbert Diendéré »

    tous ces gens de l’ANEB, de l’UGEB, de l’ODJ et du PCRV je vous demande de la fermer. Le peuple BURKINABE dit bien merci a SALIF DIALLO et lui souhaite long vie pour le bonheur du BURKINA FASO. Ni le PCRV, ni l’ANEB, ni l’UGEB, ni l’ODJ ne peut empêcher le camarade SALIF DIALLO de réussir et faire triompher le MPP.

  • Le 22 mai 2015 à 22:26, par Wendgomde Felix En réponse à : Dr Seni Koanda, président de l’ANEB en 1990 : « Deux personnes peuvent nous éclairer sur le décès de Dabo Boukary : Salif Diallo et Gilbert Diendéré »

    Nous connaissons bien le Dr S KOANDA car nous sommes arrives a l’UO ds les annees 87. Nous savons que Seni aussi bien que certains responsables de l’ANEB sont des battants et n’accepteraient pas de compromissions telles que celles evoques par certains. Parmi les etudiants des deux goupes a l’epoque au conseil puis liberes ensuite, il y en a qui vivent toujours et qui savent qui des dignitaires politiques, administratives et militaires y etaient, qui a dit quoi et qui a fait quoi. Par reserve, Seni n’a pas dit tout ce qu’il sait et s’est garde d’accuser, laissant a la justice le soins de reconquerir la confiance de nombreux Burkinabe.

  • Le 23 mai 2015 à 05:39, par Ka En réponse à : Dr Seni Koanda, président de l’ANEB en 1990 : « Deux personnes peuvent nous éclairer sur le décès de Dabo Boukary : Salif Diallo et Gilbert Diendéré »

    Qu’il pleuve ou qu’il neige, Diendéré Gilbert, Blaise Compaoré, Salif Diallo et d’autres, doivent être entendu pour les crimes politique depuis 1987 a nos jours, car ils sont associés directement ou indirectement a ses crimes crapuleux pour gouverner. Que les internautes pros ou contres, neutres ou impliqués, sachent qu’à partir du 15 Octobre 1987 le cœur du régime Compaoré était comme une jeune fille vierge qui cherchait un fiancé dont les parents étaient très sévères pour la sélection du prétendant fiancé. Les militaires qui étaient les parents de ce régime vierge dont le père introverti était Blaise Compaoré, sélectionnait les jeunes intellectuels extravertis parmi les membre du PCRV pour une racine de gouvernance complexe mais durable : Salif Diallo un politique extraverti a la soif d’être le beau fiancé de la belle vierge, qui est le régime sanguinaire Compaoré a été adopté mais qui ne pouvait pas être totalement faire partie de la famille rusé qui sont les deux militaire complices qui vont l’utilisé pour donner l’image d’un régime militaro- civile démocratique déguisé. L’assassinat de Sankara et ses Compagnons, celui de Dabo, de Zongo Norbert, de David Ouédraogo et d’autres, l’extraverti politique Salif Diallo sera utilisé comme un témoin clé de couverture par les militaires. Salif jouait ce témoins clé aux yeux de tous les burkinabé sans le savoir. Cela s’appelle en jargon militaire un arpon sous-marin. Salif Diallo qu’il veut ou qu’il ne veut pas, il est un complice directe et indirecte des crimes politiques commis par le couple Compaoré Diendléré de 1987 a 2006. Aujourd’hui, que d’autres utilisent le fiancé extraverti et galant du régime Compaoré qui est Salif Diallo pour se venger, c’est normal, car Salif a été choisi ce 15 Octobre 1987 pour être utilisé comme il se doit dans tous les systèmes militaire. Si tous les dossiers des crimes politiques de 1987 a 2006 s’ouvrent avec une vraie justice du nouveau Burkina, tous les membres du cœur du régime de Blaise Compaoré, militaires ou civiles comme Diendéré et Diallo, ainsi que d’autres doivent être entendu par les juges compétents.

