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Commission nationale pour l’UNESCO : Les comités spécialisés renforcent leur capacité

Publié le mercredi 27 décembre 2006 à 07h49min

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Ahmed Baba Soulama, SG de la Commission

La Commission nationale pour l’UNESCO a organisé du 21 au 23 décembre 2006 à Ouagadougou, un atelier de formation des membres
de ses comités spécialisés. Les experts ont renforcé leur connaissance sur l’UNESCO et sur les attributions de la représentation nationale.

Les cinq comités spécialisés de la Commission burkinabè pour l’UNESCO se sont retrouvés à Ouagadougou du 21 au 23 décembre 2006. Les participants se sont lamiliarisés avec l’institution onusienne.

Ce séminaire leur a permis de mieux connaître l’UNESCO et d’avoir de plus amples informations sur le rôle de la Commission nationale et celui des comités specialisés. Il a aussi été l’occasion pour eux, de s’approprier le vocabulaire, et la documentation de l’UNESCO.

Désormais, ils pourront mieux participer aux travaux de cette organisation. La Commission nationale pour l’UNESCO est l’interface entre le Burkina Faso et l’UNESCO ; organe consultatif, elle sert de relais entre l’UNESCO et les principaux groupes nationaux intéressés aux problèmes d’éducation, de science, de culture, et d’information. Elle participe à l’exécution du programme de l’UNESCO sur le plan national et régional. Pour faire face à ses missions, la Commission nationale se refère aux cinq comités specialisés correspondant aux differents domaines de compétence de l’UNESCO. Ces comités regroupent de hauts fonctionnaires, des experts, des spécialistes, des chercheurs scientifiques.

Ils contribuent à l’elaboration des positions burkinabè sur les programmes et activités de l’UNESCO , participent à la mise en œuvre et au suivi des programmes et à la préparation des différentes sessions. Pour le secrétaire général de la Commission nationale pour l’UNESCO, Ahmed Baba Soulama, « ces compétences ont besoin d’un cadre de concertation en vue de renforcer leurs capacités, d’harmoniser leurs poinls de vue pour rendre plus dynamique et visible la Commission nationale pour l’UNESCO ». Ce partage d’experiences et de savoir-faire a été apprécié positivement par les participants.

Assetou BADOH

Sidwaya

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