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Centre académique de formation de football : On débroussaille en attendant les 25 pensionnaires

Publié le vendredi 29 août 2008 à 08h53min

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Les choses sont en train de se mettre petit à petit en place pour l’ouverture prochaine du centre académique de formation de football qui a pour nom Kadiogo-Dafra School International, en abrégé Kada School International. Les tests de recrutement ont débuté depuis le 9 août 2008 et on a reconstruit un nouveau réfectoire, commandé des lits, en attendant de remplacer les plafonds endommagés, de refaire la peinture et de désherber les lieux. En tout cas, tout laisse croire que les deux promoteurs, Wilfried Sanou et Jonathan Pitroipa, veulent tenir leur pari.

C’est en cette même période de l’année 2007 que Planète Champion International a fermé ses portes pour des raisons diverses. Un an après cette mesure, c’est un peu la désolation quand on arrive sur les lieux. Ce centre, d’où étaient sortis des footballeurs talentueux, ressemble presque à un cimetière mal entretenu.

Depuis que son fondateur, Philippe Ezri, a fait honneur à ses engagements envers le personnel avant d’en remettre les clefs au bailleur, la Maison Baptiste, l’école est devenue comme une vieille dame délaissée.

A dire vrai, les locaux n’ont pas changé, mais ce qui nous a frappé de prime abord, c’est la tristesse du centre. Et dire qu’il y a seulement quelques années, on assistait à beaucoup d’animation dans cet endroit, que des gamins avaient intégré pour apprendre les rudiments du sport-roi.

Ce centre, insistons-nous, semble en deuil, rien qu’à voir l’état dans lequel il se trouve. Même si le portail a été repeint et qu’au-dessus, on peut lire l’inscription suivante : « Centre académique de formation de football ». C’est donc sous une autre appellation que l’établissement renaît.

Mais, une fois à l’intérieur, tout est calme. Le local est envahi par les herbes folles. Des oiseaux gazouillent dans les arbres. Par ces temps pluvieux, des plantes y ont poussé comme du chiendent.

Lors de notre première visite, le 9 août 2008, nous y avons trouvé un homme étendu sur un banc, à côté d’un arbre. C’est un gardien, et il connaît très bien la maison, pour avoir été recruté quand Planète Champion ouvrait ses portes, en 1997.

Le registre d’Amadou Sampo

Quand nous lui avons décliné notre identité, il était tout décontenancé. « Sur l’ouverture prochaine du centre académique de formation de football, y a-t-il quelqu’un qui peut nous renseigner ? », lui avons-nous demandé. Le vigile (il répond au nom de Maxime Bagayan) nous montra un bâtiment, où se trouvait quelqu’un qui pouvait nous être utile. C’est un jeune de 29 ans, assis devant une table et attendant les enfants qui désirent s’inscrire à Kada School International.

Après le salut d’usage, il nous invita à prendre place. Il s’appelle Amadou Sampo, et, selon lui, il a été commis à cette tâche par Jean-Baptiste Pitroipa, le père du footballeur Jonathan Pitroipa, sociétaire de Hambourg SV( D1, Allemagne). Il travaille avec un registre et, sur la table, on peut voir une pile de fiches de recrutement. Au moment où nous nous apprêtions à lui poser des questions, le 50 45 96 00 sonna.

Il décrocha et, au bout du fil, on entendit la voix d’une femme, qui venait aux renseignements. Il était alors 10 h 30, et elle demandait jusqu’à quelle heure allait la permanence. Son correspondant lui répondit qu’il était là de 8 h à 16 h et que c’était ainsi tous les jours.
- « Je vais passer le lundi avec mon petit, qui ne cesse de me fatiguer pour que je l’inscrive à votre centre », dit-elle.
- « Je vous attendrai, madame », lui répondit Amadou Sampo.

Après qu’il eut raccroché, nous lui expliquâmes l’objet de notre visite. Le permanent, tout en se disant flatté, prévint que ceux qui pouvaient nous donner des informations étaient en mission à l’intérieur du pays pour les tests de recrutement. Sampo faisait allusion aux représentants du Kada Scholl International, Mme Suzanne Kourouma née Sanou, et Jean-Baptiste Pitroipa.

