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Fait divers de Sacré : Pédophilie

Publié le mardi 27 juin 2006 à 08h40min

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Le vieux Lambila est actuellement entre les mains de la justice pour avoir « bakarisé » des fillettes de 9 et l2 ans. A l’approche de la soixantaine, chez beaucoup d’hommes en général le froid commence férocement à s’installer au sein de la famille « bakari et soeurs jumelles », « bakari » ne servant désormais qu’à débarrasser l’organisme de ses eaux souillées et ses sœurs jumelles à faire de la figuration ou presque.

Lambila n’est pas de cette veine au gros nerf honteusement ramolli sous le poids des ans. A 58 ans, le « bakari » de Lambila prenait toujours goût aux choses du sexe et c’est peu dire car il en redemandait.

Pour éteindre cette faim à chaque instant renouvelée, Lambila ne va pas se contenter de ses deux épouses qu’il trouvait désormais lèvres pendantes et corps avachis. II ne va pas non plus aller vers ces jeunes filles qui arpentent nos rues ; ces dernières même si elles veulent les « korô », elles les veulent « feuillus » et ne les confondent pas aux ancêtres désargentés du genre Lambila. Non, Lambila va profiter de la naïveté des fillettes Lize 9 ans et Lizèta l2 ans pour calmer la surprenante nervosité de « bakari ».

Lambila est gardien d’une entreprise. De sa longue-chaise, il avait remarqué les deux enfants qui passaient souvent devant lui avec leurs plateaux de fruits et d’arachides sur la tête. La stratégie de Lambila fut simple : lorsqu’elles répondaient à son appel, il achetait plus qu’il n’en avait besoin ; et lorsqu’il n’achetait rien, il leur donnait de petits ‘’ sous- cadeaux’’ . Cette façon de faire transformant ces fillettes à ce qu’on dit que ce sont « les grains qui attirent la poule ».

Désormais elles se rendaient d’abord chez Lambila d’où elles étaient sûres de ne pas retourner bredouille. C’est ainsi que petit - à- petit, il réussit à faire tomber les caleçons des fillettes et à faire d’un « bakari » deux coups, c’est - à- dire qu’il sortait de chez Lizèta pour entrer chez Lize. Pour un homme de son âge, il faut croire qu’il se nourrit au viagra traditionnel.

En récompense, il leur donnait 500 F CFA à se partager et les fillettes s’en allaient heureuses. Le jour où Lambila a été pris, ce fut par les parents adoptifs de Lizèta. Ceux-ci prévenus partirent se planquer en face de l’entrepôt. Ils arrivèrent et virent la porte s’ouvrir pour laisser sortir Lize, celle de 9 ans et se refermer tout de suite après. A l’intérieur se trouvait Lizèta. Les parents attendirent quelques instants, le temps de savoir que faire, puis le père de famille fonça dans l’entrepôt où il faillit surprendre « bakari » dans le pot. En effet, il vit Lambila en train de remonter son pantalon et Lizèta d’enfiler son slip.

A la police où n’a comparu que la petite Lize, Lambila soutiendra qu’il lui a fait « ça » trois fois alors que l’enfant parle de six fois.

Mais le nombre de fois importe peu, la vraie question étant de savoir comment des fillettes de 9 et l2 ans ont ainsi été « bakarisées » sans être blessées. C’est vrai que je n’ai aucune idée de ce que Lambila trimbale comme « bakari » entre les jambes, mais tout de même ! Vous ne croyez pas comme moi que peut- être, même avant Lambila, ces enfants ont dû avoir d’anciennes relations avec des « bakari » d’adultes ? Vous ne pensez pas ?

Sacré Chédou Ouédraogo

Sidwaya

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