Suspension des activités des partis politiques au Mali : Le Haut-Commissariat de l’ONU aux droits de l’homme demande aux autorités de surseoir à la décision
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Dans un tweet publié le jeudi 11 Avril 2024, le Haut-Commissariat de l’ONU aux droits de l’homme a appelé les autorités de la transition du Mali à « abroger immédiatement » la suspension des activités des partis politiques.
« Nous sommes profondément préoccupés par le décret suspendant les activités des partis politiques et autres associations civiques », a déclaré l’instance onusienne. Pour elle, ce décret doit être abrogé dans la mesure où « un espace civique ouvert et pluraliste est essentiel aux droits de l’homme, à la paix, à la sécurité et au développement durable ».
En rappel, les autorités de la transition malienne ont décidé, mercredi 10 avril, de suspendre « jusqu’à nouvel ordre » les activités des partis politiques et des associations à caractère politique sur toute l’étendue du territoire pour des raisons politiques et sécuritaires.
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Source : Agence Anadolu
Messages
12 avril, 15:20, par *
LOURGO
Bonsoir qu’est ce que l’ONU à voir dans suspension de partis politique au Mali,quel est le rapport entre cette suspension et les droits de l’homme,le Mali est en guerre et ce sont ces mêmes Onusien qui ont créée ce bourbier au Mali.Je passais ; ; ; ; ; ; ; ; ; ; ; ; ; ; ; ; ; ; ; ;
12 avril, 15:54, par *
Bagaman
Les agents étrangers ne sont pas contents. Ils feront tout pour ramener au pouvoir les vendus et les marionnettes. Cette fois, nous disons non à la recolonisation. Nous devons tenir bon, car si nous cédons, nous sommes fichus pour toujours.
12 avril, 15:57, par *
Sheikhy
Comme je l’ai dit ailleurs, dans la forme oui, mais dans le fonds cela n’engage qu’eux. L’ONU est une organisation mondiale et ici il n’y a pas directement atteinte à des vies humaines. Par contre, il faut demander à certains pays qui sont dans des conflits très meurtriers et très malsains d’arrêter leur bêtise humaine. On a compris qu’au lieu de nobles Droits internationaux censés protégés tout le monde, on a en face des Règles internationales au service de ceux qui sont puissants. Par contre, je suis toujours partisan d’une concertation inclusive et franche en national dans les pays. Le problème est que la franchise est sortie par la fenêtre depuis longtemps chez certaines personnes. Les agendas cachés, la myopie politique et en termes de vision, le pouvoir etc. ont rendu délétères certains choses au Faso.
12 avril, 16:53, par *
tanga
Quand les éléments pour la subversion de l’impérialisme en Afrique sont coincés, alors différentes sections des nations unies telle que les droits de l’homme montent au créneau.
où étiez vous quand nous populations se faisaient massacrées ?
Maintenant que nous avons des hommes qu’il faut à la place qu’il faut, vous venez pour supporter vos larbins.
ca ne marche pas. vous avez vos pays aussi ; allez y là-bas faire ce que vous voulez.
Quand nous serons prêts en Afrique pour des élections, nous le ferons. En attendant, laissez nous tranquilles. Allez y vous occuper de votre europe avec votre zélenski.