  • Le 23 mai 2015 à 09:09, par eteincelle En réponse à : Dr Seni Koanda, président de l’ANEB en 1990 : « Deux personnes peuvent nous éclairer sur le décès de Dabo Boukary : Salif Diallo et Gilbert Diendéré »

    Internaute n° 76 et 89 je valide vos propos. Si on s’entient à la lettre de la déclaration de Séni Kouanda, Salif et Gl Dienguéré devraient éclairer la justice. C’est pas tendancieux et la vérité est bonne à dire. Maintenant nous sommes en politiques où c’est la passion qui prend le plus souvent le dessus sur la raison. Les gars du MPP en ces moments de campagne voient en ces déclarations,une façon de chercher noises à leur parti.C’est vrai mais faux en même temps. Salif était au Campus le jour du meeting de l’ANEB car la vérité est bonne à dire.Le Gl Dienguéré a été informé de la mort de DABO dans une douche(s’il vous plait ! j’ai les larmes aux yeux) et il (le Gl Diengueré) a menacé les militaires responsables de cette mort qui se sont dispercés sur place(parceque c’est eux qui l’ont tabassé avec un de ses camarades qui lui est en vie aujourd’hui) puis Dabo aurait été enterré sur la route de pô. Maintenant n’oublions pas qu’on était dans un état d’exception et que c’est les militaires qui en réalité dirigeaient le pays. Salif est un activiste depuis l’ANEB et il est resté égal à lui même. Il défendait le régime comme il pouvait. Quand il croit en quelque chose,il le fait sans faux fuyant. Il a même dirigé l’ANEB. De ce point de vue je pense que Salif n’a pas à répondre à Séni ou à qui que ce soit. Il semble qu’il a déja répondu à une convoncation de la justice. Mais tout cela ne fait de lui un coupable mais une simple personne qui peut effectivement aider la justice par son témoignage à avancer. Il n’est cependant pas le seul ; Les responsables du campus de l’époque. Séni et Soungalo n’ont pas été arrêtés à l’époque des faits.Avant Dabo et après Dabo des étudiants ont été arrêtés et incarcérés au conseil . Ils peuvent aussi témoigner de ce qu’ils ont vu et entendu mais à condition que les uns et les autres arrêtent d’instrumentaliser l’affaire Dabo.Des querelles entre anciens PCRV (Salif et cie) et nouveaux PCRV (Séni Soungalo et cie) ne doivent pas prendre en otage la vérité,celle que le peuple veut savoir.
    Salif n’est pas un sain c’est sûr,mais qui d’autres l’est parmi les protagonistes qui parlent à longueur de journée ? PERSONNE. Mais comme le débat ne se situe pas à ce niveau, je me garde de rentrer dans ces considérations. Il faut savoir raison garder.Dabo et tous ceux qui ont souffert de l’injustice des hommes ici bas méritent justice et il faut se battre pour ça,mais évitons de boxer en dessous de la ceinture .(De la part d’un ancien étudiant qui a aussi souffert de la répression sous le CNR et sous le Front Populaire )

  • Le 23 mai 2015 à 12:30, par Balazara En réponse à : Dr Seni Koanda, président de l’ANEB en 1990 : « Deux personnes peuvent nous éclairer sur le décès de Dabo Boukary : Salif Diallo et Gilbert Diendéré »

    Laisser salif en paix. Salif n’est pas militaire ni policier. Aller chercher votre assassin la où vous voulez. Salif n’est responsable d’aucun assassinat dans ce pays qu’il a tout donné

  • Le 23 mai 2015 à 12:32, par Combattant En réponse à : Dr Seni Koanda, président de l’ANEB en 1990 : « Deux personnes peuvent nous éclairer sur le décès de Dabo Boukary : Salif Diallo et Gilbert Diendéré »

    Salif et son Garibou (le pseudo nommé TAIWAN, que l’on connait bien, bien qu’il se cache sous ce pseudonyme) ne perdent rien pour attendre !!! On ne participe pas à l’assassinat de DABO, impunément !!!!