C’est par lui que nous avons appris que les deux personnes sont en province depuis le 9 août dernier, avec une petite équipe de techniciens pour le recrutement des futurs pensionnaires. Les sept villes retenues pour leur périple sont Tenkodogo, Fada N’Gourma, Ouahigouya, Koudougou, Bobo-Dioulasso, Banfora et Gaoua. La phase finale, ce sera à Ouagadougou le 9 septembre 2008 à l’INJEPS et au stade du 4-Août.

L’encadreur de Jonathan Pitroipa

Si Sampo a été sollicité pour ce travail, c’est peut-être une façon de le récompenser d’avoir formé Jonathan Pitroipa. Il entraînait, en effet, en 1992, un certain nombre de gamins ,dont Jonathan Pitroipa. L’équipe qu’il a créée s’appelait Juntos FC, et elle participait à des tournois de football dans les différents quartiers de la ville. Jonathan, se rappelle-t-il, était très jeune et frêle, mais il avait des prédispositions footballistiques.

« Il était rapide et se distinguait déjà par ses dribbles déroutants », se souvient-il. Jonathan, raconte-t-il, a été désigné deux fois meilleur joueur lors d’un tournoi au secteur 10, à Larlé. En 1997, il avait, en outre, reçu le trophée du meilleur joueur lors d’un tournoi organisé par le cinéaste Guy désiré Yaméogo.

Lorsque Planète Champion a lancé le test de recrutement de sa deuxième promotion, le joueur de Sampo a brillamment réussi à l’examen avec ses futurs équipiers, tels qu’Edgar Diessongo, Sibiri Alain Traoré et bien d’autres jeunes.

Aujourd’hui, l’ancien encadreur de Jonathan, qui est titulaire, depuis 2006, d’un diplôme fédéral d’entraîneur, n’est pas surpris de le voir faire des merveilles avec les Etalons seniors. « C’est un garçon sérieux et consciencieux, et je savais qu’un jour il irait loin », nous a-t-il confié. Sampo nous a avoué que les mots lui manquent pour manifester à papa Pitroipa sa gratitude. Quand nous le quitions le 9 août, il était à plus de 80 inscrits. Le temps, ce jour-là, était maussade et ne nous a pas permis de voir ce qui a été fait dans le centre depuis qu’il a été baptisé Kada School International.

La ronde

Deux semaines après notre premier passage, nous sommes retourné au centre académique de formation de football ; c’était le 22 août 2008. A notre arrivée, nous avons trouvé des gens qui tournaient dans la cour. Ils étaient venus pour inscrire les uns leurs enfants, les autres leurs petits frères. Mais il n’y avait personne pour s’occuper d’eux. Quand ils nous ont vu consulter une affiche collée à la porte d’entrée, ils nous ont rapidement rejoint.

L’affiche informait que le responsable chargé de l’inscription est désormais au stade municipal, où il reçoit tous les jours. Ceux qui venaient d’avoir l’information commencèrent aussitôt à enfourcher leurs « chars », puisqu’ils savaient ce qui leur restait désormais à faire.

Quant à nous, nous sommes resté sur place, nous disant que le gardien n’était certainement pas loin. Pour ne pas nous tourner les pouces, nous faisons la ronde. Mon compagnon de photographe, Lambert Ouédraogo, qui est d’une insatiable curiosité, se met aussitôt au travail. Connaissant déjà les lieux, nous tournons un bon moment autour du petit terrain de football.

Il y a des herbes partout, et nous marchons avec précaution pour ne pas être surpris par un serpent. Le grand terrain se trouve non loin de là, et la porte qui y mène est fermée. On imagine qu’il doit aussi être broussailleux. Nous revoyons le réfectoire, qui n’a pas du tout changé. C’est en fait un hangar coiffé de pailles, et qui servait en même temps de lieu de conférences de presse.

C’est là que, le 23 août 2007, le fondateur de Planète Champion, Philippe Ezri, avait annoncé la fermeture du centre. A quelques mètres, le château d’eau qui alimente toute la cour. Il est en bon état et semble protégé par les arbres qui l’entourent. La vue d’ici est superbe, et c’est un endroit rêvé pour invoquer les Muses.

Le nouveau réfectoire

Au moment où nous rebroussions chemin, un homme fait son entrée dans la cour. A peine a-t-il rangé sa bicyclette qu’il vient vers nous. Nous nous présentons. A son tour, il nous fait savoir qu’il est le deuxième gardien des lieux, qu’il s’appelle Mahamoudou Ouédraogo, un ancien de Planète Champion, et qu’il était sorti pour effectuer des courses. Bien que le centre soit fermé depuis un an, il est là avec Maxime Bagayan pour la surveillance de la cour.