  • Le 25 mai 2015 à 12:34 En réponse à : Dr Seni Koanda, président de l’ANEB en 1990 : « Deux personnes peuvent nous éclairer sur le décès de Dabo Boukary : Salif Diallo et Gilbert Diendéré »

    J’ai lu avec intérêt cette interview de M. KOANDA. Je ne mettrai pas en doute la véracité des informations qu’il donne. Seulement, une question me reste sans réponse. "Pourquoi de la fixation sur Salif DIALLO comme responsable ou commanditaire de l’enlèvement de DABO, lorsqu’on sait que celui-ci n’était pas dans le bureau exécutif de l’ANEB, auteur du mouvement étudiant qui a valu la mort de l’infortuné ?" Le Ministre NACRO était sur le Campus le 16 mai 1990 ; M. KOANDA ne dit rien de lui. D’autres personnes civiles et militaires y étaient. M. KOANDA ne dit rien d’eux. Que monsieur KOANDA s’efforce d’avoir une analyse scientifique pour cette question aussi sensible. Ce serait regrettable que docteur de son état il manque cruellement cette qualité. N’oubliez pas que vous n’ête plus étudiant comme en 1990. Venant d’un étudiant cela se comprendrait et s’accepterait encore mieux. Politique ?

  • Le 26 mai 2015 à 19:08, par la paix et rien que la paix En réponse à : Dr Seni Koanda, président de l’ANEB en 1990 : « Deux personnes peuvent nous éclairer sur le décès de Dabo Boukary : Salif Diallo et Gilbert Diendéré »

    Heureusement que Blaise COMPAORE ne va rien dire. Sinon ! c’est grave.

  • Le 13 janvier 2017 à 13:34, par Pori Paul En réponse à : Dr Seni Koanda, président de l’ANEB en 1990 : « Deux personnes peuvent nous éclairer sur le décès de Dabo Boukary : Salif Diallo et Gilbert Diendéré »

    Hé oui, des moments difficiles. Je retrouve Soulama Soungalo au Diaba LOMPO de Fada, avec qui la lutte a continué au SYNTER. Juste vous dire que le bois a beau duré dans l’eau, il ne deviendra jamais un caïman. Notre pays a des fils.

  • Le 22 février 2017 à 17:27, par war En réponse à : Dr Seni Koanda, président de l’ANEB en 1990 : « Deux personnes peuvent nous éclairer sur le décès de Dabo Boukary : Salif Diallo et Gilbert Diendéré »

    Eh les gars,la vraie tombe de Dabo B est a kamboinse et non a po.A po c’est surement de la diversion loin de ouaga. Faites l’ADN et vous verrez.Nous etions tous maquilles/deguises pour echapper aux commandos analphabetes niveau cp2.Bamba,borry bana.l’ANEB,lePCRV la CGTB et le MBDHB meme combat contre l’imperialisme et les pouvoirs neocoloniaux

  • Le 20 septembre 2022 à 10:39, par Mogo En réponse à : Affaire Boukary Dabo : Séni Kouanda, ancien président de l’ANEB, retrace les circonstances du drame

    Je valide. J’étais à l’époque en 2e année à l’IDR et notre lutte était l’institution de système de partiels pour les évaluations des étudiants. Ce jour là, Salif Diallo était la, de même que Diendéré et sa bande de tueurs. Bamba Mamadou était mon voisin en cité universitaire et on a fui la cité pour échapper à la répression et aux enlèvements nocturnes. C’est eux qui indiquaient les domiciles des étudiants activistes. Ils étaient même armés. C’est dommage que ces criminels ne veulent pas reconnaître leurs forfaits. Cela allait faciliter le pardon et la réconciliation dans ce pays

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