Ils n’ont pas autre chose à faire, et priaient nuit et jour pour que le centre redevienne ce qu’il était. Selon Mahamoudou, personne ne s’occupe d’eux, et ils sont obligés de se débrouiller. Mais Ezri ne les avait pas totalement jetés aux oubliettes. Dix mois après son départ du Burkina, après avoir réglé leurs droits, raconte-t-il, leur ancien patron leur avait envoyé de l’argent, et cela leur a permis de faire face à certains besoins.

Avec l’ouverture prochaine du centre, notre interlocuteur du jour se dit soulagé parce que ce lieu est une seconde famille pour eux. Il ne tarit pas d’éloges pour les repreneurs, qui ont compris que c’est grâce à cet établissement qu’ils ont réussi dans le football. Non seulement les futurs pensionnaires suivront leurs traces, mais les employés pourront aussi gagner leur pain.

A la question de savoir si Maxime et lui seront recrutés, il déclarera que les représentants de Kada School ne leur ont rien dit pour le moment, mais que leur souhait est de continuer le travail dans ce centre qui leur est cher. Nous lui avons, par la suite, demandé si des travaux ont été réalisés en attendant l’arrivée des jeunes footballeurs.

Promenant son regard au loin, il nous invite à le suivre et, quelques minutes plus tard, nous arrivons devant deux bâtiments. Ils viennent d’être nouvellement construits : l’un est une cuisine, et l’autre un réfectoire. L’ancien restaurant, explique notre guide, est à quelques mètres des toilettes, et les promoteurs ont trouvé qu’il fallait alors changer d’emplacement pour plus d’hygiène. Présentement, il ne reste plus que la peinture pour que le travail soit terminé.

Nous nous dirigeons ensuite vers l’un des deux dortoirs. La porte est fermée, et des feuilles jonchent sur la terrasse. Ce bâtiment, comme l’autre, contient chacun cinq chambres et 25 lits ont été commandés. Les plafonds qui ont été ont endommagés seront remplacés. On envisage aussi de désinfecter les chambres. Les douches, qui se trouvent à côté de l’ancien réfectoire, seront retapées, toujours selon notre interlocuteur.

Non loin du petit terrain de football, le magasin, où on parque le matériel sportif, est encombré d’ordures. Quand on fait le tour, on aperçoit la salle où les joueurs se retrouvaient souvent pour visionner les matches de football. Selon Mahamoudou, le nettoyage de ces lieux se fera dans quelques jours, de même que celui de la cour, qui sera débarrassée des herbes. Pour le désherbage, il nous révèle que les représentants de Kada School ont contacté des gens en ville à cet effet.

Des gamins ont versé des larmes

C’est un peu plus tard que nous quittons le gardien, qui a été d’une agréable compagnie, pour mettre le cap sur le stade municipal. Il était 11 h 30. Amadou Sampo a eménagé là-bas il y a quelques jours, et nous l’avons trouvé en train de prendre des noms. A la date du 21 août, il était à 310 inscrits. L’équipe du Canon du Sud (D2), dit-il, l’avait auparavant appelé pour réserver une vingtaine de places.

Le centre académique de formation de football, il faut le rappeler, recrute, pour le compte de sa première promotion, de jeunes footballeurs nés entre en 1993 et 1995. Depuis les premiers jours qu’il s’est installé au stade municipal, précise-t-il, il est débordé par l’affluence. Des jeunes de 18 ans se seraient même présentés pour s’inscrire, mais il leur aurait fait comprendre que leur âge est un handicap, et qu’il doit se conformer au règlement.

Il en est de même pour ceux qui sont âgés de 10 ans et qui tiennent à se faire inscrire. Selon Sampo, d’autres pleuraient quand il leur disait qu’ils n’ont pas l’âge requis pour intégrer un centre de football. « C’était pathétique, et j’avais du mal à consoler certains. Je leur ai dit de patienter et que dans trois ans, on pourra les recruter », nous a-t-il laissé entendre.

Sur les 100 premiers inscrits, avons-nous constaté, il n’y avait qu’un seul gardien de but. Il s’agit de Drissa Tiendrebéogo, résidant au secteur 28, avec la fiche numéro 94.

Sampo explique cela par le fait que les enfants, qui suivent les matches des championnats européens à la télé, veulent s’identifier à une star du football africain ou mondial, généralement un buteur. Mais il reste convaincu qu’avant la clôture des listes, il y aura beaucoup de jeunes qui vont se signaler pour les postes de gardien de but.

Le moins que l’on puisse dire, c’est que Kada School International suscite un véritable engouement. Quand on sait qu’aujourd’hui le football nourrit son homme, il y a de quoi tenter sa chance.

Justin Daboné
L’Observateur Paalga


Quelques candidats s’expriment

Avant notre arrivée au stade municipal, beaucoup de jeunes s’étaient déjà inscrits. Adama Sampo, à un moment, se reposait et devisait avec Maxime Bagayan, l’un des deux gardiens de l’ex-Planète Champion. Pendant que nous échangions avec eux, arrivent des candidats, munis chacun de leur acte de naissance et d’un billet de 1000 FCFA. Ils font le rang et s’inscrivent ; à l’issue de cela, nous avons approché quatre d’entre eux qui désirent devenir de grands footballeurs et aller monnayer leur talent en Europe.

Clovis Balkouma : « J’aime le football, et c’est pourquoi je suis venu m’inscrire, avec l’espoir d’intégrer le centre académique ».

A quel poste joues-tu ? Je suis milieu offensif, et mon rêve est d’aller un jour en Allemagne, pour montrer que les Burkinabè savent jouer au football. Jonathan Pitroipa est un bon joueur, et je voudrais faire comme lui quand il a le ballon.

Quelle classe fais-tu ? Je passe en classe de quatrième.

Es-tu confiant quant à l’issue du test qui aura lieu dans quelques jours ? Je laisse tout à Dieu.

Mohamed Diandé : Mon souhait est d’être un grand milieu du football burkinabè, comme l’Egyptien Abou Mohamed Treka. Ce dernier m’a séduit lors de la CAN 2008, et je voudrais suivre ses traces.

Tu n’as pas peur du test ? Je m’entraîne pour ça depuis quelque temps, et je donnerai le meilleur de moi-même.

Es-tu élève ? Non. Je fais des bricoles en ville ; et quand je suis libre, je vais faire du footing.

Gilchrist Bambara :v Je veux aller dans ce centre pour être un jour sélectionné en équipe nationale.

Tu es aussi un attaquant ? Oui ; et je suis un ailier droit.

Vas-tu à l’école ? Oui. Je fais la cinquième.

Quel est le pays où tu aimerais un jour aller jouer ? Le Brésil, parce qu’on y trouve des joueurs de grande classe.

Tu es optimiste pour le test ? Je vais me battre comme les autres, pour mettre la chance de mon côté.

Thierry Compaoré : Quand je regarde les Etalons jouer, j’ai envie de faire comme eux. Et je pense que le centre peut m’aider à progresser. Je veux aller un jour en France, pour jouer à Marseille.

Tu as un poste de prédilection ? Dans mon quartier, je joue au 2.

L’Observateur Paalga

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Vos commentaires

  • Le 26 mai 2009 à 23:53, par bah alseny En réponse à : Centre académique de formation de football : On débroussaille en attendant les 25 pensionnaires

    bonjour a vous je m’appelle bah Alseny ,je suis un jeune joueur Ivoirien de 14 ans,faisant 170cm, milieu défensif mais beaucoup polyvalent jouant dans le championnat de mon pays,mais à présent je suis libre et je voudrais aller montrer mon talent en Europe ou en Afrique,et je suis a la recherche d’un manageur ou un centre de formation de football pour me montrer le chemin du professionnalisme,mon email ; fally92@yahoo.fr que Allah nous aide et qu’il nous protège .

    • Le 23 octobre 2009 à 14:37, par maouloud En réponse à : Centre académique de formation de football : On débroussaille en attendant les 25 pensionnaires

      bonjour j abite au sénégal dans la région de dakar et je messure 1. 67m je pése 55 kilo je suis attaquand et aussi je joue bien au football j aime bien ce sport je me suis une fois incrit dans un club francais mais il me demender de l argent j ai abadonner paceque j avais pas les moins pour payer je suis toute seule avec ma tente qui ma éléver quand j ai perdue mes parents a l age de 5 ans sil te plait aider moi contacter moi maou20@live.fr merci

  • Le 29 janvier 2010 à 04:49 En réponse à : Centre académique de formation de football : On débroussaille en attendant les 25 pensionnaires

    Je m appelle mpelikali chevayor.Je suis congolais et j ai 16 ans.Je mésure 1m88 ;je joue au milieu du terrain et je suis très tallentueux.En ce moment je suis au sénégal et j ai meme les moyens pour aller en France.Malheureusement je n ai pas de parents en France.Pouvez-vous m inscrire dans ce centre de formation SVP.J ai beaucoup de qualités ;et je veux encore augmenter dans un centre de formation.J ai les moyens pour aller en France.

  • Le 15 septembre 2010 à 20:29, par DIAO En réponse à : Centre académique de formation de football : On débroussaille en attendant les 25 pensionnaires

    MAMADOU DIAO BAH

    gardiene de but=
    Cel : (225) 66453405

    Email diao1991@live.fr

    Objet : Demande d’essai

    J’ai l’honneur de solliciter de votre bienveillance, votre aide pour un essai dans votre pays ; Raison pour laquelle je me suis permis de vous adresser cette missive, ainsi que mon curriculum vitae. Vous y remarquerez que, je suis un jeune footballeur guineene, qui vit actuellement en cote divoire Monsieur, je joue au poste de Gardiens de but communément appelée avant centrede la mort pour les savans le foot-ball dans le même registre que les joueurs : tel que : copa-Barry(cote divoire), Le Football est toute ma vie et j’ambitionne très sincèrement une carrière inter nationale. Ce qui m’a amène à vous solliciter afin de réaliser ce rêve qui m’est si cher. Et j’ai financièrement foi que vous pourriez me donner espoir et surtout assurance.

    Dans l’espoir d’une suite que j’espère favorable, et restant à votre disposition pour tout renseignement complémentaire, je vous remercie par avance de la bienveillance avec laquelle vous trouverez me demander et vous prie de croire Monsieur, l’expression de mes sentiments distingué

    L’intéressé

    MAMADOU DIAO BAH

    CURRICULUM VITAE

    Nom : bah Prénom : mamadou diao

    Lieu et Date de Naissance : 23/09/1994 a pita, conakry (guinee)

    e-mail : diao1991@live.fr

    FORMATION 2004-2006:fello star de guinee 2006-2007

    permissionnaire de FCP 2007-2008 : centre domoraud cyril

    Domaine jeu

    Poids : 69 Taille :1,85 ages : 20 ans

    Poste joué : gardien de but

  • Le 23 janvier 2011 à 19:16, par ben haddouch En réponse à : Centre académique de formation de football : On débroussaille en attendant les 25 pensionnaires

    bonjour
    ,je me présente ben haddouch mohamed reda, je joue au racing Schaerbeek à Bruxelles. Je voudrais faire un teste dans votre académie parce que j’ai un talent excellent pour mon age. Ma possession c’est milieu latérale gauche et droite, milieu milieu, attaquant droit et gauche. Je vous donne mon adresse émail c’est redaleroi@hotmail.com ,mon numéro de téléphone c’est 0484467512 et j’habite à Bruxelles à Schaerbeek mon adresse c’est avenue dailly numéro 169 s’il vous plait contacter moi pour que je fais un teste dans votre académie.

  • Le 30 août 2012 à 17:01, par HAMADOU SAKHO En réponse à : Centre académique de formation de football : On débroussaille en attendant les 25 pensionnaires

    BONSOI NOMME HAMADOU ANDRE JE SUIS UN JEUNE FOOTBALLEUR CAMEROUNAIS .JE JOUE EN DEFENSE JE SUIS TRES INTERESSE PAR VOTRE OFFRE DE RECRUTEMENT ET JE COMPTE SUR VOUS POUR M4AIDER ..

  • Le 21 juillet 2013 à 15:38, par mahmah095 En réponse à : Centre académique de formation de football : On débroussaille en attendant les 25 pensionnaires

    je m’appelle diaby karamoko je suis un jeune ivoirien qui evolue en millieu offensive un jour j’ai apris a la tele que jonathan a un centre de formation donc voila le pour quoi je suis la je voudrais etre membre du centre

  • Le 26 mai 2015 à 15:08, par sekongo kiyala thomas En réponse à : adhesion au centre de formation de football

    je suis ivoirien ; je souhait intégré votre centre car j aime le foot et je veux faire ma profession